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le voyeurisme, une passion

Chapitre 6

Voyeur / Exhibition
Suite :
Je me souviens notamment d’une fois où, de retour d’un concert, nous avons pris le dernier bus, quasiment vide, et nous avons commencé de faire l’amour dans les sièges du fond. D’habitude on faisait vite puis sortions discrètement du bus par l’arrière. Mais cette fois, après avoir fait descendre les derniers passagers à part nous, le chauffeur redémarre et nous dit :
— Eh, les jeunes ? Plutôt que de vous cacher, si vous faisiez ça au milieu de l’allée, que j’en profite un peu ??
A ces mots, nous avons d’abord voulu filer mais Justine m’a regardé, empalée sur moi et excitée et me dit :
— En même temps, qu’est-ce que ça change ? Il roule, il nous regarde, on peut faire ça devant lui…— Tu es sur de vouloir qu’un inconnu de regarde baiser ??— Bin… oui peut être…. On verra bien si ça me plais… T’es ok ?— A fond !
Nous nous levons donc de nos sièges, moi encore la bite à l’air, et nous approchons du conducteur. Justine se place à quatre pattes dans l’allée et demande :
— Ici, ça ira ? Vous voyez bien ?— C’est parfait ! Amusez-vous bien…— Bon spectacle, lui répond-elle alors que je me place derrière elle et la pénètre d’un coup.
Durant plusieurs minutes, je l’ai donc baisée sous le regard lubrique mais correct de ce chauffeur de bus qui me demandait de lui faire des trucs, ce que je faisais avec plaisir, comme si nous étions des marionnettes. A sa demande, je l’ai prise dans plusieurs positions, elle m’a sucé, je l’ai léché. A un moment, Justine lui demande :
— Ca vous dirait qu’il m’encule ?— Et comment !! T’es une petite coquine toi, hein ?— Vous n’imaginez même pas, lui répondis-je.
Je sors donc de sa chatte et l’encule bien profond (elle était habituée voire même demandeuse…). Puis, au bord de juter, c’est moi qui demande au vieux :
— Si je lui jute sur le visage, ça vous va ? — Vas-y, fais-toi plaisir !!
Je sors alors de son cul et me branle juste en face d’elle puis lui envoie ma semence sur son beau visage (chose que nous faisions régulièrement également) et lui en met partout.
— Alors, ravi du spectacle ?— C’était parfait, merci les jeunes !— On descendra à la prochaine…— Ok…, tenez, vous prendrez ça pour le spectacle.
Et là, il met un billet de 20 euros sur le rebord de sa cabine. Justine s’essuie le visage et remet sa culotte pendant que je range ma queue. Puis, le bus s’arrête et nous commençons à sortir. Arrivé à sa hauteur, Justine prend le billet en le remerciant.
— Je ne voudrais pas abuser, dit-il, mais je n’ai pas eu la chance d’apercevoir tes seins… (il est vrai que j’ai juste relevé la jupe de Justine pour le baiser).— Hum, pas de soucis… répond-elle.
Elle soulève alors son T-shirt devant lui et lui montre sa belle poitrine sans soutien-gorge.
— Doux jésus… dit-il, admiratif.— Vous pouvez toucher si vous voulez… lui proposai-je
Justine me regarde avec un air un peu surpris puis donne son accord au chauffeur qui palpe un peu timidement mais avec plaisir les seins de ma copine.
— Vous voulez voir ma chatte aussi ? lui demande-t-elle
Et sans même attendre sa réponse, elle soulève sa jupe pour montrer sa culotte. Je lui baisse alors pour exposer le vagin un peu défoncé de ma copine devant cet inconnu.
— Je peux la toucher aussi, cette petite chatte ?— Heu, ok… après tout ! répond-elle.
Il arrête alors de lui peloter les seins et passe sa main entre ses jambes et lui caresse fugacement la chatte.
— Elle est encore trempée, me dit-il en me regardant avec le sourire.— Je sais… elle va encore prendre cher à la maison !— Veinard… dit-il en la caressant encore un peu puis en retirant sa main.— Tenez : cadeau.
Je lui tends alors la culotte humide de Justine et descend avec elle du bus.
— A bientôt, j’espère, nous lance-t-il en refermant la porte du bus.
Après cet épisode, nous avons renouveler l’expérience sur cette ligne, avec ce même chauffeur qui prenait un grand plaisir à nous regarder. Sous l’effet de l’excitation, Justine a excepté une fois de le masturber et de le faire jouir. Voir le sperme de cet étranger souillé la main de ma copine de m’a pas spécialement dérangé car je savais que l’homme n’était pas un danger pour moi : il est vieux, pas très beau… J’étais, paradoxalement, assez jaloux des beau mecs qui parlaient à Justine, tant je savais qu’elle rendait fou les hommes.
Mais cette passion n’a pas duré et au bout de plusieurs semaines, notre relation c’est normalisée et j’ai découvert que nous n’avions pas grand-chose en commun à part le gout pour l’exhibe… Elle était superficielle et matérialiste, j’étais écolo et amateur de nature. Au bout de 3 mois nous avons rompu en bon terme après avoir une nouvelle fois baisé dans un lieu public.
Je vous le dis : rompre avec une fille en l’enculant violemment dans un parc public est assez plaisant…
Dans les mois qui ont suivis, j’ai repris mon activité de voyeur en filmant les fesses de nombreuses filles dans les bus et tram, ayant même la chance une fois d’en filmer une qui ne portait pas de culotte. J’ai également revu à plusieurs reprises Justine, avec qui j’étais resté en bons termes, et son nouveau copain… un mec aussi superficiel qu’elle. Cela ne nous empêcha pas de baiser quelques fois avec la fougue de nos premiers ébats et le coté épicé du cocufiage… Je lui ai cassé le cul aussi fort et aussi longtemps que je pouvais en me disant que décidément, cette fille était une bombe atomique couplée d’une terrible salope et que malgré mon attirance pour elle, j’avais bien fait de rompre.
Les mois ont passés sans rien de bien exceptionnel à raconter… petites culottes, bout de seins, aventures sans lendemain, etc. Il a fallu attendre ma troisième année de Fac pour que je rencontre la femme de ma vie, avec qui je suis toujours aujourd’hui. Une rencontre banale sur les bancs de la Fac qui s’est soldée par une relation parfaite sur tous les plans. Sur le plan sexuel, en particulier, ma copine n’a pas spécialement de perversions, ni de côté nymphomane mais reste ouverte aux choses non conventionnelles comme la sodomie (même si cela reste un peu trop rare à mon gout) ou les scénarios. Par contre, elle a un rapport distant avec le sperme et ne supporte ni l’ejac faciale, ni le fait d’avaler.
Durant plusieurs années, notre vie c’est ainsi déroulée normalement et ma passion pour le voyeurisme est passé en second plan, mais n’a pas disparu. Si j’ai arrêté de mâter et filmer dans les transports en commun, présence de ma copine oblige, j’ai développé mon radar pour capter les parcelles d’intimité des filles de manière furtive…
Petit conseil d’expert : si vous voulez mater, quelques endroits y sont particulièrement appropriés. Oubliez d’abord les cabines d’essayage, plus souvent peuplées de vieilles, de grosses ou de moches (sans que ce soit péjoratif de ma part, c’est uniquement descriptif) plutôt que de bombes… et pas si facile que ça à mater de toute façon. Préférez plutôt les magasins de chaussures. Bizarre, me direz-vous ? Peut-être, sauf qu’en été, les filles (celles qui vous plaisent et que vous pouvez repérer à l’avance) vont essayer leurs chaussures en robe, jupe ou mini-short et vont devoir se pencher en avant, s’agenouiller, croiser et décroiser leurs jambes, etc. Il suffit d’être là au bon moment. Le pire c’est que lorsque vous accompagnez votre copine dans ces magasins, elle essaie tout ce qui lui plait sans vous prêter d’attention. Et je peux vous dire qu’avec une copine fan des chaussures, j’ai assisté à pas mal d’essayage très sympa où j’apercevais par exemple très distinctement un string et des fesses bien tendues quand la fille se penche en avant, des décolletés plongeant, les entrejambes, etc. Et si vous êtes fétichistes des pieds (ce que je ne suis pas), alors là, ce doit être un régal…
Les parkings et aires d’autoroutes sont également bien sympa pour voir de la cuisse et de la culotte lorsque les demoiselles montent et descende de leur voiture en été. Elles sont souvent contentes de sortir de la voiture pour se dégourdir les jambes et écartent négligemment les jambes, pour le bonheur des mateurs !
Autre endroit pour mater, une évidence mais on l’oublie souvent, la plage. Que de seins, de cuisses, de chattes épilées et de maillots moulant j’ai pu mater durant mes vacances. Je ne parle pas des plages nudistes où, encore une fois, vous êtes le plus souvent agressé visuellement par des vieilles (ou des vieux) à poil que par des jeunes étudiantes en vacances. Par contre, sur les plages familiales, celles qui font du topless ou de l’intégrale (plus rare) sont plutôt des femmes assez jolies, parfois canons, entre 18 et 50 ans. Quand on est voyeur, il faut être sélectif !
Enfin, un endroit idéal pour mater, mais là il faut avoir la chance d’avoir de quoi se rincer l’œil : le lieu de travail en général, les bureaux en particulier. Je ne vais pas vous faire la liste de tout ce que j’ai pu voir à mon travail mais j’avais quelques collègues forts charmantes pour lesquelles j’ai développé une fascination et des méthodes de voyeurisme bien au point ! A la fin, j’avais même acheté une petite webcam pour filmer et regarder en direct l’entrejambe de ma collègue d’en face. Il est absolument divin d’avoir une superbe femme comme collègue au quotidien, pouvoir contempler ses formes à la moindre occasion et, en plus, mater ses cuisses et sa culotte en direct pendant qu’elle est en face de vous. Ma première caméra ne me quittait jamais non plus à mon boulot, si bien que j’ai des vidéos « upskirt » ou de fesses moulées dans un jean de ma collègue, de deux des secrétaires, de la comptable (un peu âgée, certes mais encore très belle) et surtout de la directrice, femme au combien bandante qui ne s’habillait pas hyper sexy mais très classe (tailleur cintrée, chemise moulante, jupe à mi-cuisse…) et qui était, pour couronné le tout, une porteuse régulière de bas. J’adorais me faire convoquer dans son bureau car je savais que j’allais revenir avec de quoi me branler pendant une semaine !!
Bref, ce petit train-train voyeur durait depuis un moment quand un élément nouveau entra en jeu dans ma vie de couple : l’arrivée chez nous de ma belle-sœur, de 5 ans plus jeune que ma copine, que nous hébergions en attendant qu’elle trouve du travail dans la région. Rien de terrible à ça sauf que cette belle-sœur était une jeune beauté, gaulée comme une bimbo (dans le sens : blonde, forte poitrine, belles hanches, postérieur rebondi… des formes généreuses mais sans aller jusqu’à l’embonpoint) et un peu naïve quand à son physique et surtout l’effet qu’il pouvait avoir sur les mecs autour d’elle.
La vie à la maison est devenue plus agréable, d’une certaine manière, car j’avais à « disposition » une jeune fille superbe, adepte des tenues décontractée (du coup pas de jeans moulants mais plutôt des robes de baba cool légères, des t-shirt lâches ou des débardeurs d’ado devenus trop petits pour sa poitrine mais qu’elle continuait de proter…) et une propension à négliger toute pudeur une fois dans un milieu familier. En toute innocence, je pense.
Son pyjama se résumait ainsi à un long T-shirt et une culotte. Elle pouvait sortir de la douche en soutient gorge et string pour aller chercher ses vêtements en disant à ma copine, qui s’en offusquait, que c’était comme d’être en maillot de bain. Elle s’épilait les jambes devant la télé avec nous sans s’émouvoir du fait qu’elle était jambes écartées et exposait sa culotte durant de longues minutes. Et c’était tous les jours comme ça… aucun besoin de se forcer pour mater. Un exemple : le matin, elle avait l’habitude de replier ses jambes sur elle, dans son T-shir/chemise de nuit pour boire son café, encore un peu endormie. Du coup, le col de son T-shirt était écarté par ses jambes et je pouvais entièrement voir ses seins en passant au-dessus d’elle. Presque tous les matins, je partais au travail en ayant vu les seins de ma belle-sœur !
Par ailleurs, il se trouve qu’elle dormait sur un matelas gonflable dans le salon, à quelques pas seulement de l’ordinateur sur lequel je passais mes soirées. Nous avions donc pris l’habitude que je n’allume qu’une petite lampe de bureau et que je mette un casque sur mes oreilles pour pouvoir jouer sans l’empêcher de dormir. Durant les dernières semaines d’hiver, elle dormait emmitouflée dans sa couette et je ne lui prêtais aucune attention, mais les beaux jours arrivant, elle dormait de plus en plus légèrement vêtue… Elle arborait notamment comme pyjama, à part une simple et classique culotte, un petit short en coton en apparence normal mais qui était si court qu’il laissait souvent échapper le rond de ses belles fesses ou une parcelle de son haine selon les mouvements qu’elle faisait.
Elle m’obsédait donc un peu plus tous les jours et toutes les nuits, mais uniquement du point de vue physique car son caractère m’insupportait (nous étions et sommes toujours totalement incompatibles !)… Une sorte de sécurité me permettant de ne pas tomber amoureux d’elle, juste de la trouver bandante !! Du coup, une idée, une obsession plutôt, naquit en moi : la voir nue. Entièrement nue.
C’est là que j’ai commencé à aller trop loin et que j’ai faillis foutre mon couple en l’air.
A suivre...
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