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La voyeuse

Chapitre 34

Divers
Résumer de l’épisode 33-Que je sache n’a pas d’importance… sauf que j’aurais voulu assister à vos agapes charnelles, dit encore Louise. Savoir que la débauche existait dans cette maison et en être exclue…c’était un peu dur…-Mais comment faire, Louise ? Pour ma part je ne vois pas comment je pourrais vous imposer à Alain…de go, sans crier gare…    Épisode 34 de la voyeuse -Je suis persuadée qu’il s’en réjouirait…S’il est capable de coucher avec vous c’est qu’il accepterait bien d’autres débauches…et nous serions trois à en éprouver l’agrément. Et puis, ce ne serait pas la première fois qu’il me verrait dans le plus simple des appareils…— Qu’est-ce que je dois comprendre, Louise ?-Alain est en proie au démon de la chair depuis longtemps…Dans sa chambre traînaient toujours des revues avec des photos de femmes nues…Mais inutile de donner plus d’explications…J’ai déjà eu sa belle queue dans la main. Et lui…-Il a une belle queue, n’est-ce pas, Louise ? Quand je la vois j’en ai l’eau à la bouche…Je voudrais tout le temps la sucer, jouer avec ses couilles…La caresser, la manipuler, tandis que j’ai le gland profondément enfoncé, jusque dans la gorge…La première fois que je me suis donnée à lui…Je ne sais où j’ai pris l’audace…Tout à coup je suis devenue amoureuse… Mon passé s’effaçait. Je ne pensais plus qu’à cela. Me donner à Alain, faire l’amour avec lui, retrouver ce que j’avais perdu depuis longtemps. Et j’ai trouvé le plaisir, la jouissance, alors que je ne la connus jamais…Oui, j’ai appris à jouir…mais vous y êtes aussi pour beaucoup…ma chérie…Çà ressemble à l’éveil d’une petite jeune fille. Si vous vous êtes révélée à l’amour physique ce fut en des conditions exceptionnelles.Il a fallu que votre voisin fut un vicieux. Pour moi également il a fallu un concours de circonstances presque bizarres…Mais à présent…quelles joie je me dépouille de toutes les conventions sociales pour me donner à la passion…    ************ Très vite Elsa eut une sensation d’abandon lorsqu’elle constata que Louise ne l’approchait plus. Impatiente comme toujours, il ne lui fallut pas longtemps pour se rendre compte que quelque chose c’était passé qui avait coupé court à son aventure avec Louise.Elle n’eut d’autre solution que de reprendre ses habitudes d’avant. Robert était toujours en clinique et n’allait pas mieux. Il semblait même que son mal s’aggravait au lieu de diminuer. Il souffrait, le pauvre, malgré les piqures qu’on lui administrait de plus en plus fréquemment.Aussi décida-t-elle, après une des visites qu’elle fit à Robert, de passer chez Alfred qu’elle avait négligé quelque peu. Comme beaucoup de femmes elle s’imaginait qu’Alfred l’attendait et se morfondait dans la solitude amoureuse. Hélas, il n’en était rien. Quand elle sonna ce fut une jeune fille qui vint ouvrir. Un peu surprise tout de même, Elsa entra dans l’appartement, y fut accueillie aimablement par un Alfred très décontracté et souriant.Il était en robe de chambre, ce qui parut de mauvais augure pour Elsa. Elle savait ce que signifiait quand Alfred était en robe de chambre…pour recevoir quelqu’un…Au salon, sur la petite table qu’elle connaissait bien, il y avait une bouteille, deux verres, des biscuits, ce qui en disait assez…Elsa n’avait jamais vu cette jeune fille. Elle était jolie, élancée, avec une poitrine bien plantée et assez proéminente. Comme elle était en mini-jupe, Elsa pouvait constater qu’elle avait de belles jambes et des cuisses longues et charnues. Bien que jeune, la fille avait en fait un corps sensuel. Un de ces corps qui parlent aux hommes et qu’ils aiment conquérir.Elsa se sentit jalouse. Ce n’était pas cela qu’elle avait à offrir. Elle regarda Alfred qui l’invitait à s’asseoir et à se mettre à l’aise. -Ma nièce est venue me surprendre à l’improviste, dit-il. C’est la petite Agathe dont je t’ai souvent parlé…Alfred mentait. Il ne lui avait jamais parlé de cette Agathe.-Je ne savais pas que tu avais une nièce, fit-elle avec un peu d’impatience.-Et moi j’ignorais que mon oncle chéri avait une amie, fit Agathe en arborant un sourire qui en disait long. Je l’ai toujours considéré comme un homme très sérieux…-Trêves d’impertinences, Agathe, dit Alfred. C’est exact, quoi que tu en dises…je suis un homme sérieux…Sinon ta maman ne m’aurait pas confié ma nièce…-Qu’est-ce que tu veux dire, Alfred ? Questionna Elsa. Qu’est-ce que je dois comprendre… ? Mais la jeune fille intervint sans hésiter, en souriant, mais en appuyant sur ses mots.-C’est bien vrai que je suis sa nièce, dit-elle. C’est ma mère qui a pensé à son frère lorsqu’il fut décidé que je poursuivrais mes études en cette ville. Nous habitons en province, voyez-vous. Pour faciliter les choses, ma mère a demandé à mon oncle de m’héberger et de me surveiller…Ce qu’il a accepté sans hésiter… Nos caractères s’accordent à merveille et il m’aide dans mes études. Il connaît beaucoup de choses…Je ne me suis jamais tant amusée tout en travaillant sérieusement…-Je ne vois pas grande trace de travail dans cette pièce, dit Elsa. Cette bouteille, ces verres…on dirait un rendez-vous d’amoureux plutôt.-C’est une récompense que mon oncle m’accorde parce que j’ai obtenu des résultats très satisfaisants aux examens intermédiaires…Ce soir nous irons même au restaurant…-Il me semble que votre oncle met les petits plats dans les grands, dit Elsa avec un peu de dépit dans la voix. Il ne m’a jamais invitée au restaurant…-Vous n’êtes pas sa nièce, n’est-ce pas ? Pas vrai, mon oncle chéri ?La jeune fille sauta au cou d’Alfred et Elsa put voir comment elle collait sa poitrine contre celle de l’homme tandis qu’elle l’embrassait. Sa jupe très courte se releva davantage et découvrit presque son derrière.-Cependant il ne sera pas dit que vous serez venue pour rien, continua la jeune fille. Je vais ajouter un verre et vous boirez avec nous à mon succès scolaire…J’aimerais sympathiser avec vous…Brusquement Elsa sentit fondre son accès de colère et de jalousie. Pourquoi bouderait-elle contre son plaisir ? Elle était bien. Chez Alfred elle s’était toujours sentie à l’abri des surprises, bien au chaud, et assez libertine. Si à présent elle ne retrouverait pas la même atmosphère, et bien, tant pis…Ce ne serait de toute façon que partie remise. Alfred aimait tellement le plaisir que jamais il ne renoncerait délibérément à une de ses proies. Ils prirent place dans les fauteuils. Elsa questionna la jeune fille et aux réponses elle dut se rendre à l’évidence. Agathe était bien la nièce d’Alfred.Mais une nièce qui après le premier verre de porto abandonnait son attitude de jeune fille bien élevée pour se tenir passablement mal. Enfoncée dans son fauteuil les jambes ouvertes elle découvrait jusqu’à ses cuisses heureusement revêtues de panties. Elsa voyait même une partie de sa fesse gauche…A plusieurs reprises Alfred attira son attention sue ce détail. Elle rectifiait alors sa tenue mais ça ne durait pas longtemps. Quelques instants plus tard elle croisait les jambes et sa jupe courte se relevait davantage encore.Après le deuxième verre elle bavarda un peu à tort et à travers.-En somme, si je vous connaissais d’avantage, je pourrais vous appeler « tante », dit-elle en riant comme une folle. Je pourrais même m’asseoir sur vos genoux et vous embrasser…..Elle n’hésita pas et bondit sur les genoux d’Elsa. Elle l’enlaça et posa sa bouche sur ses lèvres. Elsa se laissa faire avec quelque complaisance. Chez elle aussi le porto commençait à faire ressentir ses effets.Ce jeune corps, à la fois tendre et dur, lui plaisait. Agathe n’était certainement plus son ennemie. Et elle abandonnait toutes ses préventions envers la jeune fille. Déjà elle savait qu’elle serait la tendre complice des amours de son oncle plutôt qu’un obstacle…-C’est savoureux d’être assise comme ça sur tes genoux, dit-elle en tutoyant Elsa sans hésiter. J’aime ça. Elle est tiède et douce. C’est bon. Quand je m’assieds de cette manière sur les genoux de ma mère j’ai la même sensation de bien être… Ma mère a aussi un corps bien en chair, sensuel et tendre… je dirais même moelleux… -Il me semble que vous êtes assez libres entre vous deux, remarqua Elsa en souriant. Cette façon de t’asseoir sur mes genoux et de m’embrasser alors que tu me connais à peine. Et en présence de ton oncle encore….-Quel mal faisons-nous ? dit la fille. Et puis… Quand je suis arrivée ici mon oncle m’a dit qu’il ne voulait pas que je sois une gêne pour lui. Il mène une vie assez libre, reçoit parfois quelqu’un…Ce qui fait que j’accepte qu’il n’y ait pas la moindre gêne entre nous. Aujourd’hui, sachant que vous veniez, j’aurais dû partir, aller au cinéma pour vous laisser seuls. Mais voilà, vous êtes venue à l’improviste…et je suis là. Il faut bien accepter ma présence maintenant. A moins que vous désiriez que je m’en aille ?
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