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La voyeuse

Chapitre 9

Divers
Résumé de la voyeuse 8Je payais d’audace. Pendant qu’il examinait une des photos, je toussai ma robe, me plaçai dans le champ de son regard...mon bosquet découvert. Je me rapprochai. Il laissa tomber la photo obscène et préféra regarder ma réalité cochonne. Je lui dis d’y mettre la main, ce qu’il fit avec une certaine timidité.    La voyeuse 9Je soupirai d’aise lorsqu’il me prit le con, en s’enhardissant. Quand je dénudai sa verge raide et rose, j’eus tout de suite envie de l’avoir dans la bouche, et de la sucer. Je voulais faire venir son foutre dans ma bouche, sous mes coups de langue. Je lui tins un petit discours très intime dans lequel intervenaient le plus souvent les mots « pine »et « con ». J’en avais l’eau à la bouche tellement mon envie était grande. Je brûlais des pieds à la tête. Quand je me baissai il comprit parfaitement ce que je voulais faire. Il ne me repoussa point quand je le pris entre mes lèvres.La partie était gagnée. Troussée, je grimpai sur Le lit pour le sucer plus commodément tout en lui donnant la vue de mon fourbi intime.Ce n’est pas beau ce que je dis là, mais…-Ça ne fait rien, continuez, fit Elsa surprise de sa réaction spontanée.-Vous y prenez goût, hein ?dit la servante en riant grassement. Je vous comprends. Je suis comme vous. La moindre allusion graveleuse me fait flamber. Et j’aime quand on y rajoute…-Mais encore, avec ce jeune homme ? Questionna Elsa, la tête baissée.-Je le suçais avec une ardeur franche, ardente, que j’essayais de rendre la plus licencieuse possible, en lui disant de regarder ce que je faisais à sa jolie pine. Il soupirait, poussait sa tête d’entre mes cuisses pour regarder son chibre qui me taraudait la bouche. J’en devenais chaude et baveuse. Il s’excita tellement qu’il comprit que le moment des tergiversations était passé. Il s’y mit à son tour. Et ma foi, ce n’était pas mal du tout. Avez-vous déjà gouté à cette caresse buccale ? Je trouve que c’est délicieux. C’est cela que j’apprécie le plus dans les jeux de la volupté…Ce n’est pas banal du tout de se faire bouffer la chatte, la broussaille et de se faire étirer le clitoris. On peut varier les positions, les rendre plus cochonnes ou encore perversement délicates…Je suis une de ces femmes qui adore les jeux grivois jusqu’à ce qu’ils dégénèrent en une bonne et franche obscénité. C’est si bon d’être cochonne…-Oh oui, fit Elsa en soupirant. Oh oui !!-Je vois que nous deux ça gazerait, pas vrai ? Une bonne partie à nous deux. Je me déchaînerais parce que j’aime ça aussi…Si vous ne l’avez jamais fait, je vous ferais apprécier la chose. Une bonne minette à deux… deux femmes salopes…pourquoi pas ? On ne fait de tort à personne lorsqu’on se laisse aller à l’instinct de volupté…Je trouve même que l’on n’en fait jamais assez.-J’aimerais voir, opina Elsa à voix basse. C’est-à-dire, regarder ce que vous faites avec votre jeune amant… Il ne m’en faudrait pas plus. — Je sais… ce serait pour commencer… mais il me semble que vous êtes un peu voyeuse.-Vous avez raison. J’aime voir, surprendre…-Et quand vous êtes seule vous faites vos choux gras de ce que vous avez vu et vous vous branlez sur les images dont votre cerveau est farci ?-…..Oui…-Vous êtes une vraie cochonne…Mais ne vous en faites pas, je vous approuve. Mieux même …à l’avenir je m’arrangerai pour que vous puissiez voir de votre fenêtre.Ça nous excitera d’une façon réciproque… Si vous voulez je vous prêterai quelques photos pour que vous puissiez vous amuser… en secret… Mais …un jour, vous accepterez de…avec moi ?-Je ne sais … je n’oserais peut-être pas… je suis d’un naturel timide…-Au début vous n’auriez qu’à regarder. Je ferais tout moi-même… et je vous débaucherais à un tel point que vous succomberiez presque aussitôt…C’est d’accord, je patienterai. Ce sera quand vous voudrez…L’attente est aussi un plaisir. A l’avenir, pour vous montrer ma bonne volonté, j’accrocherai un chiffon à la fenêtre. Ainsi vous saurez que vous pourrez regarder quelque chose de folichon. Je mettrai Alain au courant. Il sera volontiers mon complice…Arrivées à destination les deux femmes se séparèrent. Elsa demeura longtemps songeuse. Intérieurement elle rougissait à se rappeler les propositions de la servante replète. Déjà son esprit acceptait le pire. Il n’y avait plus qu’un pas à faire. Du coup elle se proposa de rendre visite à Alfred.De ce côté-la il y aurait de l’émotion. Elle préférait commencer par là… Elsa se donnait de bonnes et de mauvaises raisons pour cette préférence. La servante, en réalité, lui semblait plus saine et trop débordante de vie pour qu’elle puisse intervenir en tiers dans ses amours.Ainsi Elsa s’accusait elle-même d’être malsaine, mais elle n’en rougissait plus comme elle le faisait jadis. Et si elle rougissait encore, c’était plutôt à cause de cette excitation avant coureuse d’émotion qui s’emparait d’elle de plus en plus souvent. Le personnage de Robert, son mari, avait basculé en elle. Il s’affadissait, devenait une image floue, un peu molle, dont il y avait peu de plaisir à tirer. Tout compte fait, elle n’éprouva jamais de grandes émotions auprès de Robert. Après le mariage, tout s’était rapidement affadi entre eux. Pendant toute une période, elle regretta leur temps de fiançailles, lorsque Robert venait la courtiser chez ses parents.Parfois ils restaient seuls dans le salon et Robert l’embrassait avec fougue, murmurant des mots insensés. Elle savait ce qui allait ce passé et déjà était en proie à une angoisse délicieuse. Celle d’être surprise soit par sa mère, soit par son père, alors qu’elle se laissait toucher…Tandis qu’il l’embrassait Robert prenait sa main, la posait sur sa braguette et lui faisait sentir son érection.-Sens dans quel état tu me mets…Un peu plus tard, il la fouillait au bas ventre, se rendait compte qu’elle-même…Il se manualisaient alors, avec une fougue maladroite mais très sensuelle, bien que la peur d’être surpris en cet acte honteux les tenaillait toujours. Parfois un pas dans le couloir les obligeait à se relever, à rajuster leurs vêtements à la hâte. Le danger passé, le jeu reprenait, plus fougueux, jusqu’à ce quelle mouillât abondamment, tandis que Robert jouissait à gros bouillons dans le mouchoir blanc dont elle avait enveloppé sa verge.
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