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La voyeuse

Chapitre 19

Divers
RÉSUMER DE L’ÉPISODE 18Elle frappa encore. Mais ce n’était déjà plus avec l’intention de punir. Un voile rouge sous les paupières… La conscience de cette chair nue sous ses paumes… Son émoi, un ensemble de sensations et la naissance du mal. L’envie de retrouver ce qu’elle connut si peu.     ÉPISODE 19-Voilà, fit-elle, relevant son fils, j’espère que…Ça sonnait faut. Et puis, qu’espérait-elle ? Alain lui tournait le dos, remettait la chose en place.Debout, le peignoir flottant, elle alla vers la fenêtre dont elle ferma la tenture d’un mouvement brusque.Revenue vers le lit, elle s’assit à côté d’Alain.-D’où vient cette revue pornographique ?questionna-t-elle ensuite en la reprenant entre les mains.Où l’as-tu achetée ? -En ville, fit Alain, dans un tabac… sous le comptoir…-Et tu aimes regarder ça… ces sales femmes qui se laissent photographier ainsi, toute nues, avec des hommes… ou encore entre elles… Je trouve que c’est dégoûtant.Alain était étendu sur le lit, dans le dos de sa mère et regardait en oblique les images qui défilaient entre ses doigts.-Tu les regardes pourtant… tu devrais rejeter ça… puisque pour toi c’est dégoûtant… Ce sont de belles femmes, des hommes vigoureux. Je ne pensais pas que ça pouvait te déplaire à ce point là…C’est beau… Tu es horrifiée parce qu’il y a ton éducation… Mes copains et moi, on est plus libres…plus affranchis… et puis, pourquoi parlons- nous de cela ? Je n’ai pas l’impression que tu comprennes. En fait, je me demande pourquoi je me suis laissé faire. J’aurais dû me débattre, me défendre. Maintenant j’ai envie de te rendre la pareille. Tu devrais être peinée d’avoir fessé ton fils.-N’oses jamais porter la main sur ta mère, sinon…Mais Alain n’écoutait plus. Il s’assit dans le lit, prit Évelyne aux épaules, l’obligea à se laisser aller sur le dos. Elle regimba, agita bras et jambes, s’efforça de le repousser et de faire face à cette attaque brusquée. De son côté, Alain essayait de la coucher sur le ventre afin de lui rendre la fessée qu’il venait de recevoir.Ils se battirent, roulant d’un bord du lit à l’autre. Évelyne sortit une jambe du lit. Alain se pencha, l’attrapa par la cuisse, l’obligeant ainsi à revenir vers le milieu du champs de bataille qui gémissait sous leurs mouvements brusques. Évelyne tomba sur le dos. Alain se jeta sur son ventre, s’y allongea. Elle le griffa au visage, le repoussa à coups de poing dans la poitrine. Elle le frappa à la tête. Étourdi, il lâcha prise. Évelyne sauta du lit, se réfugia dans un coin de la chambre.Alain la surveillait car il s’attendait maintenant à une attaque brusquée. Son torse était nu. Le pantalon de son pyjama était ouvert et au creux de ses cuisses se dressait sa verge dénudée. D’un geste rapide, il rectifia sa tenue.-C’ est à cause de ton peignoir que je n’ai pas su y arriver, dit-il. Sans ça je te donnais une fessée.-A ta mère…-Et toi n’as-tu pas…à ton grand fils ?Évelyne fit un pas en avant, s’écarta du mur et fit tomber son peignoir. Son geste surprit Alain. Il vit la robe de nuit transparente, des reflets de chair rose, des ombres tremblantes. Sa mère revint vers le lit, se pencha.-Si je me laisse fesser… tu resteras tranquille ? fit-elle. Bien que j’ai honte…-Oui … puisque j’aurai eu ma revanche, répliqua-t-il.Évelyne se laissa tomber sur lui. Une nouvelle fois ils se battirent. Mais cette fois Alain fut plus faible encore. Sous ses mains il sentait trop les mouvements de cette chair si proche, si replète et si chaude. Son érection le gênait. Il y pensait trop. Sa verge était trop présente, trop excitée…Il avait toujours aimé sa mère. Un peu trop. Sans doute parce qu’il n’y eut jamais de père auprès de lui. De plus sa mère lui paraissait tellement jeune qu’il n’eut presque jamais une velléité de respect véritable. Pourtant, un peu plus tard, son énergie se réveilla. Du moins le crut-il. A moins qu’Évelyne ne l’eut aidé, sourde complicité des corps en feu. Il parvint à la bousculer jusqu’à ce qu’elle soit sur le ventre.Les coups qu’il donnait sur les fesses, par-dessus sa robe de nuit, n’eurent pas le résultat qu’il escomptait. Évelyne se mit à rire, un rire de femme chatouillée. Elle fit sauter ses fesses, s’agenouilla même, la croupe haute et agitée de petites secousses nerveuses.La chose agaça Alain. D’un geste brutal il releva la robe de nuit jusqu’au milieu du dos. Puis il dénoua le ruban de son pyjama, se dénuda, la verge haute. Quand il la pénétra sans la moindre hésitation, la femme resta immobile, comme si elle fut devenue tout à coup de pierre. Ses fesses frémirent. Elle serra les cuisses avec force sur l’engin. Alain se sentit raidir davantage bien qu’il ne fut pas encore certain de ce qu’elle acceptait de se laisser faire… Il doutait parce que cela lui semblait impossible, incroyable, inconcevable… Et pourtant, il était engagé aussi loin que faire se pouvait…-Nom de dieu, salaud… nom de dieu… de nom de dieu. Qu’est-ce que tu fais…oh…comment est-ce possible d’en arriver à ça… à ça… entre nous…pourquoi…oh…Alain…Alain…nom de dieu…je sens… je ne croyais pas que je pouvais ressentir encore une chose comme ça… bon sang… tu me fais râler…petit…je t’écrase entre mes cuisses… c’est bon…dans mon ventre…je ruisselle…je suis une fontaine d’amour…Tu me rends heureuse… oh salaud…ce que tu me fais…cochon…cochon..Le corps secoué de spasme, elle sentit qu’Alain se répandait en elle et en eut horriblement chaud…mais c’était bon…si bonMais quand ce fut fini, elle se révolta, cria, repoussa Alain qui voulait encore la caresser. Il s’obstina, agrippa sa robe de nuit qui se déchira de bas en haut. Nue, Évelyne se réfugia une nouvelle fois dans un coin de la chambre, une expression d’effroi et de honte sur les traits. Assis au bord du lit, Alain la regardait, sans autre expression que l’admiration qu’il avait pour le corps nu de la femme.Et son sexe reprit sa rigidité première.Évelyne sentit refluer le sperme d’entre les lèvres de sa vulve. Elle frissonna, s’aperçut que les mamelons de sa poitrine se dressaient, malgré sa volonté de ne plus …-C’est horrible, dit-elle à voix basse. Horrible… nous deux…-Oui … dit Alain, mais … je t’aime… et je n’y peux rien… c’était merveilleux…Fascinée, Évelyne quitta son coin. Lentement elle alla vers Alain. Quand elle fut toute proche, elle glissa à genoux et prit la verge de son fils en bouche.
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