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Un vrai coup de foudre

Chapitre 2

Hétéro
C’est main dans la main que nous nous dirigeons chez lui.

C’est rare qu’un homme fasse cela. Généralement, il vient chez la fille pour partir ni vu ni connu après qu’elle se soit endormie. Cela m’était arrivé il y a environ deux ans, un mec rencontré en soirée. Je l’avais ramené chez moi après avoir été longuement draguée par cet homme. Je n’avais pas compris qu’il voulait juste tirer son coup, croyant naïvement qu’il s’intéressait vraiment à moi. On a fait l’amour une bonne demi-heure où je m’étais déchaînée en cavalière, ma position préférée. Il s’est vidé en moi en prenant son pied avant de s’endormir sans m’avoir fait jouir. Je m’endors à ses côtés. Je suis réveillée par une porte qui claque, seule dans mon lit avec ma poitrine couverte de sperme. Ce salaud venait de se masturber sur mes petits seins pendant mon sommeil avant de partir en secret. J’étais dégoûtée et je me suis promis de ne coucher qu’avec les hommes qui me ramèneront chez eux. Ce qui m’arrive pour la première fois. Ce qui prouve qu’il en vaut la peine.
Retour à la réalité : on s’embrasse fougueusement dans son appart, m’entraînant dans sa chambre. On se lâche, il commence à se déshabiller, me montrant un beau corps sportif. J’en fais de même. Je prends ma pince à cheveux et l’accroche au premier truc que je trouve, fais glisser ma jupe puis déboutonne mon chemisier blanc. Après avoir retiré mon string, je le rejoins dans le lit habillée d’un soutien-gorge noir classique. On se positionne en 69 et il lèche mon vagin trempé d’excitation en me caressant et malaxant mon fessier bombé. Il me fait ça tellement bien...
J’ai pris ce fameux pénis. Long de dix-sept centimètres environ et doté d’une largeur convenable, voici le sexe qui m’a rendue folle tout à l’heure. Je passe ma langue sur le gland, l’enroule autour puis l’embrasse avant de titiller le frein. J’embouche son pénis afin de le téter avant de débuter une série de va-et-vient, je caresse ses testicules lisses et fermes de ma main gauche en masturbant le chibre de ma main droite, en coordonnant le mouvement avec le coulissement de mes lèvres. Je sens des spasmes dans son membre, il apprécie mes caresses buccales.
Je me relève et m’empale sur son sexe pour commencer à le chevaucher énergiquement.
— A mon tour de te faire tourner la tête, lui dis-je.
Je monte et descends mon beau fessier, avec ses mains sur mes hanches pour intensifier la pénétration, je remue d’avant en arrière puis en cercle avant de recommencer à remuer d’avant en arrière. Je m’allonge sur lui pour l’embrasser en continuant mon haut en bas. Ses mains caressent mon dos humide avant de dégrafer mon seul vêtement. Je me redresse pour le faire glisser le long de mes bras et il le récupère pour le jeter puis redresse sa tête pour venir embrasser mes petits seins, qui sont à mon goût que trop ‘trop’ rarement léchés. Les langues masculines préférant les bonnets D au bonnet A. Ma main à l’arrière de son crane à lui caresser sa chevelure brune, continuant les mouvements de mon fessier, pendant qu’il mordille mes tétons qui pointent fermement. Je jouis la première, peu de temps avant lui « Haaaannnnnnn» avant de le sentir de me remplir à nouveau dans un grognement, avec toujours un sein, mon sein à la bouche.
Nous nous embrassons, il me caresse les cheveux, mon cou, mes épaules. Je donne des baisers dans son cou. Exténué, je m’endors ainsi : allongé sur Lorenzo, son sexe encore planté dans le mien, ses bras m’enlaçant. Une main sur ma fesse droite, l’autre sur mon omoplate gauche, et ma tête posée dans le creux de son épaule.

Je me réveille doucement. La chambre est ensoleillée et je suis seule dans le lit. Je remarque mes vêtements éparpillés sur le sol ainsi que ma pince à cheveux accrochée à la lampe de la table de nuit, où se trouve mon portable avec un bout de papier dessus. Je le prends par curiosité.
— Coucou Claudia. Je suis partie au travail ce matin, je serais de retour à 17 heures. J’espère que tu seras toujours là. Ma sœur doit passer ce matin vers 10-11 heures, elle est au courant de ta présence. N’hésite pas à m’appeler au 06 XX XX XX XX. Bisous ma déesse.
A cette lecture, je rougis de plaisir comme une adolescente qui reçoit un « je t’aime » pour la première fois. Je ne réfléchis pas et m’empresse de l’appeler. J’ai reçu 6 appels de « Ma chérie », c’est Clémentine, je verrais ça après. J’appelle Lorenzo.

« -Oui allô ?
— Allô Lorenzo, c’est Claudia.— Ça va ? Tu as bien dormi ?— Oui, très bien.— Je ne voulais pas te réveiller ce matin. Ma sœur est passée ?
Ne t’inquiète pas, tu as bien fait. Je ne sais pas, je suis pas encore sortie de la chambre.
— D’acc, en tout cas, cette nuit était divine. Je n’ai jamais vu une nana se déhancher comme ça. T’es une vraie déesse.— Il faut dire qu’après le premier round aux toilettes du bas où tu m’as montré ton talent pour nous envoyer au septième ciel, il fallait bien que je montre que je n’étais pas en reste.— J’admets volontiers ma défaite.— J’ai trop hâte que tu rentres. J’ai trop envie de toi.— Moi aussi, la journée va être longue... Bon, il faut que je te laisse. A ce soir. Je t’aime.— Moi aussi je t’aime »
J’appelle ensuite Clémentine, qui a essayé de me joindre.
— Allô ma chérie.— Enfin, tu ne dors pas autant d’habitude ! Il t’a tant fait jouir que ça ?— Oui, mais je lui ai aussi fait tourner la tête.— Ouais.— hum, il a dû kiffer. Ça se passe comment ?— Je vis un conte de fées ! Et toi, ta soirée ?— T’es bien la seule ! Moi, vu que je n’avais rien à faire et que Karim me draguait, je l’ai ramené chez moi.— Il est comment ?— Nullll ! Précoce le gars. Il m’a baisé 3 minutes en missionnaire à lécher mes gros seins avant de jouir dessus. Sa petite bite est un feu d’artifice ! Plein de petites gouttelettes éparpillées sur ma poitrine de tous les côtés. Il me sort après un « t’es trop bonne, il faudrait qu’on remette ça alors qu’il n’a même pas cherché à me faire grimper aux rideaux.— T’as pas eu de chances ma chérie.— Ça te dirait pas de faire un plan à 3 pour me montrer le don de ton mec.— Dans tes rêves ma chérie.— C’est pas bien de ne pas être partageuse ma chérie. Bon, il faut que je te laisse, à demain, ma chérie.— A demain »
Je sors (habillée) de la chambre et tombe sur une très jolie jeune femme. Dans ma taille, cheveux lisse et brun en carré plongeant, yeux verts. Fine avec des formes que je qualifierais de parfaites par rapport à son gabarit.
— Bonjour Claudia, moi c’est Eleonora.— Bonjour...
Je suis un peu gênée au début, mais la sœur de Lorenzo est très sympa et arrive à me mettre à l’aise. J’apprends qu’elle a 26 ans (donc trois de plus que moi, deux de plus que son frère), qu’elle est infirmière et célibataire.
— C’est drôle, je n’ai jamais cru au coup de foudre.— Moi aussi... et pourtant, j’ai bien l’impression d’en vivre un.— Ton passé amoureux était comment ?— Chaotique ! Généralement quand j’étais avec un mec, ça ne durait pas. Je pensais même ne pas être faite pour être en couple.— Et pour les coups d’un soir.— Avant hier, ce n’était pas mon fort. Généralement les beaux mecs dignes d’intérêt finissaient avec ma meilleure amie.— La blonde à gros seins que tous les mecs veulent se taper.— Brune à gros seins. Mais oui, ils veulent tous se la taper. Mais hier, c’est elle qui a couché avec un nul précoce. Du coup, elle m’en veut un peu.
On se met à rire. On discute encore une bonne vingtaine de minutes avant qu’elle parte. Ce fut une belle rencontre.
La journée fut longue, mais il rentre enfin. A peine rentrée, je lui saute dessus, toute nue. Il m’embrasse, me porte pour m’amener à la chambre. Il me pose sur le lit et je m’allonge, la tête face à son entrejambe. Une fois son beau sexe sorti, je l’embouche et le pompe en le regardant alors qu’il caresse ma chevelure brune. Je le prends en entier dans ma gorge.
— Haaan, ouiii. Que tu es doué mon amour.
Il me caresse les fesses puis me demande :
— Tu aimes la sodomie ? Tu as déjà testé ?— Oui, mais ce n’est pas ce que je préfère. Mais si toi tu aimes, je veux bien t’en donner une de temps en temps.
Je me retourne à quatre pattes, mais il pousse sur mon dos pour que je m’allonge. Il me prépare bien, avec léchouilles et doigtage anale, avant d’enfoncer dans un mon trou interdit.
— Arrrrgh ! Ouiii ! Vas-y doucement ! Hann, arrgh !
Il accélère petit à petit de mouvement, me faisant jouir « Arrgh ! Agh, agh, aaagh ! » le souffle coupé. Une vingtaine de minutes lui suffit pour me faire jouir deux fois avant de se vider dans mon petit cul. Nous nous endormons ensuite enlacés.
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