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Waouh ...

Chapitre 1

Erotique
Waouh... Depuis près de 10 minutes, allongée sur ce lit, j’ai un sourire qui ne se décroche pas de mon visage. Je suis sur un petit nuage et je n’arrive pas à atterrir !Je viens de faire l’amour pendant près d’une heure avec cet homme. Et je prends conscience de ce que cela veut dire lorsqu’un homme « vous fait grimper aux rideaux », je me suis accrochée à tout ce qui était à ma portée en fonction des positions, les draps, les oreillers, ses hanches, ses fesses...
Comment est-ce possible, comment moi habituellement si « sage » lorsque je fais l’amour, je me suis surprise à parler crûment, gémir, crier, réclamer encore et encore comme jamais ? Et jouir, mon Dieu, jouir ! Je ne sais même pas combien de fois cet homme m’a fait jouir, avec ses doigts, sa main, sa bouche, sa langue, son sexe, tous mes orifices ont été caressés, pénétrés doucement, brutalement et tous m’ont procuré un plaisir immense. Moi qui avais eu une seule et unique expérience de la sodomie, et qui s’était traduit plus par une tentative qu’une vraie expérience.Là, je n’ai pas compris ce qui se passait. Mon corps n’était qu’un accueil à toutes les pénétrations, à tous les plaisirs, de toutes les manières. Mon Dieu, que j’ai joui lorsqu’il m’a pris par derrière, j’en voulais encore et encore, toujours plus, toujours plus fort, j’en ai presque honte (même pas presque, j’en ai honte quand j’y pense).
Sa façon de me faire l’amour, tantôt avec une extrême douceur, puis de façon si animale presque brutale, m’a complètement fait chavirer. J’en ai perdu toute notion pendant près d’une heure. Et puis, après m’avoir fait jouir comme jamais, remplie de reconnaissance vers mon bienfaiteur, je voulais lui rendre le centuple de ce qu’il m’avait offert, pour cela, je me suis comportée comme jamais.
Je l’ai sucé, comme je n’avais sucé un homme, comme jamais j’avais sucé une queue, j’étais comme une assoiffée, assoiffée de son jus, je voulais le pomper jusqu’à la dernière goutte, ce que je fis avec une délectation sans nom. Je l’ai branlé, sucé, aspiré, caressé, avalé jusqu’à la garde, puis quand sa queue s’est mise à palpiter, avant d’exploser dans ma bouche, j’ai ressenti une immense satisfaction, une fierté de l’entendre jouir si fort, j’ai avalé tout son sperme jusqu’à la dernière goutte, puis je me suis attardé à lui nettoyer sa queue encore dure pendant de longues minutes...
Je n’avais jamais avalé, jamais vraiment été prise par-derrière, jamais joui autant de fois avec mes précédents partenaires, et jamais je ne m’étais senti aussi femme.
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