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La voyeuse

Chapitre 32

Divers
RÉSUMER DE L’ÉPISODE 31 L’eau fumait dans le seau. La femme versa dans le bassin, y ajouta de l’eau froide. Ses gestes étaient harmonieux et simples. Ses seins bougeaient. Les bouts roses étaient gonflés. Elle avait une toison rousse, peu abondante sous laquelle j’apercevais les lèvres épaisses de sa vulve. Prenant une chaise, elle s’assit et plongea les pieds dans le bassin. L’homme fit de même. Ils se regardèrent immobiles.    LA VOYEUSE 32— Je suis heureuse, dit la femme. Je retrouve notre joie de jadis… lorsque nous étions pleins d’admiration l’un envers l’autre…J’ai toujours aimé te voir quand tu…Je le voyais comme à travers un voile, émue au-delà de toute expression. Jamais je n’avais brûlé ainsi. Le couple était si bizarre. Leur culpabilité était visible, mais ils n’en poursuivaient pas moins leur entreprise clandestine… J’aurais voulu être près d’eux, participé à leur fête.-Je me retiens fort, poursuivit la femme. Je savoure cette attente en te regardant. Tu es beau …Ta queue…ta belle verge…Ta bitte de masturbateur… ma vulve d’onanisme…C’est bon…tes couilles si grosses regarde entre mes cuisses… excite-moi davantage encore en me fouillant de ton regard…je retrouve le vice…notre vice adoré…je voudrais être veuve…je sens que je vais mourir de volupté…agite-toi un peu… pas trop fort.L’homme prit sa verge dans la main, la secoua lentement. A chaque coup son gland tuméfié apparaissait. La femme regardait, un éclat voluptueux dans l’œil. Elle caressa ses seins opulents, écarta davantage ses cuisses un peu grasses.Je vis sa chatte, y aperçus la tache vive de son clitoris qui sortait d’entre les babines. J’appartenais littéralement à ce couple livré à la passion. Une passion anormale, dont l’énormité suscitait ma ferveur sexuelle. Ils commettaient le péché du sang en y ajoutant une horrible perversité, prête moi-même à une jouissance exceptionnelle.-Cesse, dit-elle. A moi maintenant.Elle releva les genoux, s’écartela. Les yeux fermés, elle se caressa en gémissant. L’homme la fixait, la queue bondissante, encore rigide.-Que c’est bon, dit-elle d’une voix rauque. Rien que les mains et les doigts…Non, ne te branle pas…attends…et regarde comment je me donne du plaisir…mais si tu veux je l’embrasserai là …et je l’ai jamais fait à aucun homme… je ne voulais pas…oh, ce que je me fais du bien…mais toi…je voudrais…le prendre dans la bouche…je n’ai jamais aimé que toi…regarde comme je me branle pour toi…nous le ferons en nous suçant…l’un après l’autre…sans conclure…-Je n’en puis plus, Louise, intervint tout à coup Évelyne. C’est trop. Je serre les cuisses, mais ça coule tout de même…-Satisfaites-vous, souffla Louise. Branlez-vous, ma salope.-Oh oui, Louise, je le fais…je ne résiste plus…j’aime la lubricité de ce geste…Oui, vous aussi…les jambes ouvertes…mon con…le vôtre…ce clapotis infâme…qui fait tant de bien…racontez encore…ce qu’ils firent…vos voisins…-Mais Louise ne l’entendit pas. Elle se masturbait avec violence, le ventre levé, le doigt raide, les seins ballottant. Elle était loin, se disait Évelyne. Dans la chambre où se déroulait cette scène incestueuse, si contraire à la morale. Elle pensa à Alain. Elle aimait l’inceste.Un jour elle y ajouterait le piment de l’onanisme. Devant lui elle se donnerait en spectacle…avec sa mère…enlacés…fous de leur propre sexe…en une débauche effrénée.Elle se pencha sur Évelyne, l’embrassa, la caressa un peu partout, suça ses tétins.-Faite moi jouir-oui…oui…je me fais décharger…là… encore…ça vient…oh là…quelle joie…de faire ça…Ooooh.Elle s’assoupit aussitôt, cuvant sa jouissance.Quand elle rouvrit les yeux elle était horriblement cernée. Elle se releva, se coucha sur le ventre de Louise et l’embrassa, la langue dans la bouche. C’était une sensation exquise…-Je vous aime, Louise, dit-elle. Je ne veux pas vous perdre. Je ne savais pas qu’on pouvait prendre tant de plaisir entre femmes…Elle s’étala sur le dos, ajouta : « Racontez encore… »-Je ne sentais ni fatigue, ni faim, poursuivit Louise. Mais je fus obligée de me rendre au petit endroit. Ma culotte était trempée. Je dus l’enlever. Puis, je fis pipi, me rendis à la cuisine où je me préparai une tasse de café. Je ne touchai pas au repas froid que ma mère avait préparé pour moi.Lorsque je repris ma faction, je m’aperçus que la femme était debout dans le bassin. Ses seins et son sexe disparaissaient sous la mousse de savon. Le regard halluciné elle se frottait vigoureusement les jambes ouvertes d’avant en arrière, en se dandinant, tandis qu’elle respirait comme un soufflet de forge. L’homme la contemplait. De temps en temps, il empoignait sa verge, la secouait, tandis que la femme se penchait vers lui et l’embrassait. Ni l’un ni l’autre ne souriait…Un gland dénudé, plus gros encore…La femme s’agenouilla dans le bassin, tant bien que mal. L’homme tenait fermement sa verge, regardait la croupe étalée au-dessus du bord du bassin. La femme se travaillait le bas- ventre d’un mouvement régulier, l’œil rivé au sexe qu’une main semblait lui offrir Puis elle suça, coiffant brusquement le gland d’une bouche avide. Tout cela avait quelque chose de bestial, de très obscène. Je les admirais d’oser aller ainsi jusqu’au bout de leur désir infâme. Je devinais que c’était là leur véritable climat sexuel. Ils y trouvaient leur meilleure jouissance. En dehors de ceci tout le reste était accessoire…ils aimaient le vice solitaire quand ils étaient ensemble, vivaient de souvenirs. Surtout l’homme qui n’avait rien d’autre à faire lorsqu’il s’enfermait dans sa chambre.Quand elle cessa de cajoler et de sucer la queue ils changèrent de place. L’homme se masturba, sans se presser, lorsque la mousse de savon eut submergé son membre, ses couilles et ses cuisses.-Que c’est bon, fit la femme qui travaillait sa vulve sans y pénétrer, les mains posées à plat de chaque cotée de sa fente. Elle avait rincé le savon et s’était séchée avec soin. Les poils de son pubis brillaient. J’ai des sensations à travers tout le corps, ce qui ne m’arrive jamais en d’autres occasions, ajouta-t-elle, parce que je puis te contempler…Tu es beau quand….— Tu aussi, fis l’homme. La seule femme nue que j’ai connue jusqu’à présent, c’est toi…Tu seras toujours la plus belle, la plus désirable. Les autres femmes ne m’excitent pas…regarde…Il se satisfaisait l’un devant l’autre, sans étouffer leurs soupirs voluptueux. Je ne voyais plus qu’une main et une verge, une vulve et des doigts. J’étais en train de me prendre, la main au ventre.-Je vais jouir, Thérèse, dit l’homme. Cette fois je ne puis plus…me retenir…
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