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le voyeurisme, une passion

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Le voyeurisme, une passion !
Je m’appelle Fabien, j’ai 35 ans, je suis en couple et j’aime mater. On peut considérer que c’est une perversion comme une autre. Pour ma part, c’est une passion, voire une drogue ! Je suis totalement fidèle à ma copine mais j’avoue adorer mater sous les jupes des filles, reluquer les fesses de mes collègues bien roulées, repérer chaque décolleté plongeant qui passe à ma portée.
Cette habitude, ce besoin, est en moi depuis la puberté durant laquelle ma timidité ma privé de pas mal d’occasions de conclure et où, finalement, je me contentais de fantasmer sur les courbes avantageuses de certaines filles et de coups d’œil volés au bon moment.
Depuis j’ai pris de l’assurance et de l’expérience et je ne loupe jamais une occasion de reluquer une paire de jambe. Ou plutôt je ne loupais jamais une occasion car, à force d’aller trop loin, j’ai failli mettre mon couple en péril. Voici donc une série d’événements plus ou moins brefs de ma vie de voyeur, tous réels bien qu’un peu romancés, et à la charge érotique très fortes pour moi. Je l’espère pour vous également.
La première fois où cette habitude de mater m’a entraîné dans une situation inattendue et a achevé de me rendre accros, c’était à un mariage, il y a maintenant plusieurs années. J’étais alors célibataire et, comme tous les célibataires à un mariage, j’étais en chasse ! Après quelques tentatives infructueuses auprès de jeunettes de mon âge durant le vin d’honneur, je plante mon regard sur une femme superbe, d’environ 40 ans et apparemment mariée. Elle était assez grande, blonde, des seins de taille correcte et, en apparence en tout cas, bien fermes, un très beau cul et de longues jambes toniques et bronzées. Et le tout emballé dans une superbe robe noire, dont le haut était assez décolleté et le bas s’arrêtait à mi-cuisse. Les 20 derniers centimètres du bas de sa robe étaient en dentelle noire, si bien que même si elle n’était pas si courte que ça, ses jambes étaient presque entièrement nues par transparence. Elle attirait évidemment les regards, ce qui ne dérangeait à priori pas son mari qui d’ailleurs se comportait comme un mufle en lui claquant les fesses devant ses amis ou en faisant des allusions à leur vie sexuelle. Gênée, elle finit par s’isoler de lui et restait le plus souvent seule à boire du champagne.
Si je peux vous raconter tout ça c’est que, depuis son apparition à la cérémonie, je ne voyais plus qu’elle. Je me mis alors en chasse de la moindre opportunité de voyeurisme. J’étais en face d’elle lorsqu’elle s’accroupit pour relacer ses chaussures de soirée et que l’intérieur de sa cuisse est apparu. J’étais là à chaque dois qu’elle se penchait en avant pour mater son profond décolleté, contempler une bonne partie de ses gros seins et constater avec excitation qu’elle ne portait qu’un redresse sein et que ses tétons étaient donc nus sous le fin tissu de sa robe.
Au buffet, j’étais à côté d’elle pour profiter de la foule et lui caresser les fesses tout en demandant une flûte de champagne sans même la regarder. Bizarrement, elle ne réagit pas spécialement à cet attouchement furtif, se contentant de regarder autour d’elle. J’étais en permanence en érection à ses côtés.
A un moment, je la vois assise sur un muret derrière l’église, fumant une cigarette, le regard perdu avec le sourire, vers les gosses qui jouaient. Assise ainsi sur ce bas muret, ces jambes croisées sont presqu’entièrement dénudées et j’ai aperçu à deux reprises un bout de sa culotte lors d’un changement de position. Elle me rend fou et, l’alcool aidant, j’ai de plus en plus envie d’aller la draguer… Après avoir hésité environ 200 fois, je me lance et vais lui demander une cigarette (précision : je ne fume pas…) en essayant d’engager la conversation :
— Vous semblez vous ennuyer ? La soirée ne vous plaît pas ?— C’est surtout mon mari qui connaît les mariés, moi non…— Moi pareil, ce sont des amis de mes parents.— Fabien…, au fait— Caroline, enchantée.
Je ne savais plus qui dire, d’autant que j’avais du mal à ne pas fixer ses seins et ses jambes, quand le destin me donna un coup de pouce. Thomas, mon neveu, qui jouait avec les autres gosses m’aperçut et vint me sauter dessus en criant « TONTON !! ».
Je profite donc de me bagarrer et de chahuter avec lui pour me mettre au niveau de jambes de Caroline qui sourit, attendrie par cette scène. Entre deux coups que je fais semblant de donner sur la tête de mon neveu, je jette un coup d’œil à l’entrejambe à deux mètres de moi et reste hypnotisé par ses cuisses et cette culotte que j’aperçois par intermittence. Elle croise et décroise les jambes en encourageant mon neveu à me taper et relève ainsi l’intérieur de ses cuisses. Régulièrement, elle tire sur le bas de sa robe pour l’empêcher de remonter trop haut ce qui, pour moi, augmente encore un peu plus l’érotisme de la scène.

Ce petit jeu dure un moment alors que je pense, à tort, être discret. Car Caroline me regarde maintenant avec un regard bizarre… A la fois complice et malicieux. Je ne comprends d’abord pas mais, alors que je jette la casquette de Thomas plus loin pour l’embêter, c’est elle qui se lève et va la ramasser. Mais au lieu de plier les genoux, elle se baisse en tendant ces fesses en ma direction. Le bas de sa toute petite robe se soulève alors jusqu’à révéler le rond de ses fesses et un peu de sa culotte qui, manifestement, est un string. Je crois faire une crise cardiaque en voyant cela… Elle se redresse et, sans réajuster sa robe cette fois, laissant ses jambes totalement nues, se retourne vers nous et se penche pour redonner la casquette à Thomas en exposant à 50 cm de mon visage son décolleté plus plongeant que jamais. Je pouvais voir la quasi-totalité de ses seins : encore une petite crise cardiaque…
— S’il t’embête encore, dit-elle à mon neveu, dis-moi le et je lui donnerai une fessée, d’accord ?— Hahaha, d’accord ! répondit innocemment Thomas.
Puis elle se rassoit, croise très haut les jambes, révélant la totalité de son entrejambe et nous regarde à nouveau nous amuser. Mais alors que j’essaie d’être discret, elle m’aguiche en permanence, croisant et décroisant les jambes nonchalamment. Je matais sa culotte et ses cuisse sans réserve et sans discrétion aucune. J’étais sans aucun doute rouge comme une pivoine, et dans, mon boxer, dure comme du béton. Du coup, la présence de Thomas me gênait même si à 5 ans, il ne comprenait rien à ce qui se passait à côté de lui. Je lui demande donc de retourner jouer avec ses copains plus loin car je vais fumer et qu’il ne faut pas qu’il reste à côté de moi.
Je redemande donc une cigarette à Caroline. Je me penche vers elle pour qu’elle me l’allume mais elle me glisse à l’oreille.
— Je sais que tu ne dois pas beaucoup fumer pour grimacer comme ça à chaque latte… Je sais aussi que tu me mates depuis le début de ce mariage…rajoute-elle en m’allumant le bout de la clope.
Je me redresse, ne sachant quoi dire, et avant que j’ouvre la bouche :
— … et je sais aussi que c’est toi qui m’a touché les fesses tout à l’heure !
Je baisse les yeux, désolé et vaincu, croyant qu’elle allait me sermonner et partir. Mais elle se lève, me remonte le menton du bout des doigts.
— Ne t’inquiète pas, ça ne me dérange pas… Essaie juste d’être un peu plus discret quand tu le fait… Je vais me chercher une coupe de champagne… Tu crois que tu pourrais me toucher au milieu des gens sans te faire voir ?
J’étais scotché, jamais je n’aurais osé espérer un truc pareil. Cette femme est, en fait, chaude comme la braise et m’invite clairement à continuer de la mater et de la toucher.
Elle retourne donc au buffet et s’insère dans la foule pour aller prendre un petit four. Je la suis, me place derrière elle pour demander une flute de champagne et commence à la caresser. Nous sommes entourés de dizaines de personnes mais comme toute monde s’agglutine, difficile pour quiconque de voir autre chose que le haut du corps des gens.
Ma main, d’abord dans son dos, descend discrètement vers ses fesses. Du revers de mon doigt, j’effleure sa colonne vertébrale, la suis jusque dans le creux de son dos puis caresse du bout des doigts la courbe parfaite de ses fesses. Je touche et masse un peu sa fesse gauche, puis la droite, je glisse un doigt dans le creux de ses fesses en suivant le string que je sens sous sa fine robe. J’essaie d’être discret et ne la palpe donc pas à pleine main. Mais mes doigts lui font tout de même de l’effet car je la sens frémir au moment où ils quittent son fessier pour caresser ses cuisses nues. Je peux difficilement aller plus bas que mi-cuisses sans me pencher (ce qui ne serait pas vraiment discret) donc je remonte ma main coté intérieur vers son entre-jambe et, alors qu’elle ne s’y attendait apparemment pas vu son frémissement, passe sous sa robe, remonte le long de sa cuisse et viens lui effleurer son string. Celui-ci, à ma grande surprise, est moite. Caroline mouille abondamment du simple fait de mes caresses en public.
Alors que mon doigt se fait plus insistant et appuie maintenant plus fort sur son vagin, Caroline semble céder à l’excitation et met sa main sur mon sexe. Évidemment, je bande très dur depuis un moment et cela a l’air de la satisfaire. Moins discrète que moi, elle me palpe de sexe à pleine main et la caresse de tout son long. Elle semble apprécier la taille car, en effet, sans être Rocco, j’ai plutôt été gâté par la nature… La pression de mon doigt sur son sexe provoque d’humidification très nette du string, bientôt transformé en éponge. Voulant faire durer le plaisir, le sien en premier lieu, mais aussi le mien car toucher cette superbe femme me comble de joie et d’excitation, je n’essaie même pas d’écarter son string pour atteindre son sexe. Par contre, j’enfonce mon doigt dans le tissu qui pénètre légèrement et sans difficulté dans son vagin et glisse plus en avant pour stimuler son clitoris.
Imaginez bien qu’il me faut le plus grand des selfs contrôles pour ne pas la prendre sauvagement sur la table du buffet, devant tout le monde, et la faire hurler de plaisir. Car vu les soupirs discrets mais bien réels qu’elle laisse échapper alors que je la caresse, il est clair qu’elle-même se laisserait baiser ici sans contester…
Nous sommes sortis de notre bulle par le marié qui, sur une chaise, s’adresse à l’assemblée pour dire quelques mots et nous annoncer que nous allons passer au repas. Alors que le silence se fait pour écouter le marié, Caroline me glisse avec un regard de braise :
— Allons à l’arrière…
Elle passe en premier et va se placer contre le mur de la salle, à l’arrière de la foule attentive et orientée vers le marié. Je me place à côté d’elle.
— Fais-moi jouir, me chuchote-elle alors en regardant droit devant elle, comme si elle écoutait le marié.
A suivre...
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