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La voyeuse

Chapitre 21

Divers
Résumé de l’épisode 20 de la voyeuse -J’aime voir ça, dit Elsa en se serrant contre Louise. Voir un couple ainsi…tout nu…et sachant que… Il me semble que la mère en a pris son parti…qu’elle accepte cette situation …étrange…Cette lumière mauve sur leurs nudités…C’est presque une vision de rêve…oui…quelque chose d’irréel. On pourrait croire qu’il s’agit d’un film ou d’une diapositive d’une seule teinte    ÉPISODE 21Évelyne rejeta le magazine suédois. Elle se mit sur le dos, à côté d’Alain, les genoux relevés offrant aux spectatrices la vue complète de son sexe étalé avec une sorte de complaisance obscène. Ses seins, bien que lourds, pointaient vers le plafond avec insolence. Elle avait des bouts allongés, presque noirs. Son ventre bougeait doucement, au rythme de sa respiration. Mais ses traits avaient une expression tourmentée. Elle se mordait les lèvres. Sans doute n’avait-elle pas encore maîtrisé complètement la situation. Se penchant, elle regarda Alain dans les yeux.-Qu’allons-nous devenir maintenant ? fit-elle d’une voix à peine audible.-Mais… il n’y a rien de changé… Non, rien n’a changé, répondit le garçon. Sauf peut-être que nos rapports ne sont plus les mêmes… Je suis très excité de pouvoir faire certaine choses avec toi… Tu me plais. J’aime les femmes un peu grasses, d’une sensualité débordante.-Je n’avais aucune sensualité avant ceci, répliqua Évelyne. Il a fallu ce concours de circonstances exceptionnelles… pour que je puisse découvrir de quoi je suis capable… de ce que je puis ressentir alors que je me croyais finie… ah, ce gros machin que tu me montres avec tant d’effronterie !D’un geste rapide elle s’empara de la verge raide et la secoua. Alain entoure de ses doigts la main de sa mère, collabora ainsi au va et vient autour de son membre. Mais Évelyne ne s’en tint pas à ce geste. Elle embrassa Alain sur la bouche, joua de la langue, amena les doigts de son fils vers sa fente qui débordait de liqueur amoureuse.Alain se releva, se plaça au-dessus d’elle, la flèche dirigée vers sa bouche. En se penchant, il posa ses lèvres sur la fente, lécha les poils drus, agita le clitoris tout à coup devenu énorme et rigide.Elsa et Louise entendirent le bruit de la mouille agitée et barattée. La chose émut tellement Elsa qu’elle se jeta à genoux, enfouit sa tête sous les jupes de la servante. Celle-ci les jambes outrageusement écartées, se laissa sucer avec béatitude tandis qu’elle regardait comment sa patronne enfournait dans sa bouche avide le gland rubicond et lubrique.Du bout du doigt, Évelyne suivait le long sillon de sa vulve et tressaillait chaque fois qu’elle touchait le point sensible. Il lui semblait qu’elle venait de découvrir les innombrables possibilités de son corps et aussi de son esprit. Balayées les préventions qu’elle nourrissait jusque là contre les choses de la chair. Emportées, les idées vieillottes qu’elle professait à propos de péché.Elle n’était plus que de sang et de peau. Une foule de sensations, à la fois douces, voluptueuses et violentes. Elle redevenait enfin jeune, triomphait d’elle-même et aussi de fils… Le plongeon, avec la délicieuse sensation du vertige auquel elle s’abandonnait. Un vertige qui se renouvelait rapidement et s’accroissait à chaque coup. Le monde changeait pour elle. Désormais il n’y aurait plus jamais d’obstacles à la satisfaction de ses désirs. Personne ne saurait… Les yeux fermés, en proie à une violente sensation de bonheur et aussi de bravade, elle savoura la caresse buccale qu’on lui dispensait entre les cuisses. En même temps elle refermait la bouche sur la chair chaude et dure d’Alain.C’était un acte bizarre. Mais elle l’aimait. En faisant cela, en embrassant ce sexe durci, elle possédait tout le corps du jeune homme. Jadis, quand on la prenait – peu de fois et avec une telle rudesse qu’elle ne parvenait jamais à jouir pleinement de l’acte copulatif—c’était elle qu’on prenait, c’était d’elle que l’homme se servait. Tandis qu’ici…Elle pensa à une mante religieuse qui bouffait son mâle… et qui simultanément subissait la caresse délicieuse et lancinante de cette langue qui passait et repassait sur son bouton.Comme de commun accord, ils cessèrent de se toucher de la bouche et de la langue mais restèrent dans la position adoptée, c’est-à-dire en soixante neuf.-c’est bon d’être étendus ainsi, fit Évelyne. On est l’un contre l’autre. Nos chaleurs corporelles se mélangent. Il me semble que tu me rentres dans le corps et que je retrouve mon bébé, lorsque j’étais enceinte…Alain écoutait cette voix qui semblait venir de très loin. Des profondeurs de leurs ventres, de leurs sexes. Il se retourna, rampa sur le lit et se coucha tout le long du corps maternel. Les yeux clos, il savoura le contact duveté de cette peau et devina le sang qui circulait dessous.-Tu n’es qu’une débauchée, fit Alain. Mais ça me plaît. J’aime que tu sois devenue une vicieuse en si peu de temps. Tu as de l’étoffe. Il s’agit de bouffer ma queue des façons les plus diverses possibles, tout comme je te bouffe la fente.— Oh, tais-toi Alain…ce que tu oses dire…ça me secoue des pieds à la tête. Je t’aime…-Parce que j’ai ma queue…Oui…c’est ma verge que tu aimes. Parce que ça te fait du bien de l’avoir dans…profondément…sans éprouver la moindre honte…au contraire…-C’est aussi autre chose, mon chéri…et peut-être n’y penses-tu pas assez…c’est l’inceste…la formidable joie de faire quelque chose que les autres n’osent pas faire…franchir les frontières du permis…détruire le dernier des tabous…aime- moi…enfonce…oh…je n’en puis plus…va enfonce…oh…Elle l’attira sur son ventre, tâtonna entre leurs cuisses écartées, y prit le sexe turgide qu’elle mit en place, le gland entre les lèvres épaisses de sa vulve.-Pousse, gémit-elle, enfonce…fais-moi mal…très mal…détruis-moi en me donnant le bonheur…oh comme je te sens ! Tu es…si gros…et si…long. Reste immobile maintenant…que je te sente vibrer en moi ton truc si dur…c’est bon…c’est merveilleux d’avoir tout de suite des sensations alors que je n’en avais pour ainsi dire jamais…Tu frétilles de …dans…salaud…mon salaud chéri…tu va me faire décharger si tu continues de la sorte…Tu le fais si bien… si bien …tu me rends heureuse…si heureuse…maintenant tu pourras exiger de moi ce que tu voudras. Je consens à tout.Elle avait un traversin sous le dos. Alain, prenant appuis sur les mains posées à plat sur le lit, à hauteur des épaules d’Évelyne, tendait le ventre. Fascinés, ils regardaient leurs sexes réunis qui s’agitaient et glissaient l’un dans l’autre avec une certaine violence.Les mains crispées sur le dos d’Alain, Évelyne plantait ses ongles dans la peau en sueur et la griffait en tous sens sans se rendre compte de sa cruauté sexuelle. Elle ne pouvait faire autrement. Entre ses jambes un feu violent la consumait… et elle succombait à la volupté sans plus se poser de questions quant au fait que l’amant qui la satisfaisait ainsi n’était autre que son fils.
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