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le voyeurisme, une passion

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
Suite :
J’avais repéré cette fille depuis quelques semaines car, d’une part, elle était super canon et, d’autre part, elle prenait la même ligne que moi, à des horaires relativement réguliers et descendait toujours au même arrêt. J’avais donc quelques belles vidéos de ses petites culottes sous ses jupes ou de ses fesses bien moulées dans un jean.
Un jour de forte chaleur, j’avais passé une bonne partie de la journée à arpenter les bus en filmant un string par ici, touchant une fesse par là. Le double effet de la chaleur et de la vue de tous ces petits culs en sueur que j’allais pouvoir mater ce soir sur mon ordi m’avait terriblement excité. Je bandais comme un taureau à la simple vue d’une cuisse un peu dénudée ou d’une robe un peu transparente mais j’étais aussi un peu frustré de ne pas avoir encore vu cette fille si canon. Puis, à un arrêt inhabituel, je la vois qui monte dans le bus et se place dans l’allée du bus en s’agrippant à une poignée suspendue.
Tranquillement, au fur et à mesure que les gens s’asseyaient ou se levaient, je me rapproche de ma cible et finis pas me placer juste derrière elle. Même de dos, elle est absolument superbe. Elle est brune, assez grande avec une belle paire de seins (que j’ai pu contempler à de multiples reprises mais que je ne vois pas en ce moment, malheureusement). Aujourd’hui, elle porte une simple chemisette blanche et une petite jupe noire, manifestement légère. Sa chemise lui couvre normalement la taille mais sa main agrippée à la poignée en hauteur la fait remonter un peu du côté droit et révèle le haut de sa hanche. De sa jupe dépasse un élastique, normalement caché ; celui, je suppose, d’un string. La vue de ce corps divin et son odeur délicatement épicée par la sueur me font bander à m’en faire mal.
Je commence, comme à mon habitude, à faire une petite vidéo sous sa jupe en essayant le plus possible de filmer son entrejambe qu’elle a entrouverte. Puis ma mini caméra émet une petite vibration m’indiquant que la mémoire est pleine. Je suis d’abord énervé et envisage donc de descendre du bus rapidement mais je décide finalement de profiter de cette proximité avec elle pour essayer de la toucher. Je mets mon MP3 sur mes oreilles et fait mine de tapoter sur mon téléphone portable. A la première secousse du bus j’effleure de la main droite une de ses fesses. Pas de réaction.
Autre secousse, autre pelotage de fesses, plus appuyé cette fois, et toujours pas de réaction de sa part. A la secousse suivante, elle tourne la tête dans ma direction au moment où je baisse le regard vers mon portable. Elle maintient ainsi la tête dans ma direction quelques secondes si bien que, pour ne pas faire louche, je lève les yeux, croise les siens et la salue d’une bref signe de la tête, comme un garçon surpris qu’une belle fille le regarde. Elle détourne alors le regard et me tourne à nouveau complètement le dos.
Je ne le remarque pas tout de suite mais quelque chose a changé dans sa posture : ses jambes sont légèrement plus écartées. Je me fais alors la remarque qu’il est bien dommage de ne plus avoir de mémoire dans ma caméra car, dans cette position, j’aurais une belle vue de son string. Je laisse passer une secousse sans la toucher pour ne pas abuser mais elle regarde légèrement par-dessus son épaule en cambrant sensiblement les fesses vers moi. Serais-je en train de rêver ou bien cette fille me fait clairement un appel « du pied » ? Non, je dois me tromper. Je dois me tromper mais, en même temps qu’est-ce que je risque ? Une remarque, une baffe au pire et la honte dans un bus plein d’inconnus… Je jette un œil à ma droite (un vieux qui lit un magazine en me tournant légèrement le dos) et à ma gauche (un groupe de lycéens occupant plusieurs sièges en train de rigoler). Je suis donc relativement tranquille et je me décide à approcher ma main de ses fesses toujours légèrement tendues.
Alors que mon cœur bat très fort à l’idée de me faire claquer la tronche, ma main se pose délicatement sur le rond de ses fesses. Elles sont fermes et chaudes. Et, dans un grand moment de soulagement je sens un frémissement de la part de la fille et aucun mouvement de rejet. Ma main reste posée sur son cul et elle ne dit rien… Ok, là c’est sûr, elle est d’accord pour se faire toucher par un inconnu et en redemande.
Je bouge un peu ma main pour masser sa fesse et sert légèrement les doigts pour la palper. Je glisse ma main sur le côté pour toucher sa hanche et descend sur sa cuisse. J’arrive en bas de sa jupe et hésite un instant à effleurer sa peau. Mais j’entends alors un profond soupir de sa part qui me convainc de continuer. Ma main s’aventure alors sur la peau nue du côté de sa cuisse. Elle est chaude et un peu moite du fait de la transpiration mais mes caresses lui déclenche une légère chair de poule. Je remonte ma main et caresse son autre fesse et son autre cuisse.
Dans mon pantalon, un pieu plus dur que jamais ne demande qu’à sortir pour défoncer cette fille, là, dans ce bus. Perdant peu à peu toute retenue, ma main passe sous sa jupe et caresse ses fesses à même la peau. Effectivement, elle porte un string. Putain, j’ai du mal à y croire !! Ma main pelote son beau cul, caresse ses cuisses et effleure la ficelle du string en la suivant jusqu’à son entrejambe. Ça y est, un de mes doigts touche son sexe au travers du tissu !
De son coté, je vois son visage prendre un air sérieux, regarder fixement devant elle. En bas, par contre, elle se lâche et cambre maintenant carrément les fesses vers moi en écartant les jambes plus franchement. Ma main effectue des vas-et-viens sur la fine étoffe de son string, au niveau de son sexe. Je masse également l’intérieur de ses cuisses puis reviens sur son sexe. Je sens nettement le tissu s’humidifier par la mouille et profite d’une autre secousse pour me coller un peu plus à elle. Je plaque ma bite bandée contre sa cuisse pour bien lui montrer mon état. Je serre mon sexe contre elle et elle répond en poussant vers l’arrière pour mieux la sentir. Elle joue également avec moi et avec mon sexe en bougeant sa cuise de gauche à droite.
Pendant ce temps, sous sa jupe, c’est l’inondation. Le doigt qui caresse son sexe est trempé, sans même l’avoir doigté... Je passe de son clitoris à sa vulve pour l’exciter, la rendre folle. J’enfonce mon doigt en elle, avec le tissu, d’abord de quelques millimètres puis, grâce à l’étoffe transformée en éponge, je rentre presque la moitié de mon doigt dans son vagin. Je me décide enfin à écarter son string sur le côté pour la doigter réellement. Mais alors que j’allais excéder à son sexe, elle fait un pas en avant, stoppant net mes caresses et la stimulation de mon sexe avec sa cuisse.
Je pensais être allé trop loin mais elle se retourne légèrement et me dit à voix basse :

— Je descends là... Demain, 14h, arrêt République.
Puis elle se dirige vers la porte et appuie sur le bouton pour demander un arrêt à la prochaine. Alors que le bus s’arrête et qu’elle commence à descendre, elle me regarde et me lance un regard de braise en se mordant discrètement la lèvre inférieure, puis disparaît.
Je m’assois, vidé par cette expérience mais encore évidemment très excité. Arrivé à la maison, je me branle 2 fois d’affilée simplement en repassant à ces caresses et à ce qui pourrait se passer demain. J’en oublie même de regarder les vidéos que j’ai tourné aujourd’hui.
Le lendemain, à 14h, j’avais normalement cours mais j’ai séché sans hésité... hors de question de louper un truc pareil.
Je me rends à pied à l’arrêt République un peu avant 14h. Je laisse passer un bus puis, à 14h pétante, je la vois qui arrive. Elle me voit également mais reste à distance, comme si j’étais un inconnu (ce que je suis en fait...). Mais elle a le sourire ! Elle est particulièrement sexy aujourd’hui : débardeur blanc très décolleté, soutien-gorge à dentelle (que l’on voit en relief sous le débardeur) et jupe blanche très légère mais un peu plus longue que la veille. Le bus arrive à 14h02 et nous montons à l’intérieur avec d’autres personnes. Je passe en premier dans l’allée et, en professionnel des transports en communs que je suis, je vais me placer dans un coin du bus que je sais tranquille, couvert à ma droite par le dos de 2 sièges et à ma gauche par une paroi vitrée qui fait la limite avec l’une des sorties. Sur la vitre il y a le plan de la ligne, les horaires et une grosse pub. Du coup, on ne peut me voir ni de la gauche ni de la droite, juste d’en face où l’espace est conçu de la même manière.
La fille me suit de près et viens se placer de dos, devant moi, agrippée cette fois à une barre. Le bus se remplit bien à cet arrêt si bien qu’il n’y a plus guère de place. Alors qu’un gros bonhomme passe dans l’allée pour trouver un espace non loin de nous, la fille en profite pour se reculer un peu et viens presque se coller à moi.
La position est parfaite, la fête peut commencer.
Sans même penser à filmer, je touche du bout du doigt des fesses en regardant autour de moi si personne de voit mon petit manège. Mais l’époque veut que les gens préfèrent baisser les yeux et regarder leurs tablettes, téléphones, journaux plutôt que de croiser le regard de quelqu’un d’autre… Parfait ! Je pelote maintenant ses fesses sans retenue et elle se frotte contre moi sans plus de gêne. Je passe ma main sous sa jupe et commence à lui caresser les cuisses et la peau si douce de ses fesses. Là, surprise, je constate qu’elle ne porte rien sous sa jupe, ni string ni culotte. Cette petite coquine est entrée dans un bus sans culotte avec une jupe pouvant se soulever à la moindre brise…
J’aventure un doigt au niveau de son sexe et constate qu’elle mouille déjà abondement, sans doute même depuis l’arrêt de bus. Pour ne pas la brusquer de me contente d’abord de titiller son clito et d’effleurer ses lèvres. Mais elle écarte sensiblement ses jambes et se retourne pour me jeter un regard qui en dit long sur son excitation. Alors qu’elle me fixe toujours, j’enfonce mon doigt en elle et lui arrache un bref mais sincère soupir. Elle regarde à nouveau devant elle, cambre ses fesses vers moi et s’abandonne totalement à mes attouchements. Tout est essayant de rester discret, je la doigte franchement, lui branle le clito et prends même le risque de lui caresser furtivement le ventre et les seins, plus exposés aux regards des autres usagers du bus. Ses tétons sont très durs, ses seins gros et fermes.
De son coté, elle cède à la tentation et glisse une main dans son dos pour aller me masser le sexe au travers de mon short. Elle masse ma bite, la branle légèrement par-dessus le tissu, me palpe mes couille. La bosse qui déforme mon short est impressionnante et elle s’en rend compte. Alors que j’ai deux doigts en elle et que je la stimule tant de l’intérieur que de l’extérieur, elle passa sa main dans mon short et sort mon sexe. Immédiatement, pour ne pas qu’on nous voie, je la prends par les hanches et nous place encore un peu plus dans le coin, histoire que mon sexe soit totalement dissimulé par elle et les sièges. Mais sans attendre, elle commence à me branler légèrement, s’amuse me décalotter et joue avec mon gland du bout de son pouce.
De mon côté, sachant que cela fait un moment que nous sommes collés ainsi et qu’un observateur avisé verrait facilement que c’est louche, j’accélère mon mouvement et parvient à la faire jouir en quelques secondes en m’acharnant sur son clito gonflé d’excitation. Elle ne prononce pas un mot mais je sens très bien son orgasme à la manière dont son vagin se contracte sur mes deux doigts que je lui enfonce dans la foulée et vu comment elle sert la queue.
Je pensais alors qu’elle allait me finir (quelques secondes auraient suffis…) mais elle range mon sexe, appuie sur le bouton de sortie et se dirige vers la porte du bus. Ha, la salope, me dis-je, elle ne va pas me laisser dans un état pareil ! Je lui emboite donc le pas et descend avec elle à l’arrêt. Elle part en direction du centre-ville en marchant comme si de rien n’était et sans même me regarder (il est même possible qu’elle ne s’imagine même pas être suivie car je ne sais pas si elle m’a vu sortir du bus). Mais je ne la lâche pas et la suis de loin jusqu’en ville. Elle s’arrête devant quelques vitrines, reprend son chemin, tourne dans une autre rue, etc. Puis d’un coup, elle bifurque dans une petite ruelle un peu à l’écart des magasins. Je l’imite quelques secondes après mais découvre une impasse un peu glauque bouchée par un l’entrée d’un bâtiment en face et quelques portes de chaque côté de la rue. Mais pas de fille. Disparue…
Déboussolé, je m’avance sans savoir pourquoi, essaie de regarder les noms sur les portes, sans savoir pourquoi non plus car j’ignore tout d’elle. Je me retourne pour m’en aller, dégouté, mais là, je l’aperçois, cachée dans le renfoncement d’une porte d’entrée, qui m’observe, souriante. Nous échangeons un regard et en l’espace d’une seconde, je me précipite sur elle. Loin de me repousser, elle m’accueil au contraire dans ses bras ouverts et m’embrasse goulument. Mais étant dans un état seconde, je lui soulève une jambe, sort mon sexe et l’enfile d’un coup jusqu’à la garde. Cette fois je lui arrache un petit cri de plaisir. Je la lime rapidement et brutalement comme si ma vie en dépendait tandis qu’elle s’agrippe à mes cheveux et gémit de plaisir.
— Humm, ne te retiens pas… haaaaa…. Fais vite…..
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je lui soulève son autre jambe, la plaque contre la vieille porte d’entrée et la baise comme un fou.
— Ooohhh putain, continue, plus fort…. Attends, ne jouis pas en moi ! — Ok….
Je donne encore quelques coups dans sa chatte trempée puis, au bord de la jouissance, me retire d’un coup sec. Immédiatement, elle se saisit de ma bite enduite de sa mouille et me branle frénétiquement. Elle place son autre main en coupe au bout de mon gland et, en quelques secondes, fait sortir les premiers jets de spermes. Le premier, d’une puissance légitime vu la situation survole sa main et atterrit sur sa cuisse dénudée. Le reste de mon foutre vient lui remplir sa main alors qu’elle regarde impressionnée la quantité qui s’accumule. Puis, enfin, elle presse ma queue pour faire sortir la dernière goutte. Elle s’accroupit et me donne un timide mais sublime coup de langue sur mon gland, puis se relève :
— Désolé mais je n’ai pas de moyen de contraception en ce moment… — Il n’y a pas de soucis, lui dis-je. C’était extraordinaire.— Pour moi aussi, tu m’as rendu folle dans le bus…
Elle renverse mon sperme par terre et s’essuie la main avec un petit mouchoir. Elle m’embrasse à nouveau. Je me jette alors à l’eau.
— C’est un peu con de te demander ça comme ça, mais ça te dirais qu’on se revoie ?
Elle sourit et me répond :
— Bien-sûr… si j’ai accepté que tu me touche dans le bus c’est que je t’avais de tout façon repéré… Je n’aurais pas fait ça avec n’importe qui.— Cela faisait aussi un petit moment que tu m’obsédais…— J’avais vu, tu n’es pas si discret que ça ! — Donc on sort ensemble ?— Je ne vais quand même pas me contenter de ce petit coup vite fait… Il faut que tu me montre de quoi tu es capables…
Nous nous embrassons à nouveau puis commençons à marcher pour sortir de l’impasse.
— Au fait, me dit-elle, moi c’est Justine.— Fabien. Heureux de te connaître….
Voilà comment j’ai rencontré Justine, une fille avec qui je suis sorti durant 3 mois. Au début, c’était passionné et d’une intensité rare. Nous faisions l’amour tout le temps et partout. Elle était autant exhib que moi voyeur. Nous avons continué avec nous toucher dans les transports en commun et même à baiser lorsque l’occasion se présentait.
A suivre...
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