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- Le VRP en lingerie -

Chapitre 1

Erotique
Nous roulons silencieusement vers notre destination. C’est elle qui conduit,  elle ne connaît pas l’adresse de notre rencontre, mais je la guide en lui indiquant les directions à prendre.
Elle suivait mes instructions sans rien dire et je la sentais un peu nerveuse.
Elle n’avait pas l’adresse, mais savait où nous allions.
Elle était, bien entendu, informée sur le jeu que nous avions prévu de faire et elle était partante et même enthousiaste, mais cela ne l’empêchait pas d’être inquiète.
Le jeu est assez simple : Tu joues le rôle du VRP en lingerie et elle celui de la cliente.
 Son appréhension augmenta quand je lui ai dit de se garer devant une petite maison de ville.
Heureusement, il n’y avait aucune voiture à proximité et pas de créneau à faire, car dans l’état de nervosité qui est le sien, mais aussi sa hantise pour cette manœuvre, elle aurait certainement été incapable de le faire.
 A peine ai-je sonné à la porte que celle-ci s’ouvre.
-    Bonjour, je présume que  c’est vous que j’attendais ?
Lances-tu au seuil de cette porte.  
Pas besoin de nous en dire plus, c’est bien toi, c’est bien nous… et nous voici enfin réuni tous les trois.
Tu m’avais envoyé par mail  une fiche au préalable pour te permettre de limiter les articles et surtout pour être certain d’en posséder à sa taille.
Nous nous étions mis d’accord qu’elle pourrait essayer les modèles qui lui plairaient et qu’elle pourrait en choisir deux ou trois parmi ceux qui lui iraient.

Tu nous invites à rentrer dans ton séjour. Une table et quelques chaises meublent la pièce. Il faut dire qu’en fait tu n’habites pas cette maison. C’est une demeure familiale que tu n’arrives pas à vendre pour des raisons sentimentales et non financières.
Je n’avais pas prévenu ma femme qu’un décor  quelque peu minimaliste se présenterait à nous. Elle fut donc assez surprise en découvrant la pièce.
 Sur la table, 3 flûtes et quelques mignardises nous attendent. Tu nous proposes de nous mettre à l’aise, nous enlevons nos manteaux.  
Elle porte une petite jupe en cuir gris et un chemisier assorti.
Ses jambes sont habillées de noirs et tu imagines je suppose qu’il s’agit de bas.
Elle est chaussée d’escarpins à talon haut qui affinent ses chevilles.
Je vois ton regard examiner tout cela et je me demande ce que tu en penses.
En prenant nos manteaux, tu nous proposes de nous asseoir et à peine sommes-nous installés que tu disparais sans rien dire.
Ma femme me regarde un peu inquiète et je vois bien qu’elle se demande ce qu’elle fait là.
Je ne sais comment la rassurer et j’ai peur que lui donner une explication ne fasse qu’accentuer sa crainte.
Je n’avais pas vu en entrant l’escalier qui est pourtant bien en vue. Sur la 3eme marche des sacs qui doivent certainement contenir les ensembles de lingeries fines que tu as l’intention de faire essayer à ma femme.
-    Je sais, la décoration  est un peu spartiate mais j’ai quand même un frigo et le champagne sera frais.
Commentes-tu en revenant une bouteille de Laurent Perrier à la main. Kathy, ma femme n’avais pas dit un mot depuis que nous étions dans ce séjour. Je commençais à me dire que c’était mal barré.
-    Vous aimez le champagne ?
Dis-tu en t’adressant à Kathy comme si tu avais compris ma crainte et voulais rompre son silence pour mieux ensuite briser la glace qui était en train de se former entre elle et nous.
-    Oui merci
Sa voix était hésitante et le ton pas vraiment assuré.
Les  flûtes remplies, tu nous donnes nos verres.
-    Aux belles créatures et surtout à celle qui est ici présente !
Trinques-tu en la regardant.
Un sourire sur son visage se dessina, mais sans être réellement franc.
Enfin, ne soyons pas exigeant, c’était  un premier pas, certes un petit pas, mais au moins elle faisait un petit effort pour paraître agréable.
Ce qui voulait dire que si elle n’était pour l’instant pas vraiment rassurée, elle ne pensait quand même pas être tombée dans un traquenard.
 Tu as commencé à lui poser quelques questions anodines, en évitant les allusions ou les sujets pouvant être mal interprétés, pour la mettre un peu à l’aise et petit à petit, elle s’est détendue.
Étant un peu moins crispée ; tu commences enfin  à aborder l’origine de la rencontre.
-    Nous discutons, nous discutons et cela est bien agréable…
Dis-tu en préambule pour ensuite compléter :
-    Votre mari m’a expliqué que vous aviez l’intention de renouveler votre garde-robe de lingerie fine, cela tombe bien car j’ai justement une nouvelle collection…
-    Et bien voyons cela…
Sa réponse fut jouée  à merveille, nous nous serions crû sans problème dans une boutique spécialisée.
-    J’ai préparé quelques modèles qui, je l’espère seront à votre goût.
Tu accompagnes tes paroles d’un geste en montrant l’escalier.
Sortant une feuille de ta poche tu commences  à lui lire le contenu de cette fiche que je t’avais envoyée.
-    … Taille : 1m58, 38 en petite culotte,… 95 bonnet D pour le soutien-gorge…
Tu énumères quelques chiffres en prenant un ton très professionnel.
 La lecture terminée, tu la questionnes à nouveau :
-    C’est votre mari qui m’a donné ces indications, sont-elles bien exactes ?-    Je pense, oui…
Répondit-elle encore un peu intimidée…
-    Et bien nous vérifierons cela le moment venu
Complètes-tu d’une intonation un peu professorale.
-    Mais avant tout, j’aimerais en savoir un peu plus sur ce que vous aimez porter ?
Tu ne lui laisses pas le temps de répondre à cette question …
-    Puis-je savoir ce que vous portez comme lingerie ? Quelle marque… ?-    Cela dépend-    Mais là, en ce moment ?-    Heu, là c’est un ensemble acheté en grande surface.
Fit-elle un peu gênée de ne pas avoir choisi une grande marque de lingerie pour l’occasion…
Je sors alors un appareil photo et te regarde pour avoir ton accord.
Cela n’est pas une surprise pour toi car je t’avais déjà dit lors de nos échanges de mail que je souhaitais ne pas être acteur mais simple spectateur et surtout photographe.  
Je t’avais dit que j’aimais immortaliser ces moments pour me permettre de les revivre quand je le voulais. Après t’avoir assuré que les clichés n’auraient qu’un usage personnel, tu m’avais permis de le faire…  c’est donc sans hésitation que d’un petit signe de tête tu me fis comprendre que je pouvais m’en servir.
-    Voyons un peu cela…
En lui faisant cette réponse d’un air un peu perplexe, tu t’avances face à elle et te penches très légèrement en essayant de voir dans l’échancrure de son chemisier.
Elle s’incline alors légèrement pour que naturellement cette échancrure s’élargisse un peu et offre une meilleure vision.
-    Vous permettez ?
En  prenant un ton très professionnel, tu avances  ta main vers le haut du chemisier et de deux doigts sur l’étoffe, tu écartes un peu pour mieux voir le soutien gorge.
-    Oui je vois, est-il confortable ?
Demandes-tu  en déboutonnant le premier bouton de son chemisier.
-    Oui ça va !
Répondit-elle sans chercher à contrecarrer ton intention.
Le deuxième bouton enlevée, tu écartes un peu les pans du chemisier et tu poses ta main sur le tissu qui protégeait son sein droit.
-    Oui, la matière est assez douce.
La conversation se veut  professionnelle et elle joue le jeu en n’ayant aucune réaction de repli sous tes gestes.
Ta main, encouragée par sa docilité, passe de l’étoffe à la peau nue du décolleté puis glissant un doigt sous le bonnet tu prends le textile entre tes doigts…
-    La peau est délicate et ne mérite pas qu’on le maltraite en portant n’importe quelle matière, mais votre choix n’a pas été mauvais.
En prononçant la phrase, tu abandonnes le lieu pour terminer le déboutonnage. Le chemisier maintenant complètement ouvert,  tu l’enlèves  en proposant de vérifier les mesures.
 Puis en prenant sa main, tu l’invites à se lever.
La voici maintenant debout face à toi en jupe et en soutien-gorge. La situation, sans paraître l’exciter ne semble pas lui déplaire pour autant.
Tu lui demandes de se retourner.
Sans rien dire elle s’exécute.
Tu dégrafes délicatement l’attache.
Ta main gauche glisse sur le coté pour maintenir les bonnets  du sous-vêtement.  
De l’autre main, tu fais tomber les bretelles puis toujours soutenant l’étoffe contre sa poitrine, tu lui fais comprendre de ta main libre de se retourner à nouveau…
Elle est maintenant face à toi, ses seins à peine cachés par le tissu de la lingerie que tu as maintenu contre sa poitrine.
Vous n’êtes qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.
Tes yeux abandonnent son torse pour venir se plonger dans son regard. Ta tête se rapproche doucement vers la sienne sans qu’elle ne bouge… comme hypnotisée par ce contact visuel.
 Tés lèvres effleurent les siennes.
Elle ne fuit pas l’approche et entrouvre même un peu sa bouche.
Le baiser ne fait plus de doute et vos langues dansent maintenant une fougueuse valse.
Ta main lâche l’étoffe pour agripper le sein  droit libéré… tu malaxes autant que tu caresses et le baiser dure sans perdre de sa vigueur.
Tu t’écartes finalement d’elle, pour admirer cette poitrine maintenant complètement offerte à la vue. Les tétons s’érigent fièrement… est-ce le froid ? L’excitation ?
Le silence s’installe quelques secondes… tes yeux ont laissé son regard et contemple sans aucune gêne  le spectacle offert.
-    Vérifions donc ces mesures !
Finis-tu par dire…
Tu te diriges lentement vers l’escalier et reviens vers nous avec un sac à la main.
Elle n’a pas dit un mot et t’a attendu patiemment et debout sans bouger d’un iota de l’endroit où tu l’avais laissé.
Tu poses le sac sur la table et en sors un mètre ruban.
Tu t’approches d’elle et commence à mesurer son tour de hanche.
Elle a légèrement écarté ses bras pour faciliter ton travail. Tu places ensuite le mètre autour de son bassin… tu regardes le résultat puis tu prends un petit air pensif.
-    Non, non, il me faut être précis dans mes mesures si je veux vous fournir la taille qui vous convient le mieux.
Tu poses alors le mètre sur la petite table, tu t’approches de Kathy qui se laisse manipuler avec la même docilité et le même silence.
Tu t’agenouilles devant elle et tu lui enlèves sa petite culotte.
Elle lève son pied droit, puis son pied gauche pour te permettre de l’enlever complétement. Tu te relèves doucement et portes celle-ci à ton nez pour la renifler.
-    Humm… agréable  odeur !
Toujours muette, elle laisse pourtant échapper un petit sourire en me jetant un petit coup d’œil. Elle semble me dire :
-    Vous êtes bien tous pareil !
Car elle sait que même si je ne fais pas régulièrement ce geste, humer ses petites culottes,  j’adore sentir son intimité.
Il me faut avouer que j’adore quand, pour se faire un peu coquine et provocatrice, elle me donne sa culotte qu’elle vient juste d’enlever et je ne me fais, alors, pas prier pour la porter sous mes narines.
J’aime tout autant, me glisser entre ces cuisses pour sentir l’odeur de son plaisir qui monte et je peux voir que tu as les mêmes goûts que moi… car la culotte toujours sous ton appendice olfactif, tu te remets à genoux face à elle.
Tu te résines finalement à poser le sous-vêtement à ses pieds, tes mains prennent ses fesses rondes, fermes et musclées et ta tête vient se frotter contre sa vulve épilée comme il se doit. Ton nez caresse ses lèvres intimes et cherches dirait-on à franchir ce passage qui s’humidifient doucement, excitées par cette tentative d’intrusion.
Elle ne montre aucun signe de fuite et sans vraiment t’encourager, je la vois quand même légèrement écarter les jambes pour te faciliter cette caresse.
-    Douce ivresse !
Tu t’enivres de son odeur et tu pourrais rester des heures à simplement inhaler le parfum de son désir qui se cache de moins en moins.
Quelques petits baisers en ce lieu chaud et humide comme pour la remercier de sa docilité puis tu te relèves et reprend ton mètre ruban pour mesurer hanche et tour de bassin.
Elle est nue face à toi, enfin, pour être exacte, il n’y a plus que bas et escarpins pour l’habiller.
-    Pour me permettre de trouver le modèle qui vous ira le mieux, celui où vous sera le plus confortable dans vos mouvements, il me faudrait voir comment vous vous déplacer.
En énonçant cela, tu t’écartes d’elle, pose le ruban et viens te positionner à côté de moi. Elle nous regarde, ne sachant quoi dire et surtout ne sachant quoi faire…
-    Faites quelques pas devant nous…
Commenças-tu à lui dire… mais tu continuas ta phrase d’un geste.
Elle te regarde, hésite puis finalement commença à marcher devant nous comme le ferait un mannequin dans un défilé de mode.
-    Splendide spectacle !
Ce commentaire s’adressait autant à toi-même qu’à moi. Ta main déboutonna ton pantalon et ton sexe se libéra presque tout seul de son emprisonnement.
-    On ne peut pas dire que tout cela te laisse indifférent !
Riais-je en lui montrant cette virilité bien fière qui s’échappait de ton pantalon.
Kathy s’arrêta et son regard se dirigea vers ce sexe qu’elle avait mis par sa seule présence en érection…
Sans dire un mot, tu te diriges vers la table, tu prends le mètre ruban.
-    Tenez, à votre tour de mesurer…
Surprise, elle me jette un regard, je lui souris.
Le mètre en main et la surprise passée, elle s’approche alors de toi et commence à mesurer ton pénis toujours aussi tendu.
-    Si vous voulez une mesure précise, il vous faut mieux la prendre…
Accompagnant le geste à la parole, tes mains prennent ses épaules et lui font comprendre de s’agenouiller devant toi.
Une petite hésitation, un petit regard en ma direction, la voilà finalement à genoux devant-toi le mètre ruban à la main. Elle le met le long de ta verge et consciencieusement elle vérifie le chiffre indiqué.
Tes mains silencieusement  prennent sa tête et la rapproche doucement de ton sexe.
J’attends avec intérêt de voir sa réaction, car je sais que la fellation n’a jamais été sa tasse de thé.
Elle me jette un coup d’œil tout en se demandant si elle doit accepter cette invitation à déguster ce qu’elle n’aime pas trop faire à l’ordinaire.
Mais voilà, nous ne sommes pas à « l’ordinaire ».
A-t-elle finalement envie de te goûter ?
Pense-t-elle qu’elle se doit de le faire pour me faire plaisir ?
Ou simplement que cela fait partie du jeu et qu’elle doit donc s’y soumettre ?
Je n’en sais rien, mais je la vois entrouvrir ses lèvres, les approcher de ton gland pour le couvrir timidement.      
Tes mains tiennent sa nuque sans vraiment la retenir, mais plutôt pour accompagner le mouvement qu’elle effectue sur ta hampe bien dressée. Elle s’applique et je peux voir que tu apprécies l’interlude entre les mensurations et l’essayage.
Mais, il ne faut pas aller trop vite et tu sais que le jeu doit encore continuer un peu avant de pouvoir libérer ton plaisir. Avant qu’il ne soit trop tard, tu décides de reprendre le scénario là où vous l’aviez laissé.
D’un geste tu lui fais comprendre de se relever.
Elle ne se fait pas prier et se retrouve face à toi les cheveux un peu défait.
Ton sexe ne semble pas du même avis que toi et il se tend vers elle l’air de lui dire de reprendre position pour lui offrir à nouveau un merveilleux accueil dans son palais.
Tu reprends un peu tes esprits.
-    Bon, ne nous dispersons pas !
Lances-tu autant à toi qu’à elle.
Un petit sourire illumine son visage. Elle semble se mettre de plus en plus dans l’ambiance et apprécier l’allure que prend cette rencontre.
-    Commençons par cet  ensemble noir et bleu, qu’en pensez-vous
Tu sors de ton sac un soutien-gorge en dentelle de Calais aux motifs plumes et fleurs.
-    Il est joli !
Te répondit-elle comme elle le ferait avec n’importe quel vendeur.
Un petit sourire sur ses lèvres fut le seul petit indice qui pourrait laisser penser que cette scène se veut coquine.
-    Bonnets à coques intégrées avec rembourrage progressif.
Tu continues ton boniment, digne des meilleurs commerciaux.
-    Cela pour un galbe parfait de la poitrine.
Tu t’approches d’elle et l’aides à l’essayer.
-    Les bretelles sont fines et amovibles d’un style collier à l’avant pour un décolleté sublimé
Lui dis-tu après l’avoir agrafé et d’un geste doux laissé trainer ta main sur la peau laissée nue de sa poitrine.
Puis, jouant des pendeloques et caressant l’étoffe réticulaire tu continues ton bagou de professionnel de la lingerie.
-    Dos en tulle extensible, bretelles brodées réglables et joli bijou guipure et pampilles à l’entre-bonnet.
Tu t’éloignes ensuite de Kathy pour sortir de ton sac un tanga et un shorty, tous les 2 assortis au soutien-gorge.
-    Lequel voulez-vous essayer ?-    Je ne sais pas…-    Et bien commençons par le shorty si vous le voulez bien ?-    D’accord.
Tu t’approches et te mets à genoux devant elle.
Elle lève une jambe légèrement et se maintient en équilibre en se tenant à ton épaule.
Le vêtement enfilé, tu le remontes doucement vers son bassin.
Ta main, la culotte mise, caresse un peu ses fesses.
-    Voilà un vêtement qui met bien en valeur votre popotin…
Tu te relèves et lui montre le miroir sur pied que nous n’avions pas encore remarqué.
Elle s’en approche et se regarde comme elle le ferait dans n’importe quelle cabine d’essayage.
Tu t’approches d’elle, une petite tape sur ses fesses avant de lui demander si elle veut voir ce que cela fait avec le Tanga ?
-    Pourquoi pas ?
Dit-elle en se tournant vers toi.
Tu t’agenouilles à nouveau et commence à enlever son Shorty.
Ta bouche ne peut se retenir de venir poser tes lèvres au niveau de son clitoris. Ta langue titille son abricot et ses jambes s’écartent légèrement.
La photo sera magnifique… ton baiser sur son sexe et son reflet dans la glace devrait en effet donner un effet magistral.
Tu reprends, tout en taquinant son petit bouton, la descente du shorty. Naturellement, presque par réflexe, elle lève un pied puis l’autre pour te permettre d’enlever complétement ce vêtement.
Tu te relèves et pars chercher le Tanga.
Elle reste sagement debout à t’attendre.
Tu reviens quelques instants plus tard et lui donne la nouvelle pièce à essayer puis, tu t’écartes pour la regarder faire.
Cette fois, elle s’habille toute seule et se regarde dans la glace…
-    Qu’en penses-tu que préfères-tu ?
Me dit-elle en marchant vers moi comme l’aurait fait un mannequin.
Arrivé à ma hauteur, je l’ai pris dans mes bras, je l’embrasse et glisse ma main dans sa culotte.
-    Humm, mais je n’ai pas essayé pour voir la sensation que cela ferait avec le shorty…
Sans dire un mot, elle a enlevé le Tanga, a remis le shorty et est revenue se blottir dans mes bras. Ma main fit la même visite…
-    Humm, difficile de choisir… c’est différent, mais à chaque fois très agréable.
-    Pas la peine de choisir, c’est le même prix pour les 2 !
Tu t’es approché de nous. Tu as attiré Kathy vers toi pour l’embrasser et ajouter entre 2 baisers :
-    Cadeau !
Tu lui enlevas ensuite ses sous-vêtements, tu les plias sur la table et pris deux petites nuisettes dans ton sac.
La première est d’ailleurs plutôt une « combinette » qu’une nuisette.
-    Sexy et ultra flatteuse, sous sa forme « gainante », elle galbera vos formes et affirmera vos courbes.
Tu vantais ton produit comme un vrai commerçant voulant vendre sa marchandise.
Elle l’essaya et je ne pouvais qu’être d’accord avec tes propos : Elle était hyper sexy dans cette tenue et ses formes bien mises en valeur.
L’autre vêtement était une vraie nuisette.
-    D’une matière extensible satinée et douce…
Tu continuais ton rôle de commercial avec zèle.
Elle essaya cette dernière qui lui allait, aussi, à merveille. Le haut était orné d’une broderie à motifs et au centre, nous pouvions y voir un joli nœud noir.  La broderie se retrouvait d’ailleurs sur les bords inférieurs de la nuisette.
-    Et pour donner la touche finale de cet ensemble…
Tu t’approches d’elle en clamant ce slogan que l’on aurait pu croire sortie de ces bonimenteurs de marché, un string à la main.
Tu t’agenouilles devant elle et devinant ton intention, elle lève son pied gauche, puis le droit pour te permettre d’enfiler ce petit morceau de tissus assorti à la nuisette.
Tu l’as ensuite à nouveau caressé et embrassé.
Tu as enlevé ses vêtements et tu as tout replié dans un sac pour lui offrir.
-    Voilà, pour vous !
Ce geste ne voulait pas indiquer que tu en avais marre et que tu te lassais du jeu, je pense que tu aurais aimé que cela continue, voire aille plus loin, mais je t’avais indiqué d’un petit signe qu’il était temps que cela se termine.
Cela n’était pas non plus une lassitude de ma part ou je ne sais quoi, mais simplement qu’il était temps pour nous de rentrer à la maison.
-    Merci !
Dit-elle sans trop savoir ce qu’elle devait faire.
Elle n’avait pas vu mon geste et était un peu surprise de ce geste de ta part… elle accompagna son geste d’un pas vers toi pour t’embrasser.
Tu l’as pris dans ses bras et vous avez échangé un long baiser.
Ta main curieuse et entreprenante se glissa entre ses cuisses et commença à la fouiller avec vigueur.
Elle ne chercha pas à fuir cette caresse et au contraire écarta un peu les jambes pour la faciliter.
Vous continuiez pendant ce temps à vous embrasser avec gourmandise.
Elle était nue et toi encore habillée… elle hésita et commença à déboutonner ta chemise quand son téléphone sonna.

 

 

 

 
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