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Voyeurisme inattendu

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
VOYEURISME INATENDUCe soir-là, nous étions partis manger chez mes beaux-parents. Une soirée couscous, comme nous en faisions souvent.Parmi les soirées chaudes d’été, nous nous étions installés sur la terrasse pour déguster ce couscous accompagné de rosé bien frais. La soirée avança doucement, invitant une fraicheur bien agréable après la journée ensoleillée que nous avions passée.Soudain, alors que nous parlions de tout et de rien, ma femme se rapprocha de moi et me glissa discrètement à l’oreille.
— Regarde comme ma mère a les seins qui pointent.
A mon tour, avec la plus grande discrétion et tout en continuant de parler, je lançai un coup d’œil sur les gros seins de ma belle-mère. En effet, sous l’effet de la fraicheur, les tétons de ma belle-mère avaient durci et se voyaient maintenant très distinctement à travers son haut. Je regardais ma femme avec complicité pour lui confirmer ses dires.Un moment plus tard, lorsque j’étais en train de mater les seins de ma belle-mère, m’imaginant faire une branlette espagnole avec ces deux grosses loches, celle-ci se pencha pour ramasser sa serviette tombée par terre, me faisant découvrir grâce à un décolleté, ses seins pendant vers le sol. Ses seins étaient vraiment énormes et pendaient vers le sol comme les mamelles d’une vache malgré un soutien-gorge noir.Ce bref instant m’avait fait bander et ma femme, qui avait vu la scène, posa délicatement une main sur la bosse que formait ma bite à travers mon pantacourt et me glissa discrètement à l’oreille :
— Espèce de gros cochon.
Je souris.La soirée passait, et ce fut l’heure de partir. Le temps de dire au revoir à tout le monde, nous nous sommes dirigés vers la voiture. Ma femme croisant sa mère, celle-ci lui dit :— Bon retour, je file prendre un bain et je vais me coucher, à bientôt.— Bonne nuit, à bientôt, répondit ma femme.
Dans la cour, ma femme me dit :— Suis-moi petit coquin.
Ma femme m’attira à l’arrière de la ferme de ses parents. Nous contournions donc la ferme rapidement. Je m’attendais à baiser ma femme dans le champ, mais celle-ci ralentit le pas à l’abord d’un fenestron.
— Regarde discrètement par le fenestron.

Je m’avançais à pas de loup, nous prenions garde à bien rester dans la pénombre de la nuit.Là, je vis ma belle-mère qui avait déjà enlevé son haut et qui s’apprêtait à dégrafer son soutien-gorge noir. Mon érection reprit de plus belle.
— Ça te plaît mon chéri de voir ma mère nue ? — Je bande comme un salaud, ça m’excite et toi ça te plaît ? — Je mouille comme une chienne.
Ma belle-mère, ignorant notre présence, dégrafa son soutien-gorge, et offrit à ma vue sa belle grosse paire de seins. Ils étaient énormes, avec de beaux tétons et de belles aréoles. Je m’imaginais les lécher, les masser, me branler avec. Elle aurait pu faire une cravate de notaire à un cheval avec des nichons pareils.Maintenant, elle baissa sa jupe vers le sol, ses seins pendants. Puis en se relevant, je vis à ma grande stupéfaction qu’elle ne portait pas de culotte. Sa chatte se tenait devant nos yeux.
— La salope, pendant toute la soirée elle n’avait pas de culotte ! m’exclamais-je.— C’est une chienne, t’as raison. Elle a gardé sa chatte à l’air.
Ma femme m’avait déboutonné mon pantacourt et baissé la fermeture éclair de celui-ci pour sortir ma bite afin de la masturber pendant que je regardais sa mère nue.Ma belle-mère enjamba la paroi pour rentrer dans la baignoire. Le fenestron étant dans l’axe de la baignoire, une fois allongée, ma belle-mère se trouvait face à nous. Une belle vue de ses seins et de sa chatte nous était offerte.Elle prit un gant et le mouilla. Versa dessus du savon liquide et commença sa toilette.
— Ce n’est pas très bien, suis en train de bander comme un salaud en matant ta mère.— Ça m’excite moi aussi, même si c’est interdit, me dit-elle.
Ses mains parcouraient ses épaules, son ventre, puis elles s’attardèrent sur ses seins. Je la regardais les presser, les frotter. Elle lâcha son gant pour se masser les seins à mains nues. Elle se titillait les tétons, pressait et frottait ses seins entre eux. Je bandais comme un cochon, un filet de mouille coulait de ma queue jusqu’au sol. Ma femme me masturbait toujours avec délicatesse.Quand elle eut fini avec ses seins, ma belle-mère reprit son gant et se frotta la chatte avec.
— Elle t’excite ma salope de mère, hein mon salaud, chuchota ma femme.— Oh oui, t’as vu comme elle me fait bander, répliquai-je.— Comme un chien en chaleur, me dit-elle avec un sourire.
Ayant encore envie de se donner du plaisir, ma belle-mère lâcha le gant pour s’occuper de sa chatte avec ses doigts. Elle commença par se frotter l’entrejambe puis elle écarta ses cuisses. Profitant du spectacle, on ne manqua rien, constatant ainsi ses grosses lèvres et son vagin bien rose. Ma belle-mère se laissait quelques poils au-dessus de sa chatte, une belle toison noire bien taillée.Elle passa un doigt entre ses grosses lèvres, si grosses que son doigt disparut en dessous, puis elle écarta ses lèvres pour enfoncer son doigt dans son vagin. Ma femme avait passé une main dans sa culotte pour se masturber, pendant que l’autre continuait à me branler.Les gémissements de ma belle-mère étaient audibles, les yeux fermés, s’imaginant se faire baiser certainement, elle se masturbait de plus en plus fort.
— Je vais jouir, annonçais-je à ma femme.— Verse ton foutre dans ma main.
Tout en regardant ma belle-mère, j’éjaculais dans la main de ma femme, me vidant les couilles, excité par le spectacle.
— Huuum c’est brûlant. Elle t’a bien fait jouir ma mère.— Oh oui, ça m’a vidé les couilles, nous sommes vraiment de gros cochons.
Ma femme se masturba maintenant avec sa main souillée de sperme. Elle devait en avoir plein la chatte et comme moi, tout en regardant sa salope de mère se faire du bien, elle jouit.Soudain, mon beau-père entra nu dans la salle de bain, la bite dure et tendue et avec un concombre dans la main. Ma belle-mère stoppa sa branlette. Surpris, je reculai, mais ma femme n’avait pas l’intention de partir. Elle me prit la main, m’invitant à rester.
— Attends encore un peu, me dit-elle.
Mon beau-père se pencha et enfonça le concombre dans la chatte de sa femme, elle cria de plaisir. Puis ma belle-mère ouvrit la bouche. Mon beau-père lui mit sa verge dans la bouche et la baisa. Il lui donnait des coups de hanches, faisant glisser sa verge au fond de la gorge de sa femme. Ma femme salivait en regardant la grosse verge de son père. La bite n’était pas très longue, mais bien large, comme ma femme les aime. Ma belle-mère prit des deux mains le concombre et se branla avec, tout en suçant son mari. Ses seins esquichés par cette position devenaient encore plus gros.
— Il a vraiment un gros gland, dit ma femme.— Elle te plaît sa pine, avoue !— Ça me fait mouiller encore, je suis une vraie salope mon chéri.— Regarde bien ton père se faire sucer par ta mère, et prends bien ton plaisir ma chérie.— Oh mon chéri, elle m’excite la bite de mon père, je la sucerais bien, je suis une salope... Et toi, t’aimerais bien qu’elle te la suce ma mère hein ?— Huuum oui, j’ai même envie de la baiser, pendant que tu baises avec ton père.— On est de gros porcs mon chéri, mmmmm j’aime ça, je sens que je vais jouir.
Je rebandais durement et pris ma femme debout en levrette en regardant la scène.Mon beau-père éjacula très vite dans la bouche de ma belle-mère et sur les seins.Elle avala une partie de foutre et recracha l’autre sur ses loches. Puis elle suça pour bien nettoyer la verge du père de ma femme. Mon beau-père sortit, laissant sa femme souillée de sperme dans la baignoire.Ma femme avait joui en regardant ses parents baiser, son corps s’était tendu, mais elle ne pouvait crier de plaisir. J’avais éjaculé dans sa chatte, m’imaginant être dans celle de ma belle-mère.Nous regardâmes ma belle-mère sortir le concombre de sa chatte pour le sucer. Puis elle prit un par un ses seins pour les porter à sa bouche et lécha tout le sperme de son mari.
Ma belle-mère finit rapidement sa toilette, quant à ma femme et moi, remis de nos émotions, nous retroussions nos vêtements.En rejoignant discrètement la voiture, ma femme me redit.
— On est vraiment des gros cochons, j’aurais presque honte, j’ai joui comme une chienne. Cela m’a vraiment excitée mon chéri.
J’acquiesçai en réalisant ce qu’il venait de se produire, toujours excité, puis elle enchaîna.
— Qu’est-ce que c’était bon !— Oui très chaud, mais très excitant aussi, on est des pervers...— Je ne suis pas en reste d’idées interdites, je me suis imaginé baiser ta mère pendant que tu chevauchais ton père. Et quand je t’ai joui dans la chatte, j’aurais aimé être dans celle de ta mère.— mmmmm salaud, dit–elle, excitée.
Elle reprit en souriant :— Quand tu as éjaculé en moi, je me suis imaginée que c’était mon père avec sa grosse queue qui versait son foutre dans ma chatte et ça m’a fait jouir comme une chienne.— Je lui caressais un sein en guise de satisfaction tout en la regardant.
Arrivés à la maison, nous étions encore excités par ce qu’il venait de se produire. Durant le trajet, ma femme ne s’était pas arrêtée de se caresser en parlant de scènes hard vécues.
— J’ai pris du plaisir à voir la bite de mon père, je suis vraiment une belle salope, me lança-t-elle sur le pas de la porte.— Tu as honte ? lui demandais-je. Cela serait normal.— Oh non pas du tout, ça m’a plu et j’espère qu’on pourra recommencer... et toi ? me dit-elle.— Si cela t’a excité et que cela te plaît, moi aussi j’espère que l’on pourra recommencer.— Cela me fait fantasmer d’imaginer partager ce moment avec eux... tu imagines.
Ma femme me faisait rebander, la bite de son père l’excitait. Je n’aurais jamais cru cela d’elle, mais elle était en train de s’imaginer s’occuper de la pine de son père.Nous nous sommes déshabillés dans la chambre, et avant de me sucer la bite, elle me dit :— mmmmm je pourrais déjà le pomper devant toi.
Ma femme me rendait fou, j’avais envie de baiser comme un cochon avec elle et la laisser s’imaginer être avec son père. On a baisé en s’imaginant des scènes très hard d’échangisme avec mes beaux-parents. Pour notre plus grand plaisir. Nous avons poussé la vis jusqu’à gémir leur prénom pendant l’acte ...
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