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La voyeuse

Chapitre 17

Divers
Résumé de l’épisode 16 La femme s’est livrée. Elle contourne la table, se place derrière Elsa. Celle-ci est en attente de ce qui va se produire. Aussi frémit-elle des pieds à la tête lorsqu’elle se penche, empaume ses seins et l’embrasse ardemment dans le cou. Elle ferme les yeux et savoure ce mordillement, le moelleux des lèvres posées sur sa peau, l’attouchement humide d’une langue douce et chaude.    La voyeuse 17C’est très différent de ce que son amant lui fait. Il l’embrasse aussi, la caresse, la réjouit, mais ça n’a pas la saveur. C’est-à-dire que c’est différent et que les deux se conçoivent très bien. Deux effets pour la même cause…Sur sa nuque repose la chair affolante des seins. Louise a dégrafé sa blouse. Ses seins sont nus et chauds. Elsa lève les bras, égare ses mains sur eux. Leurs bras se mélangent. Elle tend le visage, se laisse embrasser, bouche ouverte pour bien accueillir la langue qui la fouille. Elle voudrait être fouillée en un autre endroit de sa personne, plus bas, au profond de ses cuisses. Elle a accepté ce baiser d’Alfred. Pourquoi n’accepterait-elle pas celui que cette femme a certainement envie de lui donner ? -Je voudrais vous faire jouir, fait la servante. J’aimerais vous toucher…-Nous sommes seules, répondit Elsa, en proie à un vertige qui s’accentue. Faites ce que vous voulez… Nous nous plaisons ensemble… Embrassez-moi encore…J’aime vos baisers…Louise tourne autour d’elle, se place devant Elsa. Elle l’embrasse en se penchant. En même temps sa main monte brusquement entre les cuisses qui s’écartent avec complaisance. Presque au même moment, tout aussi agissante, Elsa fouille dans les dessous de sa visiteuse. Les deux femmes frémissent au contact de leurs mains sur leurs sexes. Elles halètent, écartent des doigts leurs lèvres sexuelles, les plongent dans les profondeurs mouillées. Elsa suce le bout durci d’un des seins de sa compagne.-Ce serait meilleur si nous étions nues, dit-elle lorsque sa bouche fut libre. Ce serait délicieux…-Je ne peux pas maintenant, répond Louise. J’aimerais cependant aussi… Je ne peux m’absenter trop longtemps…Oh…encore…Elles se masturbaient maintenant avec une sorte de fureur, Elsa faisait trembler sa chaise, les jambes ouvertes d’une façon très obscène, dans le désordre des dessous fripées, tandis que son amie se dandinait devant elle, le ventre en avant, se mordant les lèvres, les traits tendus en un masque de volupté. -Vous allez me faire jouir, fit Elsa. Ça vient… c’est bon… l’une à l’autre… dommage qu’on ne pas voir… ce que nous faisons… -Je vais décharger…, répliqua l’autre. Je vais… je ne puis plus me retenir…Oh ! Quel plaisir… ensemble…oui oui…Elles restèrent immobile, comme tassées sur elle- mêmes les mains pendantes. Puis Elsa chercha la bouche de sa compagne.-Je pourrais revenir ce soir, dit celle-ci. Je dirai que je vais au cinéma… Nous pourrons…Le faire longuement… nous déshabiller…, poursuivit Elsa. Mon désir est toujours aussi violent…Quand Louise fut partie, Elsa se souvint qu’elle avait rendez-vous avec Alfred.-Elle haussa les épaules en se disant qu’il se passerait d’elle cette fois…Après une brève visite à Robert, à la clinique, Elsa rentra chez elle et attendit avec impatience l’arrivé de Louise. Son désir ne l’avait pas quittée. Ce qui s’était passé peu au paravent l’avait follement troublée. Les images étaient restées. Elle était prête à retrouver les gestes et les mots de volupté étrange qu’elle éprouvait à se trouver pour la première foie en relations avec une de ses pareilles. Elle en éprouvait une brûlure constante entre les cuisses et ses seins faisaient mal à force d’être tendus et gonflés.Lorsque tomba l’obscurité, elle ferma les rideaux de la fenêtre du salon, baissa le volet mécanique dont elle était munie. Puis elle alluma le lustre. Une onde de plaisir la parcourut lorsqu’elle regarda autour d’elle. Le salon avait quelque chose de douillet et de très intime. Deux grands fauteuils bien rembourrés et profonds, un divan souple et confortable incitaient au repos, au plaisir de ne rien faire…Il y faisait chaud sans excès. C’était vraiment l’endroit rêvé pour s’y mettre bien et… Il était d’ailleurs déjà arrivé qu’elle se soit installée dans un des fauteuils complètement nue afin de s’y adonner à son vice solitaire, les jambes jetées sur les accoudoirs, les doigts profanant sa fente si souvent en éveil…Elle plaça une bouteille et des verres à proximité des mains, s’assit et se mit à attendre. Il était presque neuf heures. Louise tardait, lui semblait-il. Le rouge aux joues, elle se complut à imaginer ce que serait cette soirée, cette nouvelle intimité. Elle avait tellement envie de se méconduire, d’être libre dans la débauche et d’en éprouver une joie obscène et délicieuse. Elle se leva, enleva sa culotte. A nouveau assise, elle s’amusa à tâter du plat de la main le gonflement de son mont de vénus, la toison douce et épaisse à travers laquelle se devinait sa moiteur lascive. Les yeux fermés, elle savourait ce contact et se nourrissait des images qu’il suscitait en son esprit. Un instant elle pensa à Alfred qui espérait sans doute sa venue et serait déçu…Lorsque Louise sonna, elle se précipita, l’entraîna dans le salon…-Je ne parvenais pas à faire comprendre à ma patronne que j’avais envie d’aller au cinéma, dit la servante. Ça l’agaçait visiblement. Elle inventait toutes sortes de petites histoires avec l’espoir que je ne quitterais pas la maison…ça m’agaçait…J’étais impatiente.. Je voulais être ici… près de vous…Lors qu’Elsa fut commodément installée, Louise se pencha sur elle, l’embrassa sur la bouche.-Vous pendez… je savais que vous m’attendiez… ajouta-t-elle.-Mon impatience était aussi grande, avoua Elsa. Je commençais à douter… alors que j’avais enfin accepté l’idée de… coucher avec vous…-Je suis là, fit Louise en se penchant une nouvelle fois. Elle glissa une main entre les genoux d’Elsa, lui prit encore la bouche de ses lèvres chaudes, y introduisit sa langue épaisse et saliveuse. La main progressa rapidement. Elsa ne fit d’ailleurs rien pour empêcher cette intrusion entre ses cuisses. Elle écarta largement celle-ci-C’est ici qu’on se déshabille ?questionna Louise. Dans ce salon ?
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