Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 2 J'aime
  • 0 Commentaire

La voyeuse

Chapitre 29

Divers
Résumé de l’épisode 28Évelyne se rendit dans sa chambre à coucher. Les tentures étaient fermées, le lit encore défait, et il y avait une douce pénombre propice. Louise la suivit, regarda sa patronne immobile dans le fond de la pièce, le large lit entre elles. D’une voix chevrotante Évelyne lui demanda de fermer la porte. Ce qu’elle fit immédiatement. -J’ai envie, Louise, fit Évelyne. Je trouve que cette pénombre est si favorable au plaisir, à des choses éhontées et coupables…-Nous sommes bien, dit Louise en laissant tomber son peignoir. J’ai envie d’être nue… voyer.Sans hésiter, Évelyne fit aussi glisser son vêtement d’intérieur. Elle eut la sensation de commettre une action coupable ce qui fit venir le rouge à ses joues. Elle trembla sur ses jambes.    ÉPISODE DE LA VOYEUSE 29-Venez près de moi, Louise, fit-elle.Tandis que cette dernière se rapprocha, elle regarda à travers la fente de la tenture. Elles étaient près l’une de l’autre, sentaient la chaleur que dégageaient leurs corps bien en chair.-En plein jour, Louise, prononça Évelyne. Nous sommes nues, dans cette chambre et je vois les gens qui vont et viennent, font leur travail tandis que nous deux…c’est une sensation très agréable. Je suis davantage tentée encore de succomber au péché de luxure….-Entendons - nous sur le lit et enlaçons-nous. Je veux sentir votre corps contre le mien, boire votre souffle de ma bouche ardente…Louise monta sur le lit, avec lenteur, en exhibant les multiples recoins de son corps. Étendue déjà, Évelyne put admirer ses seins lourds aux tétons dressées, ses fesses rondes, comme suspendues au-dessus de ses cuisses imposantes et bien fortes.-Parlez-moi encore, Louise, questionna Évelyne, lorsqu’elles furent étroitement enlacées, jambes entremêlées, les seins se pressant en une sensation douce et sensuelle. Racontez-moi encore vos confidences… quand vous jouez avec…en pensant à moi…-J’aurais voulu avoir près de moi, dit Louise. Vous forcer à regarder l’acte honteux que je commettais sur moi-même. J’étais lubrique, la fourche ouverte et les doigts dedans, les seins arrogants à la force de mon désir solitaire. Une vraie chienne en mal d’amour…-Que c’est bon, Louise, gémit Évelyne en s’écartant légèrement de sa compagne. Dites des obscénités…à haute voix…ça fouettera ma lascivité…des mots lubriques… J’ai envie…-De décharger ?-Oh oui, décharger…C’était bon ce matin, quand vous m’avez appris comment je devais me servir de mes doigts… pour avoir du bonheur entre les cuisses…-Se branler…, dit Louise. Se réjouir de son corps et de sa grosse chatte…Je faisais la pute pour moi-même…en pensant à vous…en vous imaginant impudique et provocante sur ce lit, les cuisses ouvertes, le con en évidence et les doigts frénétiques…J’aime toucher ma fente. Dès que je commence je suis inondées de foutre…mon foutre de salope.-Il y a longtemps, Louise ?-Oui…très longtemps…et je n’en suis pas fatiguée…On peut le faire de manières si diverses…-Et la première fois, Louise ?-La première fois ? Ah oui…J’avais quatorze ans. Un jour que j’étais seule dans la maison…une maison assez délabrée… avec des cloisons peu épaisses… une cloison en bois séparait ma chambre de celle d’à côté… j’étais étendue sur mon lit et regardais des bandes dessinées dont j’étais friande en ce temps là.J’ai entendu un bruit léger et dans le silence me suis rendu compte que quelqu’un était là, proche de moi, derrière cette cloison. J’ai abandonné mon magazine. L’oreille à la cloison, je me suis mise debout sur mon lit. C’est alors que j’ai découvert que cette cloison était percée de multiples trous, sans doute forés par le locataire précédent. J’ai vu mon voisin, un homme d’une quarantaine d’années qui vivait seul dans cette chambre et que je connaissais très peu.C’était une chambre quelconque, plus banale encore que la mienne. Contre le mur, une armoire ornée d’une glace piquetée de taches sur toute sa surface, mais dans laquelle j’apercevais tout de même le lit de mon voisin.Ça me passionnait tout à coup de regarder chez le voisin. J’avais cependant peur que mes parents reviennent et me surprennent. Non pas tellement pour la punition qu’ils m’infligeraient, mais parce que je devrais interrompre mon espionnage.L’homme était assis à une méchante petite table sur laquelle traînaient des papiers gras, une bouteille de vin à moitié vide, un verre, un journal…L’homme n’avait pas de veste. Il portait des bretelles… C’était un vieux…enfin pour moi c’était un vieux…-Votre récit me passionne, Louise…-Je ne savais pas pourquoi je restais là, rivée à ce trou, à regarder cet homme…il se leva, se regarda dans le méchant miroir…fit des grimaces…Je trouvais qu’il se conduisait comme un idiot…mais je restais à mon poste car ses manières me faisaient rire. Il retourna vers la table, se versa un demi-verre de vin qu’il vida d’un trait. Quand il retourna vers le miroir, il se mit à faire de grands gestes, en agitant les bras et les jambes en des mouvements désordonnés, comme un oiseau déplumé qui voulait prendre son envol.Il transpirait et haletait lorsqu’il s’assit sur le lit.Il se regardait fixement dans le miroir, se frottait le haut du crâne, le front et les joues d’un mouchoir. Un peu plus tard, le souffle apaisé, il fit tomber ses bretelles. Sur la table il prit un paquet de cigarettes et en alluma une. Après quoi il reprit sa place et fit à nouveau des grimaces. Tantôt il riait, tantôt il prenait une expression tragique. Je le trouvais effrayant. J’étais horrifiée, mais restais clouée sur place. Il reprit sa gymnastique, secouant ses longs bras en se do-dinant. Son pantalon glissa. Il le retint et s’assit une nouvelle fois sur le bord du lit. Tenant sa cigarette de la main gauche, il se déboutonna, fouilla dans son pantalon.
Diffuse en direct !
Regarder son live