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le voyeurisme, une passion

Chapitre 7

Voyeur / Exhibition
Suite :
Pour voir ma belle-sœur nue, j’ai d’abord tenté de regarder par le trou de la serrure lorsqu’elle se douchait. Contrairement à ce qu’on peut croire, regarder par ce trou n’apporte pas grand-chose… Je pu à peine apercevoir ses seins lorsqu’elle se penchait pour aller cherche son gel douche, mais rien de plus. Cela m’a juste excité un peu plus.
Puis je me souvins que j’étais équipé de mini caméra USB, que l’on prend très facilement pour une clé USB ou un lecteur MP3 (c’est le but, je pense…). Je me suis donc arrangé pour placer judicieusement cette caméra dans ma salle de bain, le matin en général, juste avant sa douche. Je la mettais sur des petites enceintes que j’utilisais pour écouter de la musique sous la douche, juste en dessous de mon vrai lecteur MP3, relié à ces enceintes. La caméra était donc visible mais passait inaperçue au milieu du matériel audio.
De ce point, je pouvais filmer tout le bac de la baignoire (servant de douche). Et comme nous disposions d’une vitre pour éviter les éclaboussures qui pouvait me gâcher la vue, je repliais systématiquement celle-ci sur elle-même, coté extérieur, pour la coincer et éviter qu’une fois dans la douche, ma belle-sœur puisse l’ouvrir. Au pire, elle devrait ressortir du bac et la décoincer, mais au moins je la verrais rentrer et sortir de la douche, ce qui peut donner de belles images également…
Le résultat fut au-delà de mes espérances.
La première vidéo montre ma belle-sœur entrer dans la salle de bain, se regarder un peu dans la glace et commencer à se déshabiller. Elle le fait de la manière la plus naturelle qui soit : elle enlève son T-shirt et sa culotte qu’elle jette dans le sac de linge sale. Elle observe un instant un bourrelet naissant sur son beau ventre pourtant encore assez plat. Puis elle regarde de près son sexe épilé (que je vois aussi comme si j’y étais…), enlève à la pince quelques poils rebelles et se décide à entrer dans la douche. Elle ne remarque pas la vitre repliée et commence à faire couler l’eau. Elle se rince, d’abord face au jet (et me montre donc son magnifique cul) puis se retourne et expose ses gros seins mouillés et son sexe.
A chaque seconde de vidéo qui passe, je crois avoir une crise cardiaque tant ce corps est magnifique mais normalement interdit à mes yeux. La vidéo continue, la douche aussi. Ma belle-sœur arrête l’eau et, se retourne et se penche pour aller prendre son gel douche dans sa trousse de toilette. Elle se savonne le corps, les seins, les cuisses et se rince sous l’eau. Puis, alors que je m’attendais à la fin de la douche, elle se retourne encore vers sa trousse de toilette et prend un autre type de gel. Je suppose qu’il s’agit d’un gel intime car elle commence à se laver le sexe avec. Ce fut de toute beauté !
Elle commence par se frotter le bas du ventre et le sexe avec le gel. Puis elle pose un pied sur le rebord de la baignoire et insiste sur sa chatte, ses lèvres. Elle se rentre un doigt, fait quelques allers-retours puis ressort son doigt. Elle rallume l’eau et approche la pomme de douche de son sexe pour le rincer. Elle se frotte, se doigte un peu à nouveau puis écarte en grand ses lèvres pour bien rincer sa chatte.
Malgré la qualité moyenne de la vidéo (caméra bon marché oblige…) qui rend les détails de son sexe un peu flous, je me rends compte que je suis en train de regarder ma belle-sœur entièrement nue en train d’écarter ses lèvres vaginales pour bien les nettoyer… Mon cœur bat à 100 à l’heure et je ne peux retenir mon orgasme, car vous imaginez bien que j’étais en train de me branler en regardant cette vidéo…
Sur mon écran, elle finit sa douche en sortant de la baignoire et en s’essuyant. Encore une fois, je peux contempler ses seins, ses fesses et son sexe. Un seul petit regret, je n’ai pas pu voir ses fesses bien écartées et son petit anus. Dommage…
Alors que sur la vidéo elle se rhabille et sort de la salle de bain, je me dis que ce plan est magnifique et que je vais renouveler la tentative à la moindre occasion. Son corps m’obsède, j’en suis devenu accro…
J’ai donc continué à la filmer lorsque c’était possible et j’ai récupéré ainsi des heures de douches où le caractère bandant variait beaucoup : parfois elle pensait à refermer la vitre et je ne la voyant que lorsqu’elle montait et descendait de la baignoire, parfois elle mettait sa trousse de toilette juste devant la caméra et je ne voyais rien ! Et parfois, c’était juste extraordinaire…
Parallèlement à ce voyeurisme par vidéo interposée, je devin actif en direct. Les soirées chaudes de l’été aidant, il arrivait de plus en plus fréquemment qu’elle dorme avec un simple drap sur elle et que celui-ci finisse par laisser échapper des parties de son corps. Un soir que je jouais sur le PC, je remarque que sa jambe dépasse du drap. Une jambe nue jusqu’à mi-cuisse.

La vision de cette jambe, pourtant anodine, m’excitait peut être autant que les vidéos d’elle nue… Sans doute parce que je savais que son entre jambe, son sexe, le contact de sa peau étaient à portée de main, uniquement cachés par un morceau de tissu. Le gout de l’interdit…
Mettant le jeu en pause, je me lève de ma chaise et m’approche doucement d’elle. Elle dormait profondément, bouche ouverte, la respiration lente et régulière. Pour m’assurer de cet état, je décide tout de même de passer et repasser à côté d’elle plusieurs fois, comme si j’allais me chercher à boire à la cuisine ou un truc du genre… Pas de réaction. Je la touche ensuite du bout du doigt, sur le drap puis m’éloigne tout de suite… Pas de réaction. Elle dort bel et bien.
Je vous dresse le tableau à cet instant : ma belle-sœur est profondément endormie sur un matelas gonflable, sur le dos. Elle a un bras sur le ventre et un autre sous son oreiller. Elle a la tête tournée vers le côté opposé de mon PC (sans doute a-t-elle été gênée par la lumière). Ses jambes sont raides mais une est écartée et dépasse de la couverture. Cette couverture, justement, ne couvre qu’une partie de son corps… Je peux apercevoir le haut de son torse, une jambe, un coté de sa taille et ses deux pieds. Et pour vous donner mon état d’esprit à ce moment précis, je sais qu’elle est allé se coucher avec un simple débardeur sans soutif et un mini short, à mon avis sans culotte en dessous. Et, évidemment, je bande…. comme un malade.
Je baisse la lumière de mon bureau, juste assez pour pouvoir la voir bien mais suffisamment peu pour ne pas la réveiller. Hésitant un million de fois et durant de longues minutes, mais cédant finalement à l’envie, je décide de m’approcher et de commencer à soulever le drap pour découvrir le haut de sa cuisse. Celui-ci étant très léger, je parviens sans mal à dénuder toute sa jambe, puis son aine et le bas de son ventre sans même qu’elle ne réagisse. Le spectacle qui s’offre à moi est divin. Son mini short ne couvre vraiment que l’essentiel et est si lâche qu’il entrebâille et laisse apparaitre les prémices de son intimité.
Je constate aussi que ses seins sont presque à portée. Sa main sur son ventre m’empêche de soulever le drap plus haut mais rien ne m’empêche de découvrir sa poitrine par le haut. Avec mes deux mains, je baisse très délicatement la fine couverture et mets à jour sa poitrine, grosse et ferme. Le débardeur qui couvre ses seins met en valeur ses tétons et ne tient qu’à un fil, sur chacun de ses épaules. Je tire sur le décolleté du débardeur et aperçois très bien le creux de ses seins. Mon cœur palpite, je suis en sueur uniquement du fait de la tension… Ses seins sont là, à quelques centimètres de moi.
Dans un état d’excitation rare, je cède encore une fois à une pulsion et je décide de baisser la bretelle gauche de son débardeur, son bras droit étant relevé derrière sa tête. Je parviens ainsi à desencdre la bretelle jusqu’à son coude et de fait, à baisser le haut de son débardeur à peu près d’autant. Son sein gauche est donc presqu’entièrement à nu… il me suffit alors de faire glisser le débardeur légèrement vers le bas pour enfin, et après de longues minutes de manœuvre, voire son sein en vrai, entièrement nu.
Il est magnifique, gros et ferme. Avec mon portable, je prends une photo de ma belle-sœur dans cet état de semi-nudité. Je ne résiste pas non plus à l’envie de touche ce sein. Je le touche d’abord du bout du doigt puis, ne voyant pas de réaction, pose ma main dessus, sans effectuer de pression. Le contact de sa peau à un endroit si intime de sa personne me fait battre le cœur à une allure folle. Son téton, dans le creux de ma main durcit très légèrement.
Puis, devenant lucide un instant, je me dis que si elle se réveille un sein à l’air, elle trouvera cela très louche et se doutera de quelques chose. Je décide donc de remonter son débardeur et de couvrir son sein. Trop risqué à relever par contre, sa bretelle restera là où elle est : une bretelle peut tout à fait tomber toute seule sur le côté pendant le sommeil.
Je reviens alors à son entrejambe. Son mini short en coton est suffisamment lâche pour que j’essaie de l’écarter un peu. Je soulève légèrement le tissu, aperçois son haine. J’essaie de pousser ma chance et soulève la bande de tissu couvrant son entrejambe. Mais alors que je commence à voir le bord de sa lèvre et que j’allais enfin pourvoir contempler sa chatte, elle se tourne sur le côté opposé en grommelant.
En un dixième de seconde, je me recule et me rassoit à mon ordinateur. Mais elle ne se réveille pas et se stabilise dans cette position. Elle m’a empêché de voir son sexe mais, à présent, elle me montre bien son cul. Car ainsi sur le côté, les jambes légèrement repliées sur elle, et le drap mal mis, j’ai une vue imprenable sur ses fesses. Son short rentre légèrement dans sa raie et laisse sortir le bas de son beau cul. J’avais déjà vu auparavant cette partie de ces fesses lorsqu’elle portait ce short. Mais là, je peux les contempler autant de temps que je veux. Je peux les toucher aussi… Je me relève de mon siège et ma place à nouveau à sa hauteur. Je reprends une photo et pose ma main sur son cul, à moitié sur le tissu, à moitié sur la peau.
Puis elle frémit et replace la couverture sur elle, toujours endormie. Je profite de cette nouvelle interruption pour me forcer à arrêter mon voyeurisme et ne pas aller trop loin. Je me dirige évidemment vers les toilettes pour me soulager.
Le lendemain matin, elle est encore endormie quand ma copine et moi nous levons pour nous préparer avant d’aller au travail. Elle dort paisiblement et rien dans sa tenue ne laisse deviner quoi que ce soit. Elle se réveil et alors qu’elle se lève en nous disant bonjour, le côté gauche de son débardeur glisse et laisse apparaitre son sein durant une seconde. Elle remet la bretelle en disant un petit « oups… ».
Je la regarde en souriant alors que ma copine me lance un regard désapprobateur…
Elle file directement à la douche sans que j’aie eu le temps d’y placer ma caméra. Je n’aurais donc pas de vidéo à mater ce soir, mais avec les souvenirs de cette nuit, je peux fantasmer pendant un bon moment !
J’aurais pu m’arrêter là, mais une obsession est une obsession. Durant les jours et les nuits qui ont suivis, j’ai ainsi continué à la filmer sous la douche et la « déshabiller » dans son sommeil. Les résultats « de nuit » étaient très aléatoires car parfois elle était tellement emmitouflée dans sa couverture qu’il aurait été plus facile de déshabiller une momie !
Mais les résultats « de jour » eux étaient souvent satisfaisants, et j’ai mal obtenu le « graal », une chose que je n’osais espérer : une superbe scène de masturbation.
A suivre...
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