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le voyeurisme, une passion

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Suite :
La vue de ce magnifique cul ainsi écarté est alors une des plus belles choses que je n’avais jamais vu ! Je profite un peu mon plaisir puis décide d’y retourner. Toujours dans cette position, je m’introduis dans son anus et la lime franchement. Je me retourne et vois dans mon dos une chose que je n’avais pas remarqué encore : le miroir du placard de la chambre. Celui-ci me permet d’avoir une magnifique vue sur la scène, comme si je matais un porno. Dans le miroir on peut voir mon cul poilu et tendu (aucun intérêt….) mes couilles qui pendent et ma bite qui rentre entre de belles fesses, elles-mêmes écartées par deux mains aux ongles délicatement vernis. Juste en dessus, je vois une belle chatte bien ouverte et trempée dont les lèvres remuent légèrement à chacun de mes coups de boutoir. Sans confusion possible, je vois également une longue trainée de mouille qui coule le long d’une de ses cuisses et des goutes qui pendent et parfois tombent de son clitoris, gonflé de plaisir. A notre droite, je vois le corps endormi du mari de la femme que j’encule en ce moment.
En mateur professionnel et amateur de porno, je reste longtemps fixé sur cette scène et prends mon temps pour faire durer cette sodomie le plus possible. Puis je décide de changer de position. Je fais lever Caroline et la place debout, contre le mur de la chambre à 50 cm de la tête de lit et accessoirement de la tête de son mari. Je l’embrasse puis la retourne et lui fait tendre le cul, jambes serrées. Je me renfonce d’un coup dans son fion et reprends mes vas-et-viens délicieux.
Rapidement, je sens l’orgasme monter mais ne veux pas encore jouir. Je gagne donc du temps et me permettant quelques perversités. Ainsi, je me retire et approche les fesses et l’anus grand ouvert de Caroline à quelques centimètres du visage du mari.
— Cuve bien ton vin, poivrot, lui dis-je en chuchotant. Pendant ce temps, je m’occupe de ta femme… C’est une sacrée salope, tu sais… Elle suce divinement bien et baise comme une déesse. Et regarde-moi ce trou du cul… elle était vierge de ce trou il y a encore 10 minutes et elle n’a jamais voulu te laisser la prendre par là… Et bien moi, je lui défonce le fion à ta femme !
Puis je lui remet ma bite dans le fion et la défonce violemment durant un bref instant avant de me retirer à nouveau pour déballer les pires horreurs qu’on peut dire à un homme à propos de sa femme. Je répète ce schéma un certains nombres de fois et gagne ainsi de précieuses minutes d’enculage en contrôlant ma jouissance si proche. Mais Caroline finit par me demander :
— Fabien… s’il te plaît… Je commence à avoir très mal et j’ai vraiment peur qu’il se réveille… Tu peux finir ?— Pas de soucis… viens là.
Je me retire et la fait s’agenouiller. Je me masturbe au-dessus d’elle avec la ferme intention de jouir sur son beau visage.— Cet après-midi, tu m’as dit qu’une faciale aurait taché ta robe et gâcher ton maquillage… Plus aucun problème maintenant, n’est-ce pas ?— Non, plus aucun… Viens sur moi, mets-moi en partout sale pervers !
Ces mots déclenchent immédiatement le premier jet de sperme qui s’abat sur son front et ses cheveux. Ce n’est pas aussi abandonnant que tout à l’heure mais l’excitation fait que les jets sont tout de même puissants. Le reste de mon foutre lui arrive sur une joue et sur les lèvres te le bout du nez. Rechignant à sucer une bite qui vient de sortir de son trou du cul, elle se contente d’un petit coup de langue sur mon gland pour la dernière goute.
Alors qu’elle se relève et va vers la salle de bain pour se nettoyer, je me rhabille et contemple encore un peu son corps alors qu’elle essuie le sperme de son visage.
Nous avons passé ensuite le reste de la soirée dans la voiture à discuter de vos vies, à nous embrasser et à nous dire que nous souhaitions absolument nous revoir. Effectivement, nous nous sommes revus mais, clairement, il n’y avait pas la même passion que durant cette nuit fabuleuse. Puis un jour, Caroline m’annonça que son mari avait totalement arrêté l’alcool, que ce n’était plus le même homme et qu’elle souhaitait donner une nouvelle chance à son couple. Ce que je pouvais tout à fait comprendre, d’autant qu’elle n’avait aucun avenir sérieux avec un jeune comme moi.
Cette expérience m’a apporté plusieurs choses : d’une part de l’expérience niveau sexe, ce qui me manquait cruellement jusqu’alors. D’autre part, cela a achevé de me rendre accro au voyeurisme car cela m’a prouvé que, non seulement on pouvait se faire plaisir en regardant mais que ça pouvait aussi déboucher sur quelque chose de plus concret.
A partir de ce jour je me suis convaincu qu’en matant ou touchant une inconnue, celle-ci pouvait se prêter au jeu et en redemander. Caroline devait être une exception car il a fallu attendre des mois avant que ce genre de miracle se produise à nouveau. Entre temps…. Rien !
Durant la période de célibat qui suivi ma « séparation » avec Caroline, j’ai développé ma technique pour mater les filles. Toutes les occasions étaient bonnes… J’étais particulièrement actif à la Fac, au printemps, où les filles souvent peu farouches mettaient régulièrement des tenues disons…. légères. Sur les marches des amphis je captais régulièrement les culottes des copines de promo assises négligemment. En cours je prenais toujours un place qui surplombait qui jolie nana avec un décolleté plongeant ou à côté d’une avec une minijupe. Même si je ne voyais pas son entrejambe, la voir croiser et décroiser ses jambes et révéler une bonne partie de ses cuisses était très excitant. Si je me retrouvais dans les bancs inférieurs, je prétextais discuter avec des potes derrière moi pour me retourner et mater les cuisses des filles dans mon champs de vision. Le plus souvent, il faut avouer, je voyais des genoux disgracieux et des jambes solidement serrées. Mais parfois, le hasard voulait qu’une croise les jambes à ce moment et me montre sa culotte.
Une seule fois durant cette année à la fac j’ai vu une fille qui m’a allumé durant un cours. M’ayant sans doute grillé à force de me retourner, elle s’est amusée avec moi et écartait les jambes à chaque fois que je tournais la tête pour faire semblant de chercher quelqu’un du regard. C’était à chaque fois bref et furtif mais sa petite culotte rose m’a ravi durant une heure. Puis, juste avant la fin de la séance, elle est partie avec un autre groupe d’élève et je ne l’ai plus revue (des promos à 120 étudiants dont certains ne faisaient que quelques modules…).
Un autre endroit où je pouvais me faire plaisir, c’était dans les chambres universitaires. Dans ces logements liés au campus mais gérés comme des mini appartements, on croisait régulièrement des filles en tenue décontractée ou même en carrément en sous vêtement quand elles sortaient des douches. Car si les douches n’étaient évidemment pas mixtes, les couloirs, eux, l’étaient, si bien qu’en tombant au bon moment, vous pouviez marcher derrière une nana en shorty et top ultra moulant ou même seulement vêtue d’une serviette. Et dans ce contexte de jeunes adultes perpétuellement en drague, nombreuses étaient les filles à allumer les mecs avec des pyjamas sexy, des serviettes de bain courtes ou même des flash seins nus au détour d’un couloir. J’ai vu un nombre impressionnant de boobs durant cette première année de Fac ! Par contre, il était un peu déroutant de croiser une fille en cours qui vous regarde à peine alors que la veille, elle s’est amusée à ouvrir sa serviette devant vous, juste avant de rentrer dans sa chambre et de vous planter là…
Mais le mieux que l’on puisse faire en termes de voyeurisme quand on est dans une ville étudiante, ce sont les transports en communs, l’été. Rien ai plus excitant qu’un bus de ville rempli d’étudiantes courtes vêtues quand il fait 30 degrés avec une atmosphère électrique.
Durant les mois de mai et juin de cette année, la vagues de chaleur étaient assez pénibles mais avaient l’avantage de raccourcir les jupes et les débardeurs et faire parfois disparaitre les soutifs… Je passais mon temps libre dans les bus de la ville pour aller d’un point A à un point B sans but aucun, en sélectionnant évidemment les lignes fréquentées par les étudiantes, notamment celles qui desservaient les fac de psycho, socio ou bio, là où les filles étaient largement majoritaires.
Durant les premières semaines, je me contentais de m’assoir et de mater les fesses et les cuisses à ma hauteur. Les tétons qui pointaient sous des débardeurs trempés par la sueur étaient également très agréables à contempler. Mais l’excitation que cela me procurait était proportionnelle à la frustration de ne pouvoir en voir plus. De ne pouvoir toucher quoi que ce soit…
Après quelques recherches sur internet, j’ai finalement fait l’acquisition d’une mini caméra USB, de qualité moyenne, qui, une fois dissimulée dans ma main, me permettait de filmer sous les jupes des filles. Un nouveau monde s’ouvrait à moi car enfin, je pouvais voir les culottes, les strings et parfois les sexes des filles qui me faisaient bander dans le bus ou même à la fac, à la faveur d’une montée d’escalier.
Ainsi, pendant des jours, je me mettais debout dans les bus bondés, me teniais à une barre d’une main et filmais sous les jupes de l’autre. C’est au cours d’un de ces « tournages » que j’ai touché pour la première fois les fesses d’une inconnues et ai franchi un nouveau cap dans mon addiction. Je filmais en effet le cul d’une fille quand une violente secousse du bus ma déséquilibré et ma fait toucher de la main les fesses de la fille. Mais comme la secousse avait surpris tout le monde, la fille n’a pas réagi et a fait comme si de rien n’était.
A partir de ce jour, en plus de mater et de filmer, je profitais de chaque secousse, même minime, pour effleurer une cuisse ou une fesse. Puis, selon la situation et la réaction de la fille, je retentais ma chance en palpant plus franchement ses fesses. Dans la grande majorité des cas, au bout d’une ou deux fois les filles se retournaient et exprimaient leur agacement. J’arrêtais là. Parfois je laissais ma main sur une fesse d’une fille plus « compréhensive » mais elle me chassait de la main et j’arrêtais de l’importuner.
Mais un jour, une fille, LA fille, ne retira pas ma main. C’est ainsi, dans un bus en plein été, qu’une expérience terriblement excitante m’est arrivée et sur laquelle je vais m’attarder un peu.
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