Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 69 J'aime
  • 4 Commentaires

Un vrai coup de foudre

Chapitre 10

Hétéro
Ça y est, mon petit garçon a un an. Ma vie a radicalement changé depuis mon mariage puis la naissance de mon fils et je n’aurais jamais cru être aussi heureuse dans cette situation. Pour l’anniversaire de Luciano, ma mère a organisé une fête dans notre maison au Portugal. Je trouve cela un peu stupide, car mon fils n’a qu’un an, il ne s’en souviendra même pas. Un simple repas avec les oncles, tantes, grands-parents aurait suffi... Mais ma chère mère a beaucoup insisté alors j’ai craqué.
Et nous voilà après un long et périlleux voyage en voiture, arrivés chez mes parents. Clémentine est venue avec nous ainsi que les parents de mon chéri et sa sœur qui ont fait le voyage avec une autre voiture. La maison de mes parents permet de tous nous héberger. Les personnes que je viens de vous citer sont les seules de la famille de Lorenzo à venir. De mon côté, il y a Clem et mon frère déjà sur place et mes parents bien évidemment qui nous hébergent. Le reste c’est ma mère qui les a invités et je n’ose imaginer le nombre de personnes que je ne connais même pas qui vont être là demain. On commence à sortir de la voiture et mes parents accompagnés de mon frère font leurs apparitions.
— Olá minha filha, como foi a viagem ?— Olá papa. Le voyage fut long, je suis contente d’être enfin arrivée. Les embrassades terminées, on monte nos affaires dans nos chambres respectives. Ma mère prend mon petit bout de chou alors que je pars avec Lorenzo ranger nos affaires. On a bientôt fini de ranger, je m’allonge sur le lit, de manière horizontale, donc dans le sens inverse que lorsqu’on s’allonge pour y dormir, car le lit est vertical. De cette manière, mes jambes sont à moitié sur le lit et mes pieds sont posés par terre avec mes genoux fléchis à l’extrémité du lit. Je regarde mon mari finir le boulot. Au bout d’une trentaine de secondes, il me remarque.— Ah bah te gêne pas ! Regarde-moi faire ton travail ma belle !— Merci mon amour, c’est vraiment gentil de ta part. Mais si tu venais faire une petite pause avant de finir ? Je remonte mes genoux et j’écarte mes jambes. Ma jupe se relève alors exposant ma chatte dans mon string en dentelle blanche. Je ne mets pas longtemps à le décaler pour venir la caresser avec mes doigts. Je me fais bien mouiller.— Hummm, c’est bon...— Tu l’auras voulu ma chère !
Lorenzo se met entre mes jambes et commence à me bouffer la chatte, il comprend que j’en meurs d’envie alors il y va franchement dès le début. Sa langue parcourt mes lèvres intimes bombées par l’excitation, elle rentre à l’intérieur puis ressort pour venir jouer avec mon clitoris érigé. Un doigt vient me pénétrer le sexe alors qu’il s’acharne sur mon clitoris et je sens mon plaisir monter. Les bouts de mes seins sont tendus comme pas possible et me font mal à s’écraser contre mon soutien-gorge.
— Hann, ouii, bébé, je vais veniiir, hann.
Alors que je sens que je vais bientôt jouir, un doigt vient pénétrer mon anus. « Ouuh ». Je ne m’y attendais pas et je dois avouer que ça a fait son effet. Avec un doigt dans la chatte, un dans le cul qui s’active sans rechigner et une langue qui torture mon clito, je jouis d’un coup sec ! Dans un « arrgh ! » puissant, j’inonde la bouche de mon chéri de trois jets de cyprine alors que je ne suis pas spécialement fontaine, mais là j’ai giclé comme si j’étais un mec ! Mes jambes tremblent et mon clitoris commence à souffrir d’une telle jouissance. Je me relève, aidé par Lorenzo et je regarde son entrejambe prêt à déchirer son pantalon pour venir s’écraser contre mon visage. Je passe ma main dessus pour le masser puis libère son pieu brûlant quand je le prends en main. Sans prendre de gant, je l’embouche en en prenant la quasi-totalité, il doit pousser sur mon crâne pour me la faire prendre en gorge profonde.
Je sens sa queue palpiter, je ne vais pas mettre longtemps à le finir vu son degré d’excitation.
TOC TOC
— Claudia, Lorenzo.
Putain de merde, ma mère. On se regarde pendant une seconde. Et si ma mère rentre et me voit en train de pomper, je vous rappelle qu’elle est chrétienne portugaise et prude. Je recrache sa queue et on se réajuste à la vitesse de l’éclair. Cela dure cinq secondes grand maximum.
— Oui maman ?
Ma mère rentre avec mon fils dans ses bras, nous on fait genre de ranger. Elle ne semble pas remarquer mon teint un peu rouge que j’ai après chacun de mes orgasmes.
— On va passer à table.— Super, on arrive. À tout de suite mon petit cœur !
Ma mère repart et Lorenzo me regarde en rigolant.
— Moi ça va, j’ai déjà mangé, a ah.— Ouais bah moi, j’ai à peine pu finir mon entrée. Je voulais avoir une bonne crème blanche pour mon dessert ! On descend et on mange avec tout le monde. Je ne vais pas vous faire un résumé, ce n’est pas important. À part les yeux de mon frère plongés dans le décolleté de Clem, et ceux de mon père aussi... Ah les hommes et les gros seins, le point faible. Quand on remonte nous coucher, nous sommes crevées, la faute à un long repas, car oui, les repas avec mes parents sont toujours longs ! Et surtout celui-là, on avait beaucoup de choses à nous raconter et donc, j’ai dû dire adieu à une bonne partie de sexe. Surtout que mon Luciano n’est pas dans la même chambre que nous alors oui, je compte bien me faire baiser ici ! C’est des petites vacances après tout, c’est fait pour ça.
****************************************
Humm, je me réveille en bâillant et en m’étirant. Je dors avec une simple nuisette que j’ai retirée au cours de la nuit, car j’avais un peu chaud. Mais vu qu’elle ne me réchauffait pas tant que ça, j’avais toujours aussi chaud après l’avoir retirée. Bref, tout ça pour dire que mon corps sexy est tout nu, comme celui de mon mari. Je vois cette queue longue de dix-huit centimètres bien en érection par la gaule matinale. Je viens délicatement me positionner entre ses jambes. Ma petite langue commence à lécher ses bourses, mes lèvres les embrassent. Je remonte ma langue sur tout le fourreau avant d’emboucher son gland que je tète comme il l’aime temps et je l’entends grogner. Il commence à émerger et je continue de le sucer délicatement. Je suis concentré, les yeux fermés, sur ma fellation que j’aime beaucoup donner à mon homme en ce beau matin.
Une main vient caresser ma chevelure brune, j’ouvre les yeux pour le voir déjà à bout, son beau sourire me donne envie de lui donner encore plus de plaisir.
— Bonjour mon amour.
Je lui réponds avec un sourire, sa queue dans la bouche. Je le suce avec sensualité et quelques minutes plus tard, il jouit dans ma bouche, me laissant savourer son sperme épais que j’avale avec plaisir.
— Tu l’auras eu ta crème blanche finalement.— Hum, et une onctueuse en plus. (je viens m’allonger sur Lorenzo pour l’embrasser)— Tu vas bien mon amour ?— Oui, j’ai bien dormi malgré la chaleur. Mais je stresse pour tout à l’heure.— C’est qu’une fête, pourquoi ça te fait tant flipper ?— Ma mère... Elle va inviter n’importe qui, grrr, j’espère qu’il n’y aura pas Diego...— C’est qui ce Diego ?— Mo ex de quand j’avais huit ans. Mon premier bisou. Depuis nos seize ans, il force pour me baiser.— Ah oui, je vois. Dommage que j’ai oublié mon Beretta...— Ah, ah, t’es con. Tout ça pour dire que ma mère peut inviter n’importe qui. Elle est tellement fière d’être grand-mère.— Après, si ton Diego est là, c’est bien. Il verra qu’il a plus aucune chance donc c’est bénef pour toi mon cœur. Et puis, je pourrais me vanter d’être ton beau et merveilleux mari.— Tu n’arrêtes jamais de te vanter toi.— C’est comme ça que tu m’aimes ma chère femme.— T’as de la chance que je t’aime, oui !
Trois heures plus tard, on est à la fin de la préparation de la fête. Les invités vont commencer à venir vers treize heures. Pour partir vers vingt-et-une heures au plus tard. Oui, ma mère a vraiment prévu une très grosse fête. Je suis avec ma mère et je décide d’aborder le cas de Diego.
— Maman, as-tu invité Diego à cette fête.— Bien sûr ma chérie. Tu es pressé de le revoir ?— Bah non, maman. Pourquoi je le voudrais ?— Il est super gentil ce garçon. Et puis vous vous entendiez bien à l’époque où vous vous faisiez des petits bisous. Vous étiez trop mignons tous les deux.— Oui, et j’avais huit ans. Depuis notre adolescence, il a forcé à mort pour coucher avec moi. Il faisait le beau devant toi, mais il voulait que me sauter.— Claudia ! Ne dis pas ce genre de chose.— Quoi ? C’est la vérité. Et ne fais pas la prude maman, on est au XXIème siècle, je suis marié et j’ai un fils. Tu te doutes bien que je ne suis plus vierge.— Oui, mais quand même.— Je n’ai pas vraiment envie de le voir. Je suis avec ma famille que j’adore et je ne vois pas ce qu’il vient faire ici.— Mais ne t’inquiète pas Claudia, il était super content pour toi. Tu verras qu’il ne te fera plus d’avance. Vous étiez jeunes à l’époque et je suis sûre que tu dis des bêtises sur lui. Il devait être amoureux de toi et aujourd’hui vous êtes passés à autre chose. Tu le verras par toi-même tout à l’heure.— Si tu veux maman.
Avec ma mère, on finit ce qu’on faisait et ma meilleure amie Clémentine me rejoint.
— Vous parliez de Diego ?— Oui, elle l’a invité. Tu te rends compte ?— C’est vrai que c’est bizarre, il forçait celui-là. Tu te rappelles ces messages « je vais te déglinguer dans les étoiles, c’était trop drôle. Mais dis-moi, si je veux qu’il me baise, je peux ?— Fais comme tu veux. Et tu sais quoi, vas-y, il sera loin de moi quand il sera plongé dans ta chatte.— Merci ma chérie. »
L’heure est arrivée, et les premiers invités arrivent. Il y a des voisins, des amis de mes parents, etc. Je ne suis pas super bonne en statistiques, mais je dirais que je ne connais pas 80 % des personnes présentes. Comme je l’ai dit à Lorenzo, c’est ma mère qui frime avec son petit-fils. Pas de trace de Diego, je suis contente. Puis arrive quatorze heures trente. Je reconnais de suite Diego, avec son air de connard mesquin. J’étais peut-être amoureuse quand on avait huit ans, mais là, je déteste ce type. Et il vient me voir.
— Claudia. Ça me fait plaisir de te revoir.— Oui, j’en doute pas.— Quand ta mère m’a annoncé la bonne nouvelle, je n’en croyais pas. Je ne te voyais pas du tout mariée et mère de famille. Ça me déprime un peu, moi qui rêvais de te prendre en levrette.— (Et voilà, il recommence ce connard) Oui, en parlant de ça, je vais te présenter mon mari. Lorenzo !— Oui ma chérie (il n’était pas loin de moi, et je sais qu’il veut remettre à sa place ce petit con. Alors je vais lui faire une passe décisive)— Je te présente Diego. Diego, voici Lorenzo, l’homme de ma vie.— Je suis enchantée. Répond, enjouée, mon mari en lui serrant la main avec fermeté, ce qui met mal à l’aise Diego qui ne s’attendait pas à tout ça.— Heuu, moi aussi...— Vous parliez de quoi ? Demande Lorenzo.— Oh, Diego me disait encore à quel point il voulait me baiser en levrette.— Ah oui ? T’as bien raison mon pote ? En levrette, elle est juste exceptionnelle. Mais vraiment, une bombe ! Mais bon, on ne peut pas tous être aussi beau et merveilleux pour la marier. On va saluer les autres invités ma chérie ?— Bien sûr. Au plaisir de te revoir pour cette levrette, Diego.
Je pars avec Lorenzo, on éclate de rire ensemble. Mais ce con ne s’y attendait vraiment pas, ça a rendu la chose encore meilleure.
— T’as vu la tête qu’il a tirée. C’était magique.— Il l’avait bien cherché après tout. Tu connais beaucoup de ces gens ?— Non, quasi personne.— Bon, bah ça va être une découverte pour tous les deux ma chère épouse J’ai l’impression d’avoir passé une journée entière à dire bonjour alors que nous sommes qu’à la moitié de la fête. Mais j’ai quand même passé bien quatre heures à saluer et à discuter avec des inconnus. Je suis avec mon fils dans les bras, me baladant dans le jardin, à l’écart de la fête. Mon bébé dort paisiblement et Clémentine me rejoint.— Claudia, c’est incroyable !— De quoi ?— Ton Diego !— Quoi ? T’as vraiment couché avec lui ?— Bah oui. Et il a une bite !!! Petite, mais incroyablement épaisse. Il avait du mal à la rentrer, t’imagines. Et pourtant, elle est large ma chatte ! Il m’a défoncée comme jamais. Et il lèche tellement bien. Je te parle, mais pas de son cunni et de l’orgasme mammaire qu’il m’a donnés. Le meilleur coup de ma vie avec le Sénégalais et le pote de ton mari. Et puis, je ne te raconte pas la galère pour le sucer, j’ai failli me disloquer la mâchoire quand il m’a baisé la bouche.— Ah, je... Je suis contente pour toi.— T’as l’air bizarre.— Non, c’est juste que... Enfin, je ne m’attendais pas à ce qu’il baise si bien.— Tu regrettes de ne pas avoir baisé avec lui à l’époque ?— Quoi ? Non, ça reste toujours un connard à mes yeux. Mais un connard qui baise bien, c’est tout.— Oh oui, il baise bien. Ça t’excite ?— Putain, mais non. Je le déteste ce mec !— T’énerve pas, je blaguais.— Parlons d’autre chose, je veux plus parler de lui !— Très bien. Tu as vu Eleonora, elle est super sexy. Tu penses qu’elle succombera à mon charme ?— C’est encore une blague pourrie, c’est ça ?— Non, elle me fait vraiment de l’effet. Et pas qu’à moi ? Je regarde dans la direction de Clem et, je vois ce Diego (encore et toujours lui) draguer la sœur de mon mari. Alors là, pas question ! Eleonora est super et elle ne collectionne pas les mecs comme Clem alors elle ne couchera pas avec ce mec !— Il est hors de question qu’il...— C’est une grande fille, si elle veut baiser, elle en a le droit. T’as vraiment une haine envers ce type.— Oui, je déteste les mecs dans son genre.— Et tu as raison, mais ne t’inquiète pas. C’est moi qui vais faire l’amour à cette somptueuse créature. Ce fut un drôle de moment avec Clémentine. Mais ce que m’a raconté m’a émoustillé, comme l’aurait fait un bon porno. Autant voir Clem baiser avec le meilleur ami de Lorenzo le jour de notre mariage m’avait bien excité, mais je n’aurais pas cru que son récit avec Diego l’aurait fait aussi. Mais bon, je retourne à la fête et je passe mon fils à mon père. Mon mari discute avec mon frère et je décide d’aller mater Clem et Eleonora. J’ai une grosse curiosité et je veux savoir s’ils vont coucher ensemble. Je visite la maison et je trouve enfin ce que je recherche. Dans une salle de bains, ces deux belles jeunes femmes s’embrassent avec passion, les seins sortis et collés. Ce spectacle est très érotique. Eleonora lèche la poitrine de Clem et descend jusqu’à son vagin pour le lécher. Clem gémit, Eleonora se régale. Puis elle a un mouvement de recul et elle crache un liquide blanc visqueux.— Beurk, c’est du sperme.— Ahh, oui. Désolée, mais j’ai baisé avec Diego tout à l’heure.— Ah, et il est comment ?— Divin. Tu pourras baiser avec lui après, mais là, occupe-toi de moi.— Non merci, c’est un con. Mais toi, t’es superbe. Je ne reste pas plus longtemps, je suis venue voir s’ils finiraient ensemble, pas pour jouer les voyeuses. Mais je suis folle d’excitation et je veux mon mari en moi, maintenant ! Quand je reviens, il vient directement à moi.— Je m’ennuie trop !— C’est pas grave, j’ai un super remède.
Mon mari m’emmène dans une autre salle de bain (une chance) et m’embrasse comme un fou. Tout va très vite et je me retrouve baisée fougueusement en levrette.
— Hann ! Hannn ! Ouiii ! Putain, c’est trop bon mon amour !— Oh oui mon cœur. J’adore te prendre en levrette.— Hann oui, et il y a que toi. Je suis qu’à toi !— Ah oui ? Il ne te baiserait pas aussi bien ton porto.— Hann ! Non ! Il a aucune chance ! Hannn, je jouiiiis arggh !
Lorenzo me retourne et me fait asseoir sur le lavabo pour me pénétrer en missionnaire. Cette fois-ci, il est beaucoup moins bestial et on est partie dans un moment très sensuel.
— Hann, hann, hann. T’es excité mon amour.— Tu n’as pas idéé ma Claudia. Te faire l’amour est divin.— Surtout quand d’autres cons veulent ta place, han, han.— Oh oui. Tu n’es qu’à moi mon amour.— Ouiiiiiii.
Alors que nous sommes en transe, Clémentine rentre dans la pièce. Putain, mais cette fête, c’est du n’importe quoi !
— Eh bah, on se fait plaisir les amoureux ! Désolée de vous avoir dérangés. Prenez votre pied surtout, c’est le plus important ! Nous dit-elle avant de partir.— Ça m’a coupé net ça.— C’est pas grave bébé, finis-moi maintenant.
Encore quelques minutes à recevoir ses coups de bite avant de recevoir son sperme dans la chatte. On se rhabille et on s’embrasse encore avant de retourner à la fête. Heureusement, Diego est parti. Je vais voir Clem.
— Tiens, on a fini de jouir ?— Et toi ? Tu n’étais pas censé être avec Eleonora. Ce fut un échec ?— Oh non. Et ce fut incroyable. Court, mais vraiment intense.— Tu as pu avoir des infos sur pourquoi Diego lui parlait ?— Il voulait la baiser, mais elle n’était pas du tout intéressée.— C’est parfait. Tu sais, revoir ce connard qui avait essayé de se servir de mes sentiments pour me baiser, c’était trop aujourd’hui.— Oui, je sais. Tu avais bien fait de ne pas coucher avec lui. Tu t’en aurais voulu.— Oh, tu sais. Ma première fois avec l’autre con de la classe. C’était pas une bonne idée non plus. Lui ou l’autre, ça aurait rien changé.— Si, cette fête n’aurait pas été pareille. Là, t’as pu le remettre à sa place !— Tu as raison ma chérie. Heureusement que t’es là.— Et je le serais toujours ! La fête se termine, nous disons au revoir aux derniers invités. Je vous passe le moment des cadeaux, car il y en avait pas. Ma mère avait dit de ne rien apporter et puis personne ne connaissait mon fils ni même nous, ses parents. Les cadeaux, il les a déjà eus, cette fête ne servait pas à grand-chose finalement, mais ça faisait plaisir à ma mère. La suite de la soirée est simple, on a mangé durant toute la fête alors personne n’a vraiment faim. Je vais voir mon fils qui dort depuis un bon moment pour lui faire un dernier bisou quand mon mari me rejoint.— Alors, ton ressenti.— Contente que ça soit fini.— Le Diego, c’était ton amour de jeunesse. Il a tenté de te manipuler pour coucher avec toi. Le revoir n’a pas été trop dur ?— Finalement non. Et c’est grâce à toi mon amour. On l’a bien remis à sa place et puis, je suis loin d’être perdante dans cette histoire alors pourquoi me prendre la tête.— Tu as bien raison ma chérie. Tu viens, on va se coucher.
Après avoir dit bonne nuit à mes parents, nous partons nous coucher. Enfin, pas vraiment... Une fois dans la chambre, nos vêtements volent à travers la pièce et nos corps se collent. On s’embrasse comme des fous et il me lance sur le lit pour venir s’encastrer entre mes jambes, tout en venant me mordre le cou. Une fois son sexe bien ancré dans le mien, il se met à me pilonner avec tendresse, mais avec intensité. Je halète en caressant le dos, le cuir chevelu de mon homme. Ce n’est pas la baise d’une vie (on a déjà eu une grosse partie de jambes en l’air cette après-midi), mais ces moments romantiques avec de la lenteur, de la sensualité dans les gestes, des petits gestes, des petits bisous... C’est vraiment bon de temps en temps. Il faut savoir varier ses plaisirs au lit. Je prends avec plaisir les allers-retours du pénis de mon mari en moi, et je monte intérieurement.
— Oh oui mon cœur... C’est bon... Hann... Je suis en période d’ovulation mon amour... Fais-moi un bébé... hann ouiii.— Oh oui ‘amore mio’— Fais-moi une fille cette fois-ci... Hannn, ouiii.— Arrgh, je viens mon amour !
Mon sexe jouit et accueille, avec l’envie d’être fécondé une nouvelle fois, ce sperme si aimé dans mon utérus. Nous nous remettons de nos émotions et je viens me blottir contre lui. C’est comme cela que nous nous endormons, à quelques jours de retrouver notre chez nous...
Diffuse en direct !
Regarder son live