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La voyeuse

Chapitre 16

Divers
Résumer de l’épisode de la voyeuse 15Ils restèrent ensemble jusqu’au moment où Elsa dut partir vers la clinique. A son arrivée on lui annonça que Robert venait d’être opéré, mais qu’il devrait rester en clinique au moins trois semaines encore car ce fut une intervention chirurgicale très importante. Comme Robert dormait, sous l’effet de la narcose, elle quitta la clinique et rentra chez elle afin d’y faire acte de présence. Parvenue à proximité de son domicile, elle rencontra Louise. Elles bavardèrent quelques instants au bord du trottoir, puis Elsa invita la femme à lui rendre visite au cours de l’après-midi.    La voyeuse 16Alain et sa patronne étant absents, Louise n’y vit aucun inconvénient. Elle proposa même à Elsa de lui apporter de quoi manger ce qu’elle accepta avec empressement.-Je fournirai les boissons, ajouta-elle en riant…Quand elles furent à table, leur conversation reprit. Mais elle prit une autre tournure parce qu’elles buvaient force rasade de vin et l’euphorie augmentait… elles en furent bientôt aux conversations scabreuses et hautes en couleurs.-Où en sont vos amours avec Alain ? demanda Elsa.-Bah… c’est un garçon très timoré. Il a peur de tout et de rien. Il manque d’audace. Il tremble quand je le rejoins dans sa chambre au cours de la nuit et ne bande qu’à moitié, malgré toute ma bonne volonté… C’est agaçant. Quand je monte je suis très excitée et j’ai besoin d’une bonne bitte… mais… je ne sais ce qu’il a… mais il n’est pas comme les autres…-Il connaît peut-être une jeune fille quelque part ? -Il ne sort jamais. Sa mère ne le permettrait pas. C’est une femme qui a l’habitude du commandement et ne souffre aucune contradiction. Même quand il sait qu’elle sera absente pendant toute la journée, Alain n’ose désobéir. Etant la servante je ne peux d’ailleurs l’inciter à la révolte contre sa mère.-Mais à part ça, quelle femme est-ce ? Je l’ai entrevue quelquefois dans la rue. Elle n’est pas mal du tout, bien qu’elle ait quarante ans, me semble-t-il.-Elle en a quarante cinq, fit la visiteuse. Mais elle se défend. Des régimes, de la gymnastique, des soins médicaux et esthétiques. Vous devriez voir son cabinet de toilette, la salle de bain… A vrai dire elle n’est pas méchante, mais elle sait ce qu’elle veut et l’obtient. J’avoue que moi-même j’éprouve de la joie à obéir à ses ordres. Quand ses yeux se mettent à briller, quand sa voix se fait énergique, eh bien, c’est presque comme si je me trouvais en face d’un homme qui me donne des ordres… et qui est prêt à servir… Vous avez aussi parfois de ces expressions… quand vous conduisez votre deux chevaux, par exemple, quand je regarde vos mains crispées sur le volant avec énergie…— Tiens, fit Elsa, je ne me voyais pas comme ça…-On ne se connaît pas soi-même. Et on ne voit pas comment on est réellement, malgré les miroirs de bonne qualité…-Mais pour en revenir à votre patronne… que fait-elle est veuve, je crois ? On ne voit jamais d’homme dans votre maison…-Non, elle n’est pas veuve… Le gamin était tout petit encore quand son mari l’a abandonnée pour suivre une trainée, la propre sœur de madame. Ça lui a fait un coup tel qu’elle n’a jamais plus cessé de manifester une haine féroce envers les hommes. Il faudrait l’entendre quand elle parle d’eux ! Des porcs, des malfaisants, des débauchés….-Çà n’empêche que le corps a ses exigences, malgré tout…-C’est vraie. Mais je ne crois pas qu’elle ait un ou des amants…Elle rentre à des heures régulières, ne s’absente que pour ses affaires. Car c’est une femme d’affaires. Import-export d’objets en plastique. Elle gagne beaucoup d’argent. A la maison elle n’est pas très tendre et ne gâte pas précisément son fils. Matériellement oui, mais au point de vraie tendresse et amour maternel, zéro…On dirait que c’est une femme qui n’a jamais de désirs…bien qu’elle ait parfois un aspect terriblement sensuel. Quand le soir elle est en peignoir, prêt à se coucher, j’ai toujours l’impression qu’elle est nue sous sont vêtement d’intérieur. En un geste qu’elle semble affectionner, elle glisse sa main dans l’échancrure de son peignoir et je m’imagine alors qu’elle caresse un de ses gros seins…ça me fait quelque chose…-Seriez-vous lesbienne ? fit Elsa d’un ton dont le trouble fut perceptible pour elle seule.-Pas tout à fait… je n’ai jamais … mais j’admire Madame…je ne sais pourquoi…elle a quelque chose de sensuel… et par ailleurs son énergie…A cause des hésitations d’Alain, j’observe ma patronne parce qu’il me laisse trop souvent sur ma faim… J’ai besoin de caresses… de jouissance, quelque soit le moyen employé pour y parvenir… Je me masturbe très souvent parce que je trouve que c’est agréable et aussi parce que ça me soulage… Et puis, j’aime me regarder quand je le fais… me regarder entre les cuisses, quand je suis accroupie ou encore installée sur une chaise, une glace portative entre les cuisses…-Dites… n’en jetez plus… vous êtes occupées à m’exciter… Il ne me faut pas grand-chose pour être émue…et pour me mettre à baver…-Vous savez… je ne suis pas tout à fait pour femmes, mais… j’ai l’impression qu’avec vous j’éprouverais… du plaisir… et qu’entre nous ce ne serait pas du tout gênant…Dites-moi, en ce moment vous avez envie ? Envie de faire quelque chose de coupable, mais qui vous fasse du bien ? Allons, avouez-le. Entre nous on peut se faire des confidences. C’est même très agréable. Tenez, en ce moment, je suis… je suis toute mouillée !-Et moi donc !La femme s’est livrée. Elle contourne la table, se place derrière Elsa. Celle-ci est en attente de ce qui va se produire. Aussi frémit-elle des pieds à la tête lorsqu’elle se penche, empaume ses seins et l’embrasse ardemment dans le cou. Elle ferme les yeux et savoure ce mordillement, le moelleux des lèvres posées sur sa peau, l’attouchement humide d’une langue douce et chaude.
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