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Un vrai coup de foudre

Chapitre 7

Hétéro
Ce qui suit un mariage, c’est la lune de miel. Alors, depuis que j’ai dit oui à Lorenzo et qu’il en a fait de même pour moi, j’attendais ce moment avec impatience. On a beaucoup réfléchi pour trouver la destination de notre lune de miel. Le Portugal (mon pays d’origine), l’Italie (le sien), le sud de la France... Finalement, nous avons décidé de la passer à Venise, ville connue pour son romantisme. On avait évoqué la possibilité de la passer dans mon pays d’origine, où nous ne sommes encore jamais allés, contrairement au sien. Mais vu qu’on avait prévu d’y aller cet été, je voulais une destination qui faisait vraiment romantisme. J’avais pensé à quelque chose qui claque comme Hawaï, les Bahamas... et nous avons fini par choisir cette belle ville qu’est Venise (ou Venezia si on le dit à l’italienne).
Notre lune de miel est un week-end de trois jours. Nous sommes arrivés le vendredi soir, et nous avons passé la nuit dans notre Hôtel. Désolée de vous décevoir, mais je ne vais pas vous raconter notre nuit de sexe... car il n’y a pas eu de nuit de sexe. Nous étions crevés par le voyage, alors à part des petites caresses amoureuses, il ne s’est rien passé.
Samedi, il s’est passé des choses. D’abord du tourisme très romantique. On a bien sûr fait un tour en péniche. Le soir, lorsqu’on est rentré, je l’ai pompé avec dextérité et envie. Ses ‘oh oui bébé, tu me fais trop du bien’ me poussaient à y aller de plus en plus franco. Sa queue était chaude et bien dure dans ma bouche. Mes lèvres coulissaient sur la colonne de chaire, de plus en plus loin, jusqu’à ce que mes lèvres touchent son pubis en réalisant une gorge profonde qui lui coupe le souffle. Je reste avec sa queue dans ma gorge serrée une bonne minute, avant de le recracher en toussant assez fort. Un filet de bave relie ma bouche à son gland. Je le reprends en bouche en finissant de le sucer. Je n’avais jamais vraiment sucé de manière aussi ‘hard’, et il semblait beaucoup apprécier... et je dois avouer que moi aussi, j’y prends goût. Il se met à grogner et son sexe se met à gonfler. Je retire son sexe de ma bouche et le dirige vers mes seins.
Son regard fixe les sept jets de sperme qui vinrent souiller ma petite poitrine. J’aurais pu le faire éjaculer sur mon visage pour faire très salope, mais j’ai préféré mes seins que je masse ensuite en étalant son foutre. Il me regarde avec un regard de braise. Ce qu’il voit, et qui est digne d’un film porno américain, l’excite beaucoup. Il ne lui faut pas plus de cinq minutes pour rebander, même si son érection n’est plus aussi dure que la première. Il vient me doigter la chatte en mordant mes tétons, le fait que mes seins ont été massés par son sperme, maintenant comme insérer dans ma peau, m’excite fortement quand je vois sa langue se promenait su le galbe léger de mon sein. Et cela n’a pas l’air de le déranger. Mais bon, il faut dire que ma poitrine n’est pas grasse de sperme, je me suis quand même bien massé et un peu essuyé. Je ne pense pas qu’il m’aurait fait la même chose juste après son éjaculation.
Après tout, j’ai déjà léché ma propre mouille lorsque je le suçais un peu pendant qu’on changeait de position. (Ce qui me faisait bizarre au début, je dois bien l’admettre). Il me prend ensuite en missionnaire, y allant à un rythme très intense. Je me mets à trembler de plaisir et continue de le chauffer par la parole, tout en finissant par jouir.
— Oh ouiiii, continue ! Déchire-moi la chaaate mon amouuuuur ! Ouiiiii ! Ouiiiiii ! Oooooh ouiiiii !
Mon orgasme n’est pas le seul à se déclencher, car je sens des petits filets de sperme m’inonder l’utérus. Il a moins joui que la première fois, mais son orgasme semblait tout aussi intense. On s’endort après cette ‘petite’ partie de détente conjugale.
Dimanche, notre avant dernier jour, on part demain en fin d’après-midi. La journée se passe à merveille avec beaucoup de visite de cette ville magnifique. Avec à midi un restaurant où on a passé un moment très romantique. Le soir arrive et il s’agit de notre dernière soirée, car même si on pourra continuer notre tourisme demain, à dix-sept heures, nous serons partis. Alors ce soir, cette soirée va être inoubliable ! On va baiser comme jamais et il y a intérêt à ce que cette baise reste à jamais dans ma mémoire comme celle de la nuit de notre mariage. Après un nouveau dîner dans un bon restaurant, on rentre dans la chambre en s’embrassant passionnément. On a tous les deux le même plan en tête, passer une nuit torride. Et j’ai bien une idée pour pimenter la chose encore plus.
— Mon amour, que dirais-tu de faire un petit jeu ?— Je t’écoute ma chérie.— Au lieu de se faire l’amour, on se fait un petit combat. Le premier à jouir a perdu.— Humm, le perdant à un gage ?— Bien évidemment, sinon ce ne serait pas drôle.— C’est une excellente idée... Que vais-je pouvoir te demander après ma victoire ?— Tu me sembles un peu trop sûr de toi Lorenzo. Car si j’en crois la fellation d’hier soir, ta seule chance de gagner, c’est de supprimer les préliminaires, hi hi.— En 69, ma donne sera différente ma chère Claudia. (il se déshabille, me dévoilant son sexe dressé, et s’allonge au milieu du lit deux places) Viens t’installer et commençons la guerre mon cœur.
Je me mets nue à mon tour, et viens me positionner sur lui pour commencer notre 69. Il me donne de sacrés coups de langue bien placés, le salaud ! Je me dois de répliquer en le prenant en entier dès ma première bouchée, ce qui le fait grogner de plaisir. On se neutralise, on a chacun notre petit temps fort, mais on ne le concrétise pas, et l’autre peut revenir dans la partie. À chaque fois que je sens son pénis palpiter dans la bouche, il me donne le coup de langue à l’endroit infernal, ce qui me déconcentre et m’empêche de l’achever. Il tient bien sa défense. J’aurais dû m’en douter, il est italien. Vive le catenaccio (oui, je suis une fille qui aime bien le foot. La fille parfaite, non ?). On arrête les préliminaires pour commencer les choses sérieuses, je me pose sur lui et m’empale. Avec mon déhanché divin (oui, oui, divin) il ne va pas tenir longtemps, enfin j’espère. Je me déhanche avec rage et il peine à rester concentré, mais il parvient à ne pas jouir.
Je ne dois pas non plus y aller à fond, car je risquerais de me faire jouir. Mais voilà, je fatigue, alors je dois ralentir le mouvement. Vu le petit sourire qui flotte sur le visage de mon mari, il est content d’avoir survécu à la première bataille. Je me retourne et m’empale dos à lui, en lui donnant une vue parfaite sur mes belles fesses rondes et rebondies. Je fais des mouvements sensuels et je le sens grogner de plaisir. Mais il se retient, et au moment où je ralentis le mouvement, il pousse mes jambes pour que je perde mes appuis, de manière à ce que je tombe sur lui et pas devant. Il relève son bassin, passe ses mains sous mes cuisses pour venir m’attraper le visage. Il réalise alors la position ‘full nelson’. Une position assez extravagante. De cette manière, je suis obligée de garder mon regard sur ma petite chatte qui se fait ravager, limer, déchirer, bien comme il faut. Je me mets à baver sur mon menton, à avoir le teint rouge, le visage extatique, les yeux écarquillés.
Je ne gémis pas, je hurle, et je finis par être prise de convulsion pendant mon orgasme.
— AAAAAAH ! HANNNNNN ! AARRRRRGGHH !
Il me relâche de son emprise et me pousse sur le coté, je roule et il vient me pénétrer en levrette allongée, tout en me caressant le dos, puis les cheveux, et venir me lécher le cou. Je reprends mes esprits et recommence à prendre du plaisir. Je n’ai plus la force de résister et je jouis une seconde fois avec des halètements très sexy. Il me prend ensuite, dans la foulée, en missionnaire.
— Tu es tellement belle quand tu fais l’amour ma chérie.
Je ne peux pas résister en entendant ses paroles, et je suis partie pour contracter mon vagin une troisième fois en l’espace d’un quart d’heure. Ce qui est assez éprouvant physiquement. Mon champion se vide enfin dans ma petite chatte trempée par toute la jouissance qu’elle a reçue. Il m’embrasse tendrement alors que je reprends (encore) mes esprits.
— Hummm.— On dirait bien que j’ai gagné chère Claudia. Et si je voulais te charrier, je dirais même 3 buts à 1.— Hmmm, en temps normal, j’aurais été mauvaise perdante, mais j’ai trop pris mon pied.
Je le pousse pour qu’on roule et que je me retrouve sur lui, je l’embrasse avec envie, nos langues se lèchent sur tous les recoins.
— Et quel gage je vais te donner...— Dépêche-toi au lieu de savourer ta victoire, mauvais narcissique.— Ton gage sera de porter notre enfant.— Humm, c’est drôle, je t’aurais donné le même gage...— De me faire porter notre enfant ? Me dit-il en rigolant.— Mais non idiot ! De me faire un enfant.— En tout cas, on va avoir du boulot ma chère femme.— Personnellement, avec ce genre de boulot mon cher mari, je vais faire des heures sup’
On continue à s’embrasser avant de nous endormir...
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