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La vraie vie de notre famille

Chapitre 1

Inceste
La vraie vie de notre famille (Prélude)
Aussi loin que remontent mes souvenirs j’ai toujours été très porté sur le sexe et je me souviens, avec nostalgie et délectation, de longues et mémorables branlettes, seul parfois, mais surtout avec ma sour.N’ayant que deux ans d’écart, nous avons toujours étés ensemble, ma sour Sophie et moi Marc. Nos parents, Luc et Dany, exerçaient tous deux des professions libérales et nous étions pratiquement élevés par ma grand’mére maternelle, Josée, une veuve joyeuse, sympa et délurée. Nous étions très complices et ne nous cachions rien de nos petits soucis de cour, ni des envies de nos jeunes corps. Mais passons sur l’enfance (non racontable ici) et arrivons à la merveilleuse période de notre adolescence. Notre complicité, avec Sophie avait été mise à mal par le collège où nous étions pensionnaires toute la semaine ; Heureusement il nous restait les week-end et les vacances.C’est en nous examinant mutuellement que nous avons découvert et mieux compris notre sexualité. Chacun scrutait de très prés et très en détail l’anatomie de l’autre mais sans jamais le toucher. Et puis, tout naturellement, un jour ou nous avions décidés de nous regarder faire pipi, ma sour a demandé à tripoter ma quéquette, je lui ai dit d’accord, si tu me laisse toucher aussi ta minette, ce fut le prélude de nos vrais jeux érotiques.Au tout début nous n’étions pas vraiment gênés mais plutôt malhabiles, pressés, curieux et maladroits. Nous explorions avec délices tous nos points sensibles en commentant nos réactions. En nous regardant faire, nous caressions nos propres sexes, nous nous branlions cote à cote. Puis ce furent les papouilles mutuelles. Très agréables..Vint ensuite la masturbation réciproque, nous avons appris à bien nous faire jouir. Le plaisir que nous déclenchions dans le corps de l’autre était très stimulant. Nous parlions beaucoup de nos amis de collège et par la pensée nous les mêlions à nos jeux sexuels. Nous savions très bien que nos rapports incestueux étaient interdits mais nous n’en éprouvions aucun remord ni aucune gène. Sophie me faisait souvent mal en me paluchant trop fort et moi, toujours actif, j’essayais de lui enfiler loin mes doigts, elle n’aimait pas. Mais, petit à petit, nous devenions plus calmes, plus attentifs, plus vicieux aussi. J’aimais beaucoup écarter délicatement ses grosses lèvres, caresser son petit bouton et explorer toutes ses chairs bien mouillées.Plus cochonne que moi, Sophie adorait que je lui branle l’anus. Son petit oillet était très accueillant et après l’avoir bien préparé j’arrivais facilement à y introduire 2doigts. Sophie jouissait aussi librement de la chatte que du cul, je la régalais et je me régalais.Sans le dire, nous étions très amoureux l’un de l’autre, jaloux et un peu possessifs. J’adorais sa façon de me caresser, de m’exciter, de me branler en mettant plein de salive et en m’enfonçant aussi son doigt dans l’anus. Je balançai chaque fois de grosses giclées de sperme qui s’égaraient sur ses mains, son ventre et quelquefois même sur ses vêtements.Une fois, ma grand’mère Josée nous a surpris pendant que j’étais en train d’enfiler les doigts dans la chatte de ma sour, elle nous a expliqué que si entre frère et sour rien n’empêchait de nous toucher, il ne fallait surtout pas aller plus loin. Promettez moi, nous dit elle. Oui, oui.Depuis ce jour nous ne nous cachions pas trop de mémé et elle en profitait souvent pour se toucher discrètement sous ses jupes, pendant que je jutais sur les mains de ma sour, tout en faisant mousser et mouiller sa minette. Nous avons eu des petits copains et petites copines, ils ne comptaient pas beaucoup mais profitaient de nos expériences amoureuses. Nous nous racontions tout, ils faisaient tous, sans le savoir, partie de nos fantasmes, de nos branlettes et caresses incestueuses.Sophie n’est plus vierge, je le sais, j’étais à ses cotés, lorsque son copain Serge l’a défloré. Depuis quelques temps elle fréquentait ce Serge, un mec que je trouvais quelconque et qui venait à la maison avec sa sour Cécile, jolie fille opulente. Ce samedi après midi nous sommes à la cabane de papa, au bord du lac Bresse. Il fait beau, nous nous baignons et chahutons. Les filles ont des bikinis et nous matons nos deux sours sans aucune discrétion, elles voient que nous bandons car nos maillots ne cachent pas grand chose. Couchés au soleil nous parlons de sexe bien sur. Sophie et moi avons bien remarqué, à des gestes que nous connaissons bien, l’attachement qu’ils se portent. Ils nous demandent si nous avons déjà fait l’amour ; nous sommes un peu surpris mais Sophie leur avoue sa virginité. Pour ma part, je leur parles de mes expériences assez peu enthousiasmantes. Vous savez, nous dit Serge, nous étions persuadés que vous baisiez ensemble, nous en parlons souvent avec Cécile lorsque nous faisons l’amour. Ah bon, tu baises ta frangine toi.. ? Ils nous racontent alors leurs ébats (les nôtres à peu prés) si ce n’est qu’eux se sont décidés à s’accoupler depuis déjà un certain temps. Leurs parents les ont même surpris en pleine séance de léchages, mais étant eux mêmes libertins et comme Cécile prend la pilule ils les ont encouragés à se faire du bien et à continuer dans la discrétion. Ils leur ont juste conseillés de bien choisir leurs partenaires. Si vous avez envie, dit Cécile, vous pouvez le faire devant nous maintenant, j’aimerai bien te mater, Marc, pendant que tu déflores ta sour. Je leur raconte la promesse faite à ma grand-mère, ça les faits rire. Tu as tort, me dit Serge il n’y a pas de meilleur moment que celui ou tu t’enfonces dans le ventre de ta sour, sour chérie pour lui dérober son pucelage, n’est-ce pas, Cécile. C’est vrai répond l’intéressée, mais ce que je préfère c’est lorsque je sens tes jets de spermes frapper le fond de mon vagin..j’adore.. Je leur dis que baiser et juter dans la gueule de ma sour, je connais très bien. Marc insiste car il est sur que si je laisse Sophie se faire déflorer par un autre, j’aurais toujours des remords..Enfin. Serge enlève le soutif de sa sour, empaume sa poitrine et commence un doux léchage des seins, nous nous regardons avec ma sour, indécis. Les slips de nos amis volent, ils sont merveilleusement nus, très excitants et se caressent doucement. La touffe de Cécile est taillée en triangle, des poils blonds, très courts. Les lèvres sont grosses, proéminentes et bien boursouflées. Serge a déjà la main dedans et doigte le con vigoureusement. La pine de Serge est fine, légèrement recourbée et plus longue (mais beaucoup moins grosse) que la mienne.Ils nous appellent prés d’eux et nous les rejoignons un peu excités. Je m’active pour mettre Sophie se retrouve à poil, j’arrache mon slip de bain et ma sour, certainement pour prouver notre expérience à nos amis, s’installe en 69 et commence à me pomper le noud. Je bande déjà bien, la vue de Cécile léchée par son frère me met en émoi. J’écarte largement les cuisses de Sophie et entame une sarabande avec ma langue et mes doigts dans sa minette. Elle mouille, je suce et lèche, le goût du jus que j’avale commence à me saouler. J’arrête mon délicieux léchage et me retire de la bouche de ma sour. Croyant que je suis me suis enfin décidé, Cécile, la voix rauque et les yeux exorbités me crie alors : Vas y salauds, vas y baise là, décides toi, baise ta sour connard. Je lui répond : non, je préfère te baiser toi. Serges s’y oppose et exige de remplir sa sour de foutre avant moi, mais celle-ci refuse, pousse Sophie dans ses bras et se met à m’embrasser goulûment... Les bouts raides de ses seins me frôlent la poitrine, je la caresse, son frère me l’a bien préparée car elle mouille abondamment. Debout nous chaloupons les jambes un peu molles tout occupés à nous procurer un maximum de sensations. Nous nous couchons, je la lèche, elle me lèche, c’est tout trempe, tout gluant et son odeur de cramouille est plus douce que celle de ma sour. Mais je suis trop chaud, beaucoup trop excité et j’ai peur de ne pas résister longtemps aussi, après quelques caresses, allongeant ma compagne, je lui enfile mon chibre bien raide. Elle a un petit sursaut mais se met très vite à gigoter, ses hanches roulent sous moi et son ventre monte à la rencontre de mon sexe. Je la pine vigoureusement, nous ruisselons de transpiration, elle est vraiment très bonne à baiser, son frère l’a bien rodée, elle remue tellement bien que j’ai l’impression qu’elle est en train de me traire la queue, .C’est vraiment fantastique et notre plaisir est décuplé par la présence, si proche, du couple qui nous contemple. Elle me dit qu’elle adore se faire mettre ma grosse bite, qu’elle veut absolument me voir niquer ma soeur tout de suite après elle, qu’elle pensera toujours à ma pine quand son frère lui mettra la sienne, je la sent perdre pied, elle est en train de partir au ciel, la jute monte dans ma tige, je me vides, je craches toute les giclées au tréfonds de sa chatte. Dieu que c’est bon... court mais bon. Alanguie contre moi elle se fait câline et nous admirons ma sour et son frère en pleins ébats. Ils sont tête bêche, se suçant mutuellement. La pine que pompe ma frangine est raide, très longue et fine. Elle l’avale entièrement et la recrache amoureusement toute pleine de salive. La langue de Serge est plantée dans l’abricot de Sophie et ses caresses lui arrachent des gémissements, il la bouffe, ce conard, il bouffe le con de ma sour, ça me fait mal. Bien vite les deux tourtereaux s’affolent. Sophie s’installe à califourchon sur son ami et je peux voir la bite toute raide se frayer un chemin dans la cramouille de ma sour, quelques gémissements, ça y est, cet enculé s’est offert le pucelage de ma sour, de mon amour. Je me rends compte, à ce moment, que j’ai toujours pensé que cette virginité m’était réservée. Si je ne me retiens pas je vais l’arracher du con de Sophie et l’avoiner ce crétin. Mais je ne fais rien, Sophie jouie comme une folle, leur baise dure très longtemps, ma sour monte et descend le long de la tige qui la remplie, elle chevauche réellement Serge qui geint, la bouche grande ouverte. Pendant toute sa baise, ma sour n’a cessée de me fixer, elle veut que je participe, je suis sur, que dans son cinéma intérieur, c’est moi qui l’initie.Enfin (leur baisage dure vraiment trop à mon goût) son compagnon éjacule, en grimaçant, dans son ventre, déclenchant le énième orgasme de Sophie. Ils restent dans les bras l’un de l’autre en se murmurant des mots que je suis très énervé de ne pas entendre. Elle se soulève lentement, la pine luisante émerge entièrement, mon amour s’allonge et nous expose sa moule d’où s’écoule de longs fils gluants. Pas de doute (à mon grand regret) vu tout ce qui sort de son con, son amant lui a mis un très gros paquet de foutre.Les couples se reforment d’eux mêmes et c’est en frères et sours que nous nettoyons les traces de jouissances qui nous souillent. C’est excitant de goutter dans sa chérie les jus d’un autre. Nous bandons ferme (apanage de la jeunesse) et finissons l’après midi en couples incestueux. Pendant nos folles caresses, nous assistons à une furieuse baise entre Serge et sa sour. Il l’enfile, à une cadence folle, pendant très longtemps, en n’arrêtant pas de l’abreuvant d’insultes biens lubriques. Ils doivent aimer prendre leur plaisir ainsi car leurs jouissances durent, durent, durent, je ne pensais pas qu’on pouvait prendre son pied aussi longuement. Pour finir en apothéose il envoie de longues giclées sur la face se Cécile en criant son plaisir. Quel après midi de ouf...
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