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Webcam

Chapitre 1

Erotique

Bonjour à toutes et à tous, je vous présente ma nouvelle histoire WEBCAM ! J’espère qu’elle va vous plaire et n’oubliez pas de laisser des commentaires : toutes suggestions seront bienvenues. Cette histoire aura plusieurs chapitres. Bonne lecture !

Telle une gelée couleur chair, ses fesses rebondies se dandinent devant mes yeux. Je meurs d’envie de les empoigner pour les caresser, mais je peux seulement toucher la surface de l’écran.
Elle se relève et s’assoit sur le lit, les jambes écartées. Sa main caresse sensuellement son pubis, puis enfonce ses doigts dans son sexe. Ils se perdent dans sa grotte, et farfouillent dedans comme pour trouver un trésor.
La femme sort ses doigts de sa chatte, trempés, à présent, de son jus. Dans mon imagination, ma langue vient la lécher avidement, la boire jusqu’à la dernière goutte. Malheureusement, je sais que cela ne sera jamais possible.
Maintenant, elle porte ses doigts à sa bouche, et les suce un à un. Elle lance à la caméra un regard langoureux, puis ses lèvres bougent. Elle a l’air de dire quelque chose, sans doute "que c’est bon" en faisant allusion à son jus. J’ai envie de savoir, mais je ne peux pas mettre le son, ayant peur de réveiller ma fille et mon mari, même s’ils sont en train de dormir paisiblement dans leurs chambres respectives.
La jeune femme se lève et se met debout, les épaules en arrière pour bien exhiber son buste, caché sous son petit chemisier moulant. Les deux premiers boutons ne sont pas attachés et laissent entrevoir le début de deux sphères bien fermes. Elle reste comme ça, sans bouger. Je savoure cette image délicieusement sensuelle et ma main s’aventure vers mon sexe, mouillant mon tanga.
L’image laisse place à un message : « SexyCatherine » n’est plus en ligne.
Mince !!!!! J’aurais aimé que cela dure plus longtemps.
Je ferme la fenêtre Internet de mon ordinateur et je me lève. Je sors de la pièce et je regagne ma chambre, où mon mari dort profondément.
Mon réveil affiche 1:56. Je bâille longuement et je me couche. Je m’endors immédiatement et je rêve d’une belle femme blonde qui se doigte devant mes yeux.
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Moi, c’est Caroline. J’ai 46 ans et je suis mariée à Georges, 48 ans. Je suis plutôt sportive, cependant, mes formes généreuses commencent à perdre de leur splendeur. J’ai des cheveux bruns jusqu’aux épaules et de jolis yeux verts et pétillants. Mon visage est en forme de cœur, j’ai de longues jambes aux magnifiques courbes, je fais un mètre soixante-dix-neuf, et je suis plutôt svelte.
Quasiment chaque nuit, lorsque mon mari et ma fille Agnès, 19 ans, dorment, je vais dans le bureau pour surfer sur Internet. Je regarde des webcams très chaudes. Mon modèle préféré, dont le pseudo est SexyCatherine, me prodigue beaucoup de plaisir, d’autres aussi m’excitent.
Je vais sur le Net pour une raison simple : avec Georges, bien que l’on s’aime toujours passionnément, j’ai l’impression que les « parties de jambes en l’air » se raréfient, depuis quelques années. C’est bien dommage, car je ressens ce manque atrocement, mais je vis avec.
—--
J’ouvre paresseusement mes paupières, mais je les referme aussitôt, car la lumière du soleil m’éblouit. J’ai bien dormi. Il est déjà neuf heures passées. Je tâte le lit, mais au lieu du corps de mon mari, je ne trouve que le matelas et la couette.
Il est sans doute dans la cuisine, en train de préparer le petit-déjeuner. Justement, le voilà qui entre dans la chambre.
— Ah tiens, tu t’es réveillée, ma chérie ? J’ai fait des crêpes ce matin.— Je viens, mon amour. Laisse-moi juste cinq minutes.— Pas de problème.
Il repart et je me hisse péniblement hors du lit. Je suis en nuisette, et en ce matin d’automne, il ne fait pas très chaud. J’enfile mon peignoir et je vais dans la salle de bain pour me débarbouiller un peu. Crème hydratante, eau nettoyante, lingettes de coton pur, je prends soin de ma peau, particulièrement de mon visage.
Je me dirige vers la cuisine et je m’assois à ma place habituelle.
— Salut Maman, t’as bien dormi ? me demande ma fille.— Oh oui, comme d’habitude, tu sais. Au fait, toi, tu n’as pas ton petit boulot à la boulangerie au coin de la rue ?— Non, je commence demain, et ne t’inquiète pas pour moi, je vais m’en sortir très bien.— Dis donc, tu as de la confiance en toi, ma puce ! C’est bien ! s’exclame mon mari.
Je souris et j’attrape le pot de pâte à tartiner pour garnir ma crêpe. Lorsque je croque dedans, la pâte chocolatée fond dans ma bouche, et tel un enfant mangeant un bonbon, je me réjouis de ce goût sucré.
—--
Il est dix heures et demie. Comme tous les jours ou presque, je m’habille pour aller au bureau : tailleur pantalon gris, chemisier blanc, talons hauts. Je prends ma serviette en cuir et je marche jusqu’à l’immeuble où je travaille.
Je suis manager de marketing pour une marque de bijoux, et mes collègues sont habitués au luxe. Quand l’ascenseur ouvre ses portes au quatrième étage, j’en sors et, dans le couloir, je croise une collègue très proche. Florence.
— Coucou Caro, dit-elle, joyeuse.— Salut Flo !— La réunion a été retardée, elle aura lieu cet après-midi à quinze heures. — Sans blague ? Bon ben, j’ai le reste de la matinée pour répondre à ma tonne quotidienne de mails, je lance en rigolant. À tout à l’heure, alors ?— Non, non, je descends juste pour me prendre un chocolat chaud dans la rue. Je remonte dans cinq minutes et on pourra se mettre sur la grande table pour nos mails, il n’y a presque personne au bureau donc elle n’est pas occupée.— OK, ça me va.
Florence entre dans l’ascenseur et je vais d’abord à mon casier pour prendre mon ordinateur de travail. Puis, je m’installe à la grande table utilisée pour les travaux de groupe.
En allumant mon écran, je constate par les notifications que quelques mails "indésirables" ont étés envoyés durant les derniers jours. J’ouvre ma boîte aux lettres, je clique sur l’onglet et je vois trois e-mails. Je passe en revue les titres pour voir si ce n’est pas quelque chose d’important qui a été classé dans les indésirables.
— Réduction 10% ! Venez voir...
Non, même pas la peine de vérifier.
— Nous avons bien reçu v...
Aucune idée de ce que cela pourrait être, sans doute une confirmation d’envoi de quelque chose.
Quant au troisième, il me saute aux yeux et m’intéresse beaucoup plus...
— En manque de sexe ? Trouvez des compagn...
Je jette un rapide coup d’œil à gauche, à droite, et j’ouvre. Voici ce que je vois :
(Note : ce ne sont pas de vraies adresses e-mails)
De : photoschaudes-videossexys @ siteweb. fr
À : caroline. b @ luxobijoutier. fr
Objet : En manque de sexe ? Trouvez des compagnons chauds sur PCVS gratuitement grâce à notre nouvelle fonction !
« Bonjour Guest6969,
Nous avons l’honneur de vous annoncer que notre site PCVS (PhotosChaudesVidéosSexys) a inauguré une toute nouvelle fonction, le sexting date !
Cliquez sur l’onglet "sexting date" de la page d’accueil puis vous pourrez trouver plus d’un millier de personnes avec qui vous pouvez discuter de sexe sans tabous, et bien sûr prendre contact et se rencontrer !
Venez vite tester cette nouvelle fonction !
Cordialement,
L’équipe de PCVS »Quelle bonne nouvelle, tiens ! J’avais oublié que mon compte était configuré avec l’adresse e-mail de mon travail, pour éviter que mon mari tombe sur les mails fréquents du site sur l’ordinateur familial.
Bon, je vois Florence qui revient dans le couloir, alors je m’empresse de fermer la page, puis je vide ma corbeille mail. Ma collègue s’assoit en face de moi et pose son chocolat chaud sur la table.
— Re-bonjour. Je passe à mon casier pour prendre mon ordi et je reviens.— OK.
Elle repart et je commence à travailler. Manager marketing, ce n’est pas un métier tranquille. Des tonnes d’e-mails vous tombent sur la tête chaque jour. En plus, cette histoire de sexting date m’a drôlement excitée et je brûle d’envie de l’essayer. Qui sait, je pourrais peut-être trouver un bon mec, s’arranger pour se retrouver et prendre du plaisir ?
Pourtant, ce n’est pas ma personnalité. J’adore mon mari plus que tout, mais cette fois je sens que j’ai besoin de remplir mon manque de sexe. Après tout, comment pourrait-il savoir ?
Je recommence à répondre à mes nombreux courriers. J’y passe probablement trois quarts d’heure, sans même remarquer que Flo était revenue à sa place, en face de moi. D’ailleurs, je sens sa main qui me touche :
— Hé, Caro ? T’es dans la lune ?— Heu oui quoi ? je bafouille.— C’est l’heure de manger. Ça te dit le petit restau italien en bas de l’immeuble ?— Ah oui, bonne idée. Je t’invite.— Non, ne t’inquiète pas, je vais payer pour nous !— Mais non, arrête tes bêtises, je vais payer.
Nous éclatons de rire et nous décidons que nous allons chacune payer pour son repas. Nous enfilons nos manteaux. En attendant l’ascenseur, Florence me dit qu’elle va descendre par l’escalier, histoire de faire quand même un peu de sport. Je lui réponds que j’ai la flemme, alors je vais descendre par l’ascenseur.
J’attends une minute avant que les portes ne s’ouvrent. Un jeune homme en sort, c’est Thomas, il travaille avec nous, mais je ne le connais pas vraiment. Nous échangeons un bref "bonjour" et je me glisse dans l’ascenseur avant que les portes ne se referment.
Arrivée en bas, Florence m’attend. C’est une très belle femme. Aujourd’hui, elle porte un chemisier bleu, une veste noire, et un pantalon cigarette vert foncé. Son blouson de cuir marron beige, en guise de manteau, fait ressortir la pâleur de sa peau. Ses yeux sont foncés, comme de petits puits où l’on n’aperçoit pas le fond. Elle a de longs doigts agiles et son corps fin est celui d’une sylphide. Ses cheveux sont assez longs : ils tombent dans le bas de son dos en une cascade brune. Ses traits de visages sont réguliers, minces et précis, comme une sculpture qui aurait pris cent ans à perfectionner au millimètre près.
Nous nous dirigeons vers le restaurant et nous nous installons à notre table. Spaghettis pour elle et soupe pour moi, puis, pour finir, un tiramisu pour deux. Le temps passe vite, et nous devons retourner au bureau. En effet, il est déjà une heure moins dix.
Lorsque j’ouvre mon ordinateur, je ne résiste plus : je vérifie discrètement que Florence, assise en face de moi, ne peut pas voir ce que je fais et j’ouvre le site web PCVS pour essayer la nouvelle fonction. Hop, clic sur "sexting date" et me voilà sur une page avec de nombreux profils. Je survole un peu tous les pseudos et photos de profil, quand, enfin, l’un d’entre eux attire mon attention.
Il s’agit de "G_enviedebaiser" avec une photo de pénis démesuré. Cela semble pervers, mais excitant tout de même, alors je clique dessus pour ouvrir la présentation du membre. La page qui s’ouvre est parsemée de photos de sexes masculins en érection, avec à chaque fois le descriptif "Voici dans quel état je vous attends, mesdames."
Mon bas-ventre commence à chauffer en regardant ces photos et je trouve incroyable le fait que personne ne me remarque, alors que je regarde des photos comme celles-ci au boulot. Mais bon, je devrais quand même faire attention que personne ne me voit.
Je dis, mine de rien :
— Ah mince, je suis désolée. Je dois faire une réunion vite fait. Je vais dans une des salles, OK ?— Pas de soucis Caroline. Tu fais ce que tu veux.— OK, bon j’y vais.
Je m’éloigne avec mes affaires pour m’installer dans une des salles de réunions, pouvant être utilisées librement, si elles ne sont pas occupées. G_enviedebaiser, me voici ! Sur sa page de présentation, le membre explique que c’est un homme, qu’il a 37 ans et qu’il vit dans la même ville que moi. Quelle coïncidence !
Je clique sur "sexting date avec G_enviedebaiser" et une page ressemblante à une messagerie s’ouvre. Je commence par lui envoyer le message :
[SMS, G_enviedebaiser, Vous]
— Salut, j’habite dans la même ville que toi. On pourrait peut-être se contacter ?
Et voilà. Direct, mais simple. Pas encore très sexy, mais bon, on verra comment ça se passe. C’est alors que je vois un message de sa part qui ne me laisse pas indifférente...
À suivre...
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