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La voyeuse

Chapitre 14

Divers
RÉSUMÉ DE L’ÉPISODE DE LA VOYEUSE 13-Non …Je ne saurais y songer…Avec vous c’est un monde qui s’ouvre devant moi. A présent je n’hésite plus à avoir les pensées les plus malhonnêtes quand il s’agit de sexualité. Je me débride… Je suis folle des choses que vous me faites faire et je songe à celles que nous n’avons pas encore faites…    LA VOYEUSE 14Ils s’embrassaient, se léchaient les bouches en une sorte de chiennerie. Elsa écarta davantage ses cuisses lors-qu’Alfred suça ses tétons. Ils se regardèrent au bas ventre.-C’est bon, dit Elsa en frissonnant. Je voudrais qu’on puisse nous voir, en train de …Oh…Comme un serpent qui se dresse, le gland gonflé, la verge d’Alfred reprenait apparence belliqueuse. Elsa frotta ses seins contre la poitrine de l’homme. Elle prit la verge entre les doigts, attira le gland découvert entre ses lèvres.-Non, fit-elle, pas baiser…non… non… je ne veux pas… je ne veux pas…Mais ce fut elle qui introduisit la queue…Elsa resta longtemps auprès d’Alfred. Il bavardait beaucoup, mais en même temps lui faisait une cour assidue, ce qu’elle appréciait beaucoup. De ce côté-là, elle ne fut guère gâtée jusque là par son mari. Ce dernier l’aimait certes, mais ne montrait guère ses sentiments. Il n’avait d’ailleurs rien d’un sentimental, il était surtout préoccupé de son travail.Les manières, les galanteries qu’Alfred affichait flattaient Elsa peu habituée aux compliments. Mais à d’autres points de vue il parvenait à lui plaire.Jamais quelqu’un n’avait manifesté autant d’intérêt envers sa personne, son esprit et aussi son corps. C’était lui qui la poussait à se mettre nue, debout ou assise devant le grand miroir, à se regarder avec une complaisance voluptueuse, à se caresser comme elle aimait le faire tandis qu’il lui disait qu’elle était belle en y ajoutant toutes sortes de remarques crues et obscènes qui l’excitaient au plus haut degré. Et pour sa part, il y ajoutait sa propre façon se conduire, de se montrer impudique. Quand il bandait, il mettait son de érection en vedette et attirait l’attention d’Elsa sur les proportions remarquables de son engin, sur l’énormité lubrique de son gland et de ses couilles.Au cours de cette entrevue, Alfred parla de leurs relations et de leurs projets futurs. Ils étaient semblables en vice et en tournure d’esprit. Elsa perdait rapidement la qu’elle manifestait parfois encore lors qu’Alfred lui demandait d’adopter telle ou telle pose, de s’adonner à telle ou telle activité. Elle écoutait avec plaisir tout ce que l’homme racontait. Il avait une imagination très fertile. Elle tendait une oreille attentive aux paroles obscènes. Elles lui procuraient de profonds délices.Ils étaient encore nus, l’après-midi finissante. Presque serrés l’un contre l’autre, ventres et sexes très proches. Une nouvelle fois le sang afflua à sa vulve. Elle écarta les jambes, regarda ses poils, la chair rouge et moite. Elle y porta la main, se caressa progressivement. Lorsqu’elle regarda le sexe d’Alfred elle s’aperçut qu’il gonflait, se redressait, le bout dénudé. Il suça ses seins, tourmenta les bouts devenus durs et grumeleux. Sa verge s’érigea complètement.-Je ferai tout ce que vous voudrez, affirma-t-elle en gémissant de volupté. Tout …Je me sens bien près de vous parce que vous êtes ma vérité. Mes goûts de voyeuse et de masturbation trouvent auprès de vous l’écho exact que je désire depuis longtemps…Donnez-moi des baisers brûlants pendant que je suis occupée… à me satisfaire…Oh oui, Complices… nous sommes des complices pour d’agréables débordements… c’est fou…et c’est si bon…Elle sanglotait presque en se branlant, s’inclinait vers l’homme, s’écartelait pour mieux se montrer et lui disait des mots de l’amour fou…Alfred durcissait encore. Sa queue devenait agressive. La chambre devenait le champ clos d’une sorte de combat dont il représentait la lance ou encore l’éperon. Il essayait de capter le regard d’Elsa qui se dérobait souvent. Sous les paupières bistrées, vacillait, s’éteignait pour revenir à la surface avec vivacité.Il prit Elsa à bras le corps, l’allongea sur le divan, sur son ventre, attira son visage contre le sien, l’embrassa sur la bouche. De ses doigts il immobilisa la main d’Elsa. Tête baissée, les cheveux répandus sur le visage de son amant, elle admira leurs sexes si proches.Puis, elle redressa lentement le buste, colla la verge contre sa chair en feu.-Je ferai tout ce que vous voudrez, répète-t-elle.— Chevauche-moi, fit Alfred. Montrez-moi comment vous me ferez disparaître entre vos belles cuisses…Vous êtes très belle… Les cuisses largement ouvertes, elle empoigna la verge, mit le gland tuméfié entre lèvres de sa vulve. De ses deux mains placées sur ses hanches, il l’aida à se soulever. La tête brusquement rejetée en arrière, elle se pénétra du poignard gonflé, s’abaissa ensuite en prenant appui sur les mains.-Je suis remplie, grogna-t-elle. Oh …cette queue en moi… Je m’empale… c’est fou… ce que je ressens. Vous me faites aimer ça… alors que je n’ai jamais eu de vrai plaisir à faire l’amour de cette manière…Alfred maniait rudement ses seins. Il les massait de ses mains vigoureuses, revenait vers les hanches pour faire danser la croupe écartelée sur son épieu qu’il faisait monter et descendre à grands coups de ventre.-Je vais encore …jouir, fit Elsa. Ça vient… cette chose si dure en moi… aider-moi… oui…poussez aussi… je me tue… je me meurs à petit feu… oh que c’est bon…Elle se mit à haleter, se démena avec une sorte de sauvagerie. Elle eut un long râle, le corps agité de secousses violentes. Tout à coup elle s’aperçut qu’Alfred était lui-même sur le point de jouir ce qui déclencha enfin son orgasme. Elle se laissa tomber, les mains placées de part et d’autre des épaules de l’homme. La verge sortit de sa cachette et des jets de foutre frappèrent sa toison, son nombril. Elle eut un rire étrange, presque un sanglot, s’allongea confortablement, leurs ventres accolés.Baisant Alfred sur la bouche, elle sentit la double brûlure de leurs sexes, celle du sperme qui collait à leurs peaux…
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