Mon nom est Gwendoline, à l’époque jeune étudiante de 22 ans qui arrive sur Lyon pour ses études, je m’installe dans un petit deux-pièces dans le 8e arrondissement. Mes parents sont présents pour m’aider à m’installer et être sûrs que je ne manque de rien. Pendant mon emménagement, nous recevons la visite de Jacques, il se présente comme étant le président de la copropriété, il précise que la résidence est très tranquille, et que je peux compter sur lui en cas de besoin. Jacques est un homme d’une soixantaine d’années, jeune retraité d’une compagnie aérienne où il exerçait le métier de pilote de ligne. A première vue, c’est un homme très classe, qui prend soin de lui et de son corps. Ses yeux sont bleus, ses cheveux gris, et dégage une prestance troublante.Je remercie Jacques pour sa proposition et lui précise que je ne manquerai pas de venir le voir en cas de besoin. Je suis installé depuis bientôt un mois, j’ai pris mes marques dans cette ville et ce nouveau logement, mais également des habitudes dans ce petit appartement qui change de la grande maison familiale. En rentrant des cours, je prends le temps de ranger mon sac avant de me débarrasser de la totalité de mes vêtements. Quel plaisir de sentir ce soutien-gorge relâcher la pression sur mon corps, libérer mon sexe emprisonné de ce si petit string. Etant chez moi, sans parents ni colocataire, je me sens vraiment libre, sans contrainte, et ne fais absolument pas attention à l’environnement extérieur. Mon appartement étant situé au deuxième étage, je me sent protégé des regards extérieurs. Je travaille mon mémoire de fin d’études quand soudain, la sonnette vient m’interrompre dans ma concentration. Je regarde par l’œilleton et aperçois Jacques, je saisis ma baignoire afin de l’enfiler avant d’ouvrir. Une fois la porte ouverte, Jacques me salue : — Bonjour Gwendoline, je viens voir si tout se passe bien pour vous, avez-vous pris vos marques ?— Bonjour Jacques, merci pour votre visite. Oui, je suis tout à fait à mon aise dans cet appartement, et contente d’être dans une copropriété aussi calme.— Parfait, n’oubliez pas que mon offre tient toujours si vous avez besoin. Je peux vous aider dans le moindre de vos désirs.
Jacques accompagne sa phrase d’un clin d’œil comme pour me faire passer un message. — Merci Jacques, je n’y manquerai pas si besoin.
Je n’ai pas compris la subtilité de cet échange dans un premier temps. Après avoir salué Jacques, je me débarrasse de ma baignoire et me prépare une tasse de thé. Je m’installe devant ma fenêtre, chose que je n’ai pas encore eu le temps de faire depuis mon arrivée et m’aperçois que mon logement est plus proche que dans mes souvenirs du logement d’en face. Cette découverte m’excite, mais me fait également un petit peu peur. Après 15 minutes devant ma fenêtre, la lumière de l’appartement d’en face s’allume, je suis surprise de voir Jacques se déchausser, puis de se déshabiller intégralement tout en jetant un regard en direction de ma fenêtre. Nos regards se sont croisés, moi les seins nus à ma fenêtre et Jacques complètement nu. Je n’ai pas pu détourner le regard, offrant ma nudité à Jacques et découvrant le corps de cet homme. Je peux ainsi finir la description, son corps est musclé, ses épaules larges, il n’a pas de ventre et surtout très bien monté. De ma jeune expérience, je n’ai jamais vu une verge si large. Le fait que Jacques soit en érection m’aide beaucoup à distinguer ses attributs. Le spectacle plaît également à mon président de copropriété, mon corps fin et 95 D semble troubler l’homme qui a 3 fois mon âge. Je décide de me lever afin de lui offrir également une vue sur mon sexe intégralement épilé et mes fesses rebondies. Nous sommes restés face à face bien 2 minutes à nous contempler avant que je ne retourne à mon bureau pour travailler.
Mais la vue de cet homme bien plus âgé que moi dans son plus simple appareil revenait en boucle dans ma tête. Au moment d’aller me coucher, je prends mon jouet préféré afin de me faire jouir en pensant à Jacques. Le lendemain, je commence les cours tôt, vers 8h, mais finis ma journée à 16h. La journée n’a que peu d’intérêt, mes pensées sont tournées vers mon voisin et je me surprends même à mouiller en pensant à lui. La journée finit, je décide de me rendre dans le sex-shop situé à deux rues de mon appartement. Une fois sur place, la vendeuse se dirige vers moi : — Bonjour Madame, est-ce que je peux vous aider ou vous conseiller ?— Bonjour, je dois avouer que c’est la première fois que je me rends dans ce genre de boutique.— N’ayez pas honte, tout le monde passe au moins une fois dans sa vie dans un établissement comme celui-ci. Qu’est-ce qui vous amène ?
Je décide de me lâcher et d’expliquer mon envie de séduire Jacques, de presque 40 ans mon aîné. — J’ai vécu une expérience troublante hier soir avec mon voisin et je souhaiterais pouvoir lui plaire.— Très bien, avez-vous une idée de ce qui pourrait lui plaire ?— Non je sais juste qu’il m’a déjà vue nue, et que je souhaite l’exciter au maximum pour notre prochaine rencontre.
La vendeuse m’oriente vers un ensemble très sexy composé d’un string très fin en dentelle avec une ouverture sur le devant, d’un porte-jarretelles, de bas, et d’un corset mettant en évidence la poitrine sans la recouvrir. — Je pense que ce genre va plaire à ce monsieur, en matière de sexy et d’excitant, nous ne pouvons faire mieux.
Je décide d’acheter la tenue afin d’apparaître aux yeux de Jacques comme irrésistible. Une fois rentrée à la maison, je me déshabille dans le salon et aperçois Jacques à sa fenêtre, complètement nu, comme s’il m’attendait pour un rendez-vous. Afin d’augmenter le futur effet de surprise, je fais comme si je ne l’avais pas vu et file sous la douche. Une fois fini, je m’habille de cette jolie lingerie loin de la fenêtre, recouvre le tout d’un joli peignoir en soie que Jacques connaît déjà, j’enfile des talons aigris haut et sors de mon appartement pour me diriger chez lui. Je suis devant sa porte, en peignoir, des dessous ultra-sexy sur moi, et j’appuie sur le bouton de la sonnette. La porte s’ouvre, dévoilant un homme heureux de me voir, mais plein d’incertitude sur la suite.
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