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Wait... What?!

Chapitre 1

Hétéro
1) J’avais 16 ans. Ça fait 5 ans.

-Regarde ces étoiles-là! Celles qui, si tu les relies, ressemble à une casserole, dont le manche part vers la gauche.Cette constellation-là, c’est celle de la Grande Ourse.-Ahh, et c’est celle-là qu’il faut chercher pour trouver le nord?-Non, non, c’est la petite ourse, ça! Et elle se trouve juste au-dessus, là! Lui dis-je en en profitant pour rapprocher ma tête de la sienne et en pointant l’index vers le ciel.
Ça doit faire 30 minutes qu’on est couché l’un à coté de l’autre, contemplant les étoiles, profitant du temps estival. Et plus les minutes passent, plus j’ai envie de l’embrasser.La proximité de sa tete fait tourner la mienne!Nous continuons de parler de tout et de rien, sans nous préoccuper de l’heure qu’il est, profitant simplement du moment j’imagine.
Je parvins à passer mon bras derrière sa nuque quand tout à coup, une bise nous traverse tous deux. Je la sens frémir mais elle ne dit rien malgré tout. Par réflex, je m’assieds et retire mon pull pour lui tendre tandis qu’elle me sourit en guise de remerciement. La voir me sourire me convainc de l’attitude à adopté et quand elle passe enfin la tete à travers le trou du pull, je prends mon courage à deux mains et l’embrasse.Ce baisé passionné dure d’interminable seconde, un moment hors du temps, comme sur un petit nuage...-Je me demandais si tu allais te lancer à un moment! J’ai failli perdre patience, dit-elle d’un ton léger.Je souris et l’embrasse de façon fugace. Elle profite du répit que je lui laisse pour ajuster mon pull qu’elle a enfilé.-Sans rire, ça fait depuis le début de la soirée que je te regarde, j’ai bien cru que tu ne viendrais jamais me parler d’ailleurs, renchérit-elle.-Tout vient à point à qui sait attendre, dis-je en souriant.-J’en ai marre d’attendre!
Sur ces mots, elle se jette sur moi. Le mouvement me fait perdre l’équilibre mais j’amortis ma chute avec mes bras. Elle tombe sur moi et je sens ses seins sur mon torse tandis qu’elle m’embrasse.On reste de longues secondes ainsi, la langue de l’un fouré dans la bouche de l’autre. Dieu qu’elle embrasse bien!Elle est à présent à califourchon sur moi et j’en profite pour peloter ses fesses.
Elles n’étaient pas très fermes mais c’est celles-là que je préfère.J’ai toujours préféré les filles plus rondes, avec des formes. Et des formes, elle en a!Elle a de beaux gros seins, probablement rehaussé par un push-up.Nos baisers deviennent de plus en plus langoureux tandis que mes mains se baladent au gré de mes envies. J’en glisse une sous son top et remonte délicatement jusqu’à ses seins que je caresse.Elle ne reste cependant pas inactive puisqu’elle fait déjà des allers-retours sur ma braguette, faisant durcir ma bite de plus en plus.
Sentant que la situation commence à s’emballer, je calle sa tête entre mes mains, je la repousse légèrement et la regardent les yeux dans les yeux. C’est la première fois que je remarque leur couleur, ils sont noisette, magnifique.Puis je lui demande:-c’st ta première fois? Elle répond par la négative et me demande la réciproque. L’espace d’un instant je repense au conseil de ma meilleure amie "si une meuf te demande si c’est ta première fois, tu réponds non!"J’ai donc remué la tete pour faire non.J’empoigne mon pull par les côtés et commence à le retirer, emportant avec lui son petit top.
Pour la première fois de ma vie, je vois de vrais seins et ceux-ci sont magnifiques.Je lance immédiatement mes mains vers sa poitrine comme un chien se jetterait sur un os.Leur douceur m’excite encore plus, j’ai envie de lui arracher son soutif mais de peur du mal m’y prendre, je préfère lui demander:-tu veux retirer ça? Tu serais plus à l’aise!?Sans me donner de réponse, elle passe une main dans son dos et fait sauter son soutiens-gorge.Celui-ci libère ses deux superbes globes de chaire, je ne peux m’empêcher de les fixer.Je jette mon visage contre sa poitrine et saisi un de ses tétons avec ma bouche. Je joue avec, m’amuse à le pincer légèrement avec mes dents. Je l’entends soupirer de plaisir sous la pression de ma mâchoire, ce qui m’encourage à continuer. Je sens sa main dans mes cheveux, qui les ébouriffe.Puis elle quitte ma tete pour se diriger vers ma bite qui a atteint sa taille maximale. Sans même que je ne le remarque pas, elle avait déjà tiré ma braguette. Elle commence à me branler tandis que je continue à mordiller ses tétons. je passe mes mains dans ses cheveux, ils sont très soyeux, c’est agréable de passer ses doigts dedans.
Je passe ma main derrière son crâne et nous fais rouler sur le côté pour me retrouver au-dessus d’elle. Je commence à l’embrasser sur la bouche puis descend tout en continuant mes bisous. J’embrasse de nouveaux ses seins, puis continue ma descente, jusqu’à buter sur son jean.Je défais les boutons, écarte les pans de sa braguette pour découvrir sa culotte rose foncée.j’enlève son pantalon un peu précipitement, sans doute pressé par l’excitation. Une fois face à sa culotte, je l’embrasse, prends une grande inspiration et tire sur celle-ci. Le spectacle me coupe le souffle! Je découvre une ligne de poil qui semble m’indiquer le chemin du bonheur, que j’emprunte de la main sans hésiter.
Comme je m’approche de son con, je sens la chaleur et l’humidité typique du coin.Je glisse un doigt dans son trou, il rentre sans problème, je fais quelque aller-retour avant de décider d’en glisser un deuxième. je continue mais d’aller et venir de plus en plus fort quand j’entends:-c’est trop bon! Mets-en un 2ème...-Euhh, c’est déjà le cas, lui dis-je, mi-amusé mi-excité.-Un troisième alors!Sans me poser de questions, j’obéis à l’impérative. je reprends la cadence, d’abord lentement puis plus rapidement. Je sens sa mouille couler le long de mes doigts, je n’en peux plus, je suis raide comme un piquet.
Alors que je me demandais comment passer à l’étape suivante, elle me dit:-tu’as une capote?-Oui, dis-je, un peu gêné.Je la saisis et serre un côté avec mes dents mais elle me stoppe;; --Pas avec les dents! tu risques de la déchirer! Dit-elle coucher, sur ses coudes.Une fois enfilée, je dirige ma bite tendue vers son trou, bien ouvert à présent.La première sensation de ma bite dans sa chatte est exceptionnelle, je sens sa chaleur tout autour de mon attribut, c’est tellement bon!Je commence de lent aller-retour puis prend un bon rythme. Je ne peux m’empêcher de la regarder dans les yeux, elle fait de même. Nous sommes dans une sorte de communion, qui se rapproche de la transe. L’entendre soupirer sous mes coups de bite m’excite de plus en plus et sans m’en rendre compte, j’accélère la cadence. Elle soupire de plus en plus fort, à mesure que je continue d’accélérer.
Un cercle vicieux en somme.
Me sentant sur le point de jouir, je me retire puis l’embrasse. Le temps de reprendre mes esprits et me revoilà dans mon nid douillet. Cette fois je saisis ses cuisses que je pose sur mes épaules et commence à la pilonner, prenant mes appuis sur ses jambes.Plus je la baise, plus je vois ses seins bouger. C’est un spectacle des plus réjouissant!On est comme dans une bulle, on ne se soucie même pas de la soirée qui suit son cours juste à côté de nous. Au bout d’un certain moment, n’y tenant plus, je me lâche dans un soupir rauque. Tous mes muscles se crispent puis se relâche totalement, je m’affale sur sa poitrine.
Elle caresse mes cheveux, je lance mon regard vers le sien et je constate qu’elle est autant en sueur que moi. Une mèche de cheveux, que j’écarte, est collée sur son nez. Puis je l’embrasse langoureusement pour ensuite reposer ma tete sur ses tetes.Je reste ainsi quelques minutes, profitant de l’instant, de cette jolie fille sous moi.On entend soudain des bruits de pas et une musique en fond, dur retour à la réalité!On se réhabille en vitesse, se réajustant le mieux que l’ont peu dans le noir.On se dirige ensuite vers la soirée, bras dessus bras dessous.

Depuis ce jour, à la manière du renard qui voit le petit prince dans les champs de blé;dès lors que je lève les yeux vers un ciel étoilé, je repense à cette soirée...Et je bande.
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