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La voyeuse

Chapitre 6

Divers
Résumé de la voyeuse 5
Elsa vivait un moment délicieux. Son cinéma intime caché, mais d’autan plus cochon. Il lui semblait être dans cette chambre, près des amants à poil, elle-même nue et active, la main entre les cuisses, les doigts dans la fente, parce qu’elle aimait ça…

LA VOYEUSE 6
Par-dessus sa robe chastement fermée, elle caressa ses seins et sentit combien ses mamelons bandaient. Elle en avait énormément envie. Jetant un regard autour d’elle, elle toucha ses cuisses, se troussa légèrement. Elle en avait envie et plus rien ne l’empêcherait maintenant de réaliser ce désir qui venait de surgir brusquement. Sa peau était douce et chaude. Lentement sa main remonta vers la petite bête tapie au creux de son ventre. Des doigts elle écarta le mince tissu de sa culotte, passa la main sur son pubis, ouvrit davantage les cuisses avant de se pénétrer et de chercher son clitoris qui avait pris de l’ampleur et se dressait avec quelque insolence…Il avait besoins d’être touché…Elle l’étira en le pinçant entre trois doigts. Puis, elle l’abandonna pour aller plus bas… dans les profondeurs rosées…les profondeurs inondées. C’était agréable…si bienfaisant…et inoffensif…Devant ses yeux flottait l’image de jadis, celle de la nonne hors d’elle parce qu’elle avait trouvé un bas de femme dans la forêt déserte.Le plaisir venait, repartait quelque peu lorsque ses doigts s’immobilisaient. Elle aimait retarder le moment crucial. Ne pas se laisser partir, attendre… C’était un jeu qu’elle avait découvert d’instinct, dès qu’elle eut l’habitude de se satisfaire manuellement.Autour d’elle, toujours le même silence. La rumeur du sang dans ses veines. Les battements de son cœur, les palpitations de son sexe. Lentement le soleil avait glissé vers la gauche.Maintenant elle était plongée dans une lumière verte qui accentuait le côté mystérieux et coupable de ce qu’elle faisait.Tout à coup elle entendit le froissement des feuillages. Quelqu’un marchait sur les feuilles mortes qui craquaient. Elle retira son bras d’entre ses cuisses, rabattit sa jupe. Un brusque effroi s’empara d’elle. Voulant se relever, un de ses talons resta accroché à une racine. Elle tomba, les mains dans l’humus.Quand elle releva la tête, un homme se trouvait devant elle et l’observait de ses yeux noirs et perçants. Il restait immobile, ne l’aida pas lorsqu’elle essaya une nouvelle fois de se remettre debout. Puis, quand elle eut presque repris pied, il s’approcha. Une de ses mains pesa sur son épaule.-Restez assise, dit l’homme.-Je voulais m’en aller.-Ah oui ?L’individu eut une expression moqueuse, très fugitive.-Je vous observe depuis plusieurs moments, dit-il. Vous n’aviez pas l’intention de partir, puisque vous vous amusiez si bien...j’ai vu.Elsa regarda l’homme, un citadin égaré dans la forêt, peut-être pour les mêmes raisons qu’elle. Le besoin de s’isoler un instant et de satisfaire une brusque poussée d’érotisme.Il était vêtu d’un costume noir. C’était un homme mince, au visage mat, d’une apparence maladive, non, plutôt malsaine. Cependant quand il posa sa main sur son épaule, elle avait senti la dureté des doigts et deviné une sorte d’énergie qui ne laissait de place à aucune mollesse. La bouche grande, vorace. Des dents pointues, très blanches entre les lèvres épaisses. Malgré sa promenade à travers les bois, ses vêtements étaient impeccables. Sur ses chaussures il n’y avait pas la moindre trace de boue ou de poussière. Il devait marcher comme un chat... un félin. Oui, il avait quelque chose de félin, de sournois.Tous à coup elle eut honte d’avoir été surprise. Avec la servante d’en face, elle avait agi en pleine connaissance de cause parce que c’était une femme. Maintenant elle n’éprouvait plus aucune envie. Le désir avait fui. Elle était sèche à l’intérieur des cuisses, ses seins avaient perdu la raideur douloureuse du désir... Elle voulait fuir, ne plus voir ce visage ni ces mains trop blanches qui l’effrayaient à présent.-Lissez-moi partir, dit-elle. Je dois rentrer chez moi. On m’attend...-Vous ne paraissiez pas pressée de tout, fit l’homme d’une voix câline. Vous agissiez comme quelqu’un qui a le temps... Vous venez faire ça dans la nature, pas vrais ? Vous avez raison. C’est parfois très agréable. Et puis, il y a la sensation du danger, la peur de se faire surprendre ... Je connais ça... J’ai l’habitude... Je viens très souvent ici...J’aime voir...— Pourquoi dites-vous tout cela ?ça ne m’intéresse pas. Je veux partir...-Ce coin-si est très isolé. Les couples n’y viennent pas pour faire l’amour. Ils vont ailleurs en des endroits que je connais bien et que je pourrais vous montrer… Je vous laisserai partir si vous me montrez vos jambes… telle que vous êtes là, assise sur la mousse…En somme, ça ne vous demanderait pas grand effort… — Et ensuite, je pourrai partir ?— Si vous le désirez encore… oui…
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