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La voyeuse

Chapitre 12

Divers
Résumer de la voyeuse 11Alfred s’arracha tout à coup à sa main et s’éloigna. -Faites l’amour, dit-il. Faites-le…En quelques gestes rapides il se dépouilla de ses vêtements, alla s’assoir sur le divan, les genoux écartés, la verge en obélisque. Elsa le voyait dans le miroir comme à travers une brume légère et mystérieuse.     LA VOYEUSE 12Alanguie, le cœur battant, mais fameusement excitée, Elsa se caressa, chercha du bout des doigts dans les poils, pris son clitoris qu’elle étira à en avoir les larmes aux yeux. Elle gémit, se laissa glisser à genoux devant le miroir, se masturba avec ferveur, le regard fixé sur la verge monstrueuse qui palpitait, comme agitée de spasmes titanique. Puis elle se caressa à travers tout le corps.Ce n’est pas mon corps que je touche, dit-elle d’une voix faible. C’est le vôtre…Elle se pencha, embrassa la surface glacée du miroir, là où se trouvait la verge…Ensuite ses lèvres parcoururent le corps étalé tandis que sa main s’affairait, efficace et voluptueuse.La brume s’épaissit. De l’image d’Alfred ne subsistait qu’un fragment. Le plus obscène. Une main qui masturbait une verge qui ne cessait de grandir et décalottait de plus en plus un gland tuméfié, poussé au rouge violacé.Elsa se mit à pleurer à gros sanglots. Mais chaque sanglot était un spasme de plaisir. Un plaisir dont elle ne connut jamais de semblable. Toujours à genoux, elle rampa vers Alfred, la main encore rivée à sa vulve, incapable de cesser ce jeu dont le côté immonde et pornographique l’emportait dans un antre de sorcière.Elle se plaça entre les genoux d’Alfred, posa ses doigts sur le poignet aux mouvements tétaniques.L’homme comprit, il continua, regarda la femme dont la bouche coiffa son gland mais sans y toucher. Mais quand il répandit sa semence, il sentit la chaleur torride de cette bouche qui l’absorbait et mangeait sa jouissance…Quelques instants plus tard, étendue sur le dos, les genoux relevés, Elsa achevait de se masturber. Elle venait de vaincre ses dernières hontes. Désormais sous le regard avide d’Alfred, elle recommencerait dès qu’il en exprimerait le désir…Alfred vivait dans un cadre étrange, un peu baroque. Aux fenêtres, dont les rideaux étaient toujours soigneusement tirés, il y avait des tentures mauves bordées de passementerie.Les murs recouverts de papier sombre enluminé de dessins dorés, disparaissaient sous des tableaux et des gravures, dont les sujets témoignaient d’un goût prononcé pour le bizarre et le mystérieux. Des tapis épais recouvraient le parquet tandis que des coussins étaient disséminés un peu partout, sur le divan moelleux, sur les fauteuils, sur le sol, particulièrement devant le grand miroir debout contre le mur, entre deux fenêtres basses et étroites.Tout cela créait une atmosphère ouatée, presque silencieuse, sauf lorsqu’il faisait fonctionner l’électrophone dissimulé dans une armoire et qui diffusait la plupart du temps une musique barbare et exotique. Lorsque les rideaux étaient tirés, Alfred allumait des cierges plantés dans des chandeliers de forme diverses et placés sur les meubles. Leurs flammes tremblotantes et rougeâtres créaient des ombres grotesques, épaisses ou filiformes, hautes ou basses, mais toujours en mouvement…Un antre de sorcier, se disait Elsa, où flottait un parfum assez particulier, mélange de papier d’Arménie consumé depuis longtemps et de tabac aux odeurs entêtantes.Sur une petite table basse se trouvait un appareil comme il y en avait jadis sur les champs de foire. Quand Elsa le fit fonctionner, lorsqu’elle eut les yeux collés à la lunette dont il était pourvu, elle s’aperçut qu’il enfermait une série de photos lumineuses, les unes plus obscènes que les autres.La première fois que la jeune femme les regarda, elle eut une mine effarée, faite de surprise et de gêne. Son mouvement de recul n’échappa point à Alfred qui ne cessait de suivre sa nudité à la fois plantureuse et élégante.-Cela vous choque ? fit-il en riant.-Non…mais… je ne m’attendais pas à de telles photographies…-Vous n’aimez pas ?-Mais oui… je les regarderais volontiers…-J’en ai d’autres que je puis placer dans cet appareil. L’obscénité de ces photos ma toujours attiré. La plupart du temps l’appareil est vide car je ne voudrais pas que certains de mes visiteurs soient choqués. Peu de personnes apprécient un tel spectacle et avouent le plaisir qu’elles éprouvent à le regarder…Elles ont honte, mais secrètement elles aimeraient s’attarder à ces sujets photographiques et pornographiques qui éveillent en elles le désir de s’abandonner à leurs instincts ou leurs envies secrètes, ceux qui sont souvent enfouis au plus profond d’elles-mêmes…Souriante, Elsa revint vers l’appareil, actionna la manivelle. Une nouvelle fois les images défilèrent. Les images pures et nettes du vice. Elles étaient orientées vers ce qu’elle aimait le plus. C’étaient des images de femmes solitaires mais très actives. Sur leurs visages flottait à la fois une expression bestiale et une sorte d’extase. Ce n’était point de c’est créatures vénales qui acceptent de prendre n’importe quelle pose pourvu qu’elles soient payée pour le faire.
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