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La voyeuse

Chapitre 20

Divers
Résumé de l’épisode 19Évelyne sentit refluer le sperme d’entre les lèvres de sa vulve. Elle frissonna, s’aperçut que les mamelons de sa poitrine se dressaient, malgré sa volonté de ne plus …-C’est horrible, dit-elle à voix basse. Horrible… nous deux…-Oui … dit Alain, mais … je t’aime… et je n’y peux rien… c’était merveilleux…Fascinée, Évelyne quitta son coin. Lentement elle alla vers Alain. Quand elle fut toute proche, elle glissa à genoux et prit la verge de son fils en bouche.    Épisode de la voyeuse 20Elsa et Louise avaient regardé la fenêtre d’en face jusqu’au moment où le rideau avait coulissé devant les vitres, tiré par Évelyne. Elles ne devaient en voir davantage pour comprendre ce qui allait se passer entre Alain et sa mère. Cette idée affolait, les excitait. Des images lubriques se levaient en elles. Allongées côte à côte, savourant le contact de leurs corps brûlants, elles se sentirent encore mieux réunies à cause de ce qui se passait en face.-Jamais je n’aurais pu imaginer une chose pareille, fit Louise. Madame est une femme froide. Du moins jusque maintenant…-Elle portait ça en elle et l’a toujours repoussé avec horreur, répondit Elsa. Il lui fallait quelque chose de très intense pour retrouver l’appétit du plaisir sexuel…-Elle me paraissait sans désir ni amour pour qui que ce fut, poursuivit Louise. Je n’ai jamais vu une personne si frigide. A plusieurs reprises, j’ai essayé d’entamer une conversation avec elle à propos de choses sexuelles…Elle y mettait chaque fois rapidement le holà et me parlait des travaux ménagers que je devais effectuer…Je n’insistais pas. Par contre, son fils s’intéressait à l’amour. Il lisait beaucoup, achetait des revues, épinglait des photos de belles filles au mur de sa chambre. Et je me suis aperçu très tôt qu’il me jetait des regards significatifs. C’était très flatteur pour moi car je ne suis tout de même plus une jeune fille. Je pris l’habitude de lui montrer des coins de peau. La mère souvent absente, nous bavardions beaucoup. Alain aimait parler de « ça ». Moi aussi. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il égare ses mains sur mon corps. J’ai égaré les miennes. Un soir j’ai ouvert son pantalon et je fus émerveillée des dimensions de son Priape. C’était un beau cierge rose, d’une belle épaisseur, à la peau très douce, parsemé de veines, le gland dénudé.Je le branlai avec plaisir. J’aimais le contact de son machin avec ma paume. Ce geste obscène m’excitait beaucoup. Je m’arrangeai pour qu’il me prit entre les cuisses et me fasse quelques caresses voluptueuses.-Ça devait être bon, avec ce jeune, fit Elsa. Pouvoir initier un jeune homme…tout frais…un puceau…-Il était puceau, mais il connaissait beaucoup de choses, répondit Louise. Cependant quand je lui demandai s’il avait déjà vu une femme complètement nue, il hésita et sourit. Je le questionnai d’avantage et il finit par m’avouer, non sans peine, qu’il avait espionné sa mère et moi-même, quand nous prenions notre bain ou encore quand nous nous déshabillions le soir, dans nos chambres. Maintes fois il s’est masturbé en voyant la nudité de sa mère ou la mienne.Il avoue que la vue de mes appâts l’avait mieux excité parce que je me gênais beaucoup moins et aussi parce que je faisais des choses que sa mère ne se permettait jamais…Mais maintenant je ne suis plus certaine du tout de le garde. Si ma patronne est allée jusqu’aux derniers outrages… je l’aurai perdu. Il n’aura opposé aucune résistance aux offres incestueuses…-Je me demande ce que ça peut faire…, fit Elsa d’une voix dans laquelle passait comme un rêve pornographique. J’aimerais les voir en un moment de grande intensité, observer les expressions de la femme, du garçon… les voir quand ils grimpent l’un sur l’autre. J’aimerais aussi entendre les mots qu’ils disent lorsque la passion les emporte, quand il dit des choses à propos de sa fente, de ses fesses, de ses seins…Des relations de ce genre doivent être passionnées… lorsqu’ils plongent dans les flammes de l’enfer.-J’aimerais voir cela aussi, dit Louise. Dommage qu’elle ait tiré le rideau. Et si nous allions dans la maison ? Peut-être que ?-Serait-ce possible ? fit Elsa. Pour ma part je ne dis pas non. Mais ça peut mener loin si on nous surprend, surtout pour moi qui ne suis pas de la maison. Je n’ai aucune raison pour me trouver là…-Si nous sommes suffisamment malignes, personne ne pourra nous surprendre, fit Louise. Et d’autre part, est-il nécessaire d’avoir autant de scrupules quand on sait ce qu’ils font ?-En êtes-vous si certaine ?-Le mieux est d’y aller voir…Elles se rhabillèrent, traversèrent la rue et pénétrèrent dans la maison sur la pointe des pieds. Dans le couloir, elles se débarrassèrent de leurs chaussures et montèrent-en tapinois. Le cœur d’Elsa battait la chamade. Une fois de plus elle allait satisfaire son vice et faire la voyeuse.Arrivées au niveau des chambres mansardées, elles longèrent un palier et s’arrêtèrent devant la porte de bois que Louise fit pivoter sans provoquer le moindre grincement. Jetant un coup d’œil autour d’elle, Elsa aperçut des murs nus, quelques objets dépareillés ou hors d’usage, puis à hauteur d’homme une sorte d’œil de bœuf dont la vitre brillante attestait d’un nettoyage fréquent. Chose étrange, c’était une vitre teinté d’un mauve presque noir. Elle permettait cependant de regarder dans la pièce voisine qui était simplement la chambre d’Alain.Celui-ci, étendu de tout son long sur son lit, fumait une cigarette, les yeux au plafond, les doigts retenant un cendrier posé sur son ventre. Il était nu, le sexe dressé et agité des spasmes du désir. Dans ses poils et sur ses testicules, on apercevait des traces encore humides de sperme. Il y avait aussi des marques de rouge à lèvres sur son ventre et autour de ses pectoraux.Évelyne était assise au bord du lit. Elle fumait aussi et feuilletait une revue. Des photos de femmes très déshabillées accompagnées d’hommes qui ne cachaient rien de leur virilité exaspérées.-J’aime voir ça, dit Elsa en se serrant contre Louise. Voir un couple ainsi…tout nu…et sachant que… Il me semble que la mère en a pris son parti…qu’elle accepte cette situation …étrange…Cette lumière mauve sur leurs nudités…C’est presque une vision de rêve…oui…quelque chose d’irréel. On pourrait croire qu’il s’agit d’un film ou d’une diapositive d’une seule teinte…
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