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Un week-end alpestre

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Au cours de nos vacances à Ste Anne, ayant confié la garde des enfants à Marie et Fred, nous partons, accompagnés de Patricia, rejoindre Luc qui garde son troupeau en altitude. Nous arrivons au niveau de la cabane où il passe l’été en compagnie de ses bêtes. Nous entrons dans le buron, mais ne voyons pas de trace de lui. Après avoir installés nos affaires nous partons à sa recherche. En remontant dans le vallon du chevalier nous l’apercevons à un peu moins de 500 mètres. Nous apercevant il se lève et nous fait un signe de la main. La journée est splendide et s’annonce sous de bons auspices. Après avoir discuté un bon moment, les filles repartent vers la cabane afin de préparer le repas, tandis que je reste avec Luc, en compagnie du troupeau. Lui demandant s’il ne s’ennuie pas trop, il fait un peu la moue en me disant que la solitude est vraiment pesante lorsque la nuit arrive et que les moutons ont été parqués et ne nécessitent plus une attention permanente. Comprenant ce qu’il m’explique à demi mots, je lance une plaisanterie sur la gentillesse et la passivité des brebis, et nous éclatons tous les deux de rire. Il m’interroge sur notre nouvelle vie à Clermont et me dit combien ils ont été tristes de notre départ. — « Je ne suis pas sûr de te manquer autant que Barbara. » dis-je sans aucune animosité.— « Pourquoi dis tu ça ? – dit il, apparemment surprit – Je ne vois vraiment pas pourquoi. »— « Peut être parce que tu as toujours aimé serrer Barbara de près, et ce, en toute circonstance. »— « Je n’en ai pas l’impression. Je suis étonné que tu penses cela. »— « Je n’ai pas dis que j’en étais jaloux, seulement amusé. D’ailleurs c’est Bab qui m’en avait parlé. »— « C’est vrai ? Mais pourquoi ne me l’a-t-elle pas dit, si ça la gênait, j’aurais fait attention. Je fais ça avec toutes les nanas que j’aime bien. »— « Sûrement parce que ça ne la dérangeait pas plus que ça. Elle t’aime bien tu sais, et tu n’es pas franchement désagréable. » dis je amusé.— « Mais toi, tu étais jaloux ? »— « Bien sûr que non, mais moi tu sais, Barbara te le dirais mieux que moi, j’ai toujours eu des idées bizarres. Surtout à son sujet. »— « Que veux-tu dire ? »— « Ne le répètes pas, hein ? Et bien j’ai toujours rêvé de coucher avec Barbara avec un autre homme. »— « C’est vrai que c’est bizarre. Moi aussi j’ai des envies de trio, mais je me verrais plutôt avec deux femmes. »— « Chacun son truc ! Moi, c’est deux mecs pour ma petite femme. »— « Remarques, nos deux fantasmes sont assez complémentaires. »— « C’est vrai, tu serais comblé par les deux femmes et nous serions deux hommes pour satisfaire Bab et Patricia. »— « J’ai un peu de mal à imaginer ça quand même. »— « Moi, l’imaginer n’est pas le problème, c’est plutôt le faire accepter à nos tendres moitiés. Quoique je sais que c’est un fantasme de Barbara. Mais, de la à passer aux actes…. »— « Ouais, ça ne serait pas du gâteau, et moi, avec Patricia, je ne pense pas que cela soit beaucoup plus facile. »— « Il faudrait peut être les amener à l’envisager elles même, plutôt que d’essayer de les convaincre ? »— « Je suis assez d’accord, mais je ne vois pas comment. Tu as une idée ? »— « Non, mais je suis sûr qu’on va trouver ! »— « Nous avons deux jours, et même si cela peut être court, essayons. »Nous plongeons dans nos pensées, essayant dans notre tête, tous les stratagèmes possibles et imaginables. Lorsqu’elles nous font signe qu’il est l’heure de manger, nous sommes toujours à court d’idées. Nous rejoignons le buron et trouvons la table montée devant la porte. Les deux femmes ont troqué leurs pantalons et sweater du matin, contre des shorts et des débardeurs. Nous prenons place autour de la table et elles nous offrent une bière. L’ambiance est très détendue et festive. Les filles boivent elles aussi l’apéritif et elles en sont déjà à leur troisième porto lorsque nous entamons notre deuxième bière. Lorsque nous commençons à manger, les filles n’arrêtent pas de rire du fait de leur consommation étrangement exagérée d’alcool. Nous dévorons les plats avec un bel appétit et lorsque nous terminons le repas nous sommes tous repues. Tandis que les filles mettent le peu de vaisselle à tremper, Luc s’occupe de faire du café. Tandis que Luc me sert un café, les filles ayant décliné l’offre, Barbara annonce qu’elle va faire une petite sieste et en profiter pour se faire bronzer. Ayant étendue sa serviette par terre, elle retire son short et son débardeur et s’allonge dessus. Elle est vêtue d’un joli maillot deux pièces de couleurs fluos. Patricia l’imite et ayant terminé notre café, nous repartons rejoindre le troupeau. Arrivé sur place, Luc me propose de commencer par faire une petite sieste d’une heure puis de monter l’enclos électrique pour la nuit. Nous installant dans l’herbe, nous somnolons un peu, sans toutefois parvenir à nous endormir. Au bout d’une demi-heure, nous prenons le parti de nous lever et de monter l’enclos. Il nous faut près d’une heure pour en voir la fin et alors qu’il n’est que 15 heures, Luc décide de retourner à la cabane afin de profiter un peu de notre week-end et surtout nous laver de la transpiration créée par le travail que nous venons d’effectuer. Ayant pris mon appareil photo, je lui demande à ce que nous passions par les hauteurs au-dessus de la cabane afin d’immortaliser ces deux jours. Nous prenons donc la pente à notre droite et arrivons bientôt à 100 mètres au-dessus du chalet.
Sortant l’appareil de mon sac, je fais la mise au point du zoom, et quelle n’est pas ma surprise lorsque je m’aperçois que nos deux dulcinées sont en pleine séance de bronzage intégral. Je le signale à Luc qui sort sa paire de jumelles de sa besace et les braque sur la scène. Je suis heureux d’avoir un zoom efficace et le grossissement 12 me permet de bien cadrer les deux nymphettes. Patricia est allongée sur le ventre, tandis que Bab nous dévoile sa poitrine et sa toison rasée. Nous nous allongeons par terre afin de mieux profiter du spectacle et aussi afin de ne pas trahir notre présence. Grand bien nous en prend, car Bab se redresse sur les avants bras et scrute les alentours, portant aussi son regard sur notre position. En défilement de crête, nous sommes invisible à sa vue, mais continuons à nous rincer l’œil. Tournant la tête vers son amie qui ne bouge pas, sans doute endormie, elle porte une de ses mains vers son entrejambe et caresse un instant sa toison. S’allongeant de nouveau, elle écarte un peu plus ses cuisses et entreprend, maintenant franchement, de se donner du plaisir. Nous ne parvenons pas à retirer notre œil de l’objectif fixé sur elle, quand soudain, elle s’arrête et tourne la tête vers Patricia. Reportant notre attention sur cette dernière, nous voyons qu’elle est en train d’observer Barbara. Elles parlent un court instant sans qu’il nous soit possible de saisir le sens de leur conversation. Patricia se retourne, et calquant son attitude sur celle de mon épouse, écarte les cuisses et y porte sa main. La tête tournée l’une vers l’autre elles entreprennent de se masturber, s’excitant de l’image de l’autre. Nous sommes aux anges et terriblement excités nous aussi, et tandis que Luc à toujours les oculaires collés aux yeux, je mitraille les deux femmes, remerciant le ciel de la capacité de ma carte mémoire. Nos restons en place jusqu’à ce qu’elles parviennent au bout de leur plaisir, puis nous faisons demi tour afin de revenir par l’endroit par où elles nous attendent et ainsi, ne pas les surprendre et leur laisser le temps de se retourner. Alors que nous approchons, nous parlons assez fort de manière à ce qu’elles nous entendent de loin et lorsque nous sommes en vue, nous observons qu’elles sont de nouveau vêtues de leurs maillots de bain. Elles sont un peu surprises que nous revenions relativement tôt, mais nous leur expliquons que c’est pour que nous soyons un peu plus ensemble ses deux jours. Nous leur disons aussi que nous sommes venus nous laver et que nous allons faire chauffer un peu d’eau, ce qu’elles se proposent à faire à notre place. Nous acceptons et tandis que Bab nous apporte une bière, Patricia met l’eau à chauffer. Je retire mon tee-shirt trempé de transpiration et le pose à côté de ma chaise. Barbara vient se mettre debout près de moi et tandis que nous parlons avec Luc et qu’elle a posé une main sur mon épaule, je caresse son dos, descendant dangereusement vers sa croupe attirante. Alors qu’elle disserte avec Luc du bonheur de vivre en montagne avec les bêtes et le contact permanent de la nature, ma main s’enhardit et après ses fesses, elle s’insinue entre ses cuisses et se pose sur son sexe, à travers le tissu soyeux de son maillot.— « Michel !!! T’es pas bien non ?!!! » — « Quoi ? J’ai bien le droit de te caresser le dos, non ? » m’insurgeais je.— « Le dos, pas de problème, mais là, je crois bon de te signaler que tu t’es égaré. »— « Ah oui, c’est vrai. Excuses moi – dis-je sans retirer ma main – Mais dis moi, on dirait que tu as beaucoup transpiré. Je me trompe ou pas ? »Passant son bras derrière son dos, elle saisit mon bras et tire dessus de manière à retirer ma main. Celle-ci abandonne à regret la moiteur de son emplacement et revient prendre place à la limite du bas de son dos. Patricia annonce que l’eau bout et Luc se lève et entre dans la cabane. Il m’appelle afin que je l’aide à partager l’eau dans les deux douches de vacances. Je tiens les outres tandis qu’il y verse l’eau chaude puis complète par deux tiers d’eau froide. Nous bouchons les deux sacs étanches et je le suis derrière la cabane où nous accrochons les deux douches à des pitons plantés dans une poutre du toit. Retournant dans la cabane nous y prenons, savon, serviettes et linge de rechange. Retournant derrière, nous nous déshabillons et passons chacun sous sa douche. Nous ouvrons l’eau juste le temps de mouiller nos corps afin de l’économiser. Nous savonnons vigoureusement nos visages et nos corps, et alors que du savon plein les yeux nous cherchons à tâtons la cordelette de la douche, nous entendons :— « Souriez !!! » suivit du rire de nos deux épouses.Rinçant rapidement nos visages, nous découvrons en ouvrant les yeux les deux femmes pliées en deux, tandis que Barbara prend des photos en rafales. Nullement gênés, nous prenons des poses, nous exhibant sous toutes les coutures.— « Ne prenez pas toute l’eau les garçons, nous espérons bien nous aussi goûter aux joies d’une bonne douche. » dit Patricia.— « Remets tout de même de l’eau à chauffer. » lâche Luc.— « C’est déjà fait gros malin. » répond son épouse.Nous continuons à prendre notre douche, nous activant afin de ne pas trop gaspiller d’eau. Les filles partent chercher le faitout et reviennent quelques instants plus tard en portant avec difficulté le récipient fumant. Coupant la douche, nous dépendons de leurs attaches les deux sacs à douche et les remplissons avec l’eau chaude, avant que les filles nous passent les jerricans d’eau froide. Une fois le transfert terminé nous raccrochons les deux sacs sous le toit. Nouant nos serviettes autour de nos reins, nous repartons devant la cabane, laissant les filles à une intimité toute relative. A peine trente secondes plus tard, et alors que nous entendons les filles rirent, je saisis une chaise et l’appareil photo et fais signe à Luc de me suivre. Prenant lui aussi une chaise il me suit en direction de nos deux pin-up. Elles ne sont même pas surprises de nous voir là et n’objectent absolument pas sur l’opportunité de notre présence. Levant l’appareil, je commence à les prendre en photo sous toutes les coutures. Elles posent pour l’objectif, prenant des poses lascives et provocantes. — « Serrez-vous un peu – dis Luc – que vous soyez sur la même photo. »— « Oui, il a raison, collez vous un peu. – ajoutais-je – comme si vous étiez très…intimes, enfin vous me comprenez ! »— « Oui on comprend, - répond Bab – comme des lesbiennes, c’est ça ? Un vieux fantasme masculin si je ne me trompe pas, hein ? »— « Un truc comme ça oui – complétais je avant d’ajouter – mais vous n’avez pas besoin de…le faire réellement. »— « Monsieur est trop bon ! » lâche Patricia.— « C’est ce que je me dis aussi. » reprend Luc.Jouant le jeu, elles s’enlacent, se passant les bras autour des hanches et se faisant un bisou sur la bouche. Barbara passe derrière Pat, prend ses seins dans ses mains en coupe et mime un baiser dans le cou, puis, entraînant son amie, elle tourne vers nous afin de nous faire face. Une main restant sur la poitrine de sa copine, l’autre descend sur son ventre et s’arrête sur la toison brune de Patricia. Celle-ci écarte un peu plus les cuisses afin de suggérer l’abandon. En profitant, Barbara insinue ses doigts dans la fente de sa partenaire, mais nous comprenons que le jeu est en train de déraper car elle ne s’immobilise pas pour la photo. Au contraire, elle caresse maintenant réellement son amie qui en réponse à ces caresses, envoie sa main derrière son dos et va rendre la pareille à Bab. Me tournant vers Luc, je vois que celui-ci c’est débarrassé de sa serviette et qu’il tient son sexe dressé entre ses doigts. Je bande aussi, mais bénéficie toujours de la protection relative de la serviette. Il croise mon regard, et je lui fais signe de se joindre à nos femmes. Il n’hésite pas, d’autant qu’elles ont suivis des yeux notre échange muet mais expressif et semblent attendre cette initiative. Luc s’avance vers elle et se plante devant elles. Me mettant de travers pour pouvoir saisir les différentes scènes, je vois Patricia poser sa main libre sur la bite de son mari, puis l’enlever, prendre le poignet de la main de Bab posée sur sa poitrine et la guider sur le pieu de son époux. Les deux femmes tiennent maintenant Luc dans leurs mains. Ce dernier les sépare, et les prend contre lui, chacune d’elles posant une joue sur sa poitrine. Les mains sur les postérieurs respectifs des deux femmes, il semble s’abandonner à la caresse de ses deux maîtresses. Il se penche vers Patricia et l’embrasse, mais Barbara, ne voulant pas rester en arrière, relève son visage vers lui dès qu’ils cessent leur baiser et lui offre à son tour ses lèvres. Je sens dans le baiser de Luc toute satisfaction de voir enfin un de ses rêves en train de se dérouler. Ses doigts s’insinuent entre les fesses de Barbara et vont chercher l’humidité de son sexe. Alors qu’ils s’embrassent toujours, Patricia s’agenouille devant son mari et prend son sexe dans la bouche. Dès qu’elle met fin au baiser, Barbara se penche aussi et fait comprendre à Patricia qu’elle voudrait bien sa part. Bonne copine, Pat lâche prise et je vois mon épouse avaler littéralement le membre tendu de mon ami. Se tournant vers moi, Pat me fait signe d’approcher avec un grand sourire. Je m’exécute et sitôt devant elle, elle arrache ma serviette, prend mon sexe dans la main et sans lâcher mon regard, lèche le gland violacé de ma bite. N’ayant pas posé mon appareil je la mitraille tandis qu’elle me suce. Elle joue avec l’objectif, glisse mon sexe entre ses seins qu’elle ressert autour, dans une merveilleuse branlette espagnole. Imprimant un mouvement de va et vient entre ses seins, je suis ravi de la voir me prodiguer des coups de langue chaque fois que j’arrive au sommet de mon mouvement. M’abandonnant à sa dextérité, je braque mon appareil sur Luc et Barbara. Une main sur les fesses de Luc et l’autre tenant ses couilles gonflées qu’elle masse, mon épouse met toute sa science dans la fellation qu’elle prodigue à notre ami. Relevant Patricia, je la retourne contre le mur et lui faire prendre appui. Faisant reculer ses jambes que j’écarte, je relève celle de gauche, et, la soutenant ainsi, colle mon sexe contre le sien. Sentant qu’elle est totalement offerte, je pousse d’un léger coup de reins et me plante en elle, lui arrachant un petit cri de bonheur. D’abord doucement, je comprends vite qu’elle désire que je m’active plus fort en elle. Je réponds à son désir et accélère la cadence, lui procurant des sensations plus intenses. De son côté, c’est Barbara qui met fin à la pipe qu’elle prodiguait à Luc. Se collant le dos au mur, elle l’attire à elle et se pend à son cou, envoyant ses cuisses de chaque côté des hanches de l’homme désiré. Se relevant un peu, elle prend le sexe de Luc dans la main et le guide en elle. Mettant ses mains sous les fesses de ma femme, il la fait aller et venir sur sa bite, tandis que de son côté, pesant sur les épaules du mâle, elle l’aide en le soulageant d’une partie de sa charge. Luc pousse des râles rauques chaque fois que Bab s’empale sur son membre. Elle aussi crie chaque fois qu’elle retombe et se sent transpercée par l’épée de chair et de sang. Bien qu’ils aient commencé après nous, la jouissance les prend avant nous. Barbara hurle de plaisir, plantant ses ongles dans les épaules et le dos de Luc qui sert les dents tout en se vidant dans son ventre. Passant mon bras sous la jambe relevée de Patricia afin de l’ouvrir encore plus je lui donne de grands coups de reins, lui arrachant des cris de plus en plus stridents. Ne pouvant me retenir davantage, je me soulage en lâchant de grandes giclées en elle, ayant l’impression que je ne m’arrêterais jamais. Au moment où les premiers jets de semence s’écrase dans son ventre, je sens les spasmes de la jouissance secoués ma maîtresse et sa jambe faiblir. La retenant comme je le peux afin de l’empêcher de tomber, je la sers davantage contre moi, me plantant bien au fond de son sexe ravagé. Chaque couple se désolidarisent et se reconstruisent ainsi que le maire et le curé les a consacrés. Et tandis que j’embrasse Barbara à pleine bouche, Luc et Patricia mêlent eux aussi leurs langues dans une danse effrénée. Ouvrant de nouveau les deux douches, nous nous rinçons, nous frictionnant les uns les autres. C’est absolument nus que nous repartons vers l’avant du buron et que nous prenons place dans les chaises longues. Patricia propose de descendre chercher une bouteille de champagne pour fêter ça. — « Tu veux que je t’accompagne ? » demande Bab.— « Non ma chérie. Je pense que tu seras bien mieux ici afin que ces deux loustics ne se démobilisent pas. »— « Mais je vais être toute seule ! Je n’y arriverais jamais ! » objecte mon épouse.— « Mais si ma puce, et peut être que si ce soir tu ne les as pas trop épuisé, ils seront disposés à me faire un remake de votre chevauchée. »— « Comptes sur nous ma chérie. » la rassure Luc.— « Plutôt deux fois qu’une ! » ajoutais je.— « Oui, mais et moi, qu’est ce que je ferais en attendant ? » demande Bab d’une voix d’où perce une très belle imitation de l’indignation.— « Tu prendras des photos ! » lâches Patricia.— « Et tu pourras filmer, j’ai aussi apporté la caméra ! » renchéris je.— « Ben voyons ! » dit-elle indignée.— « Allez Bab, fais pas la tête, on va te faire oublier tout ça quand Pat sera parti. »— « Vous avez intérêt d’assurer !!! » lâche t’elle avant d’éclater de rire.Patricia se rhabille et se dirige vers sa voiture. Ayant au moins une heure et demie devant nous, nous décidons de reboire une bière. — « Je vous remercie beaucoup, - dit Luc – ça faisait longtemps que j’avais envie de ça. Enfin je devrais dire, que nous avions envie de ça. Nous en avions déjà parlé avec Patricia. »— « Ca fait longtemps que je le savais – dit mon épouse – du moins que toi tu en avais envie. Je le voyais dans ton regard. »— « Oui, mais toi, tu en pensais quoi ? »— « La réponse de tout à l’heure n’étais pas assez claire ? » dit Bab en riant.— « c’est vrai. Mais et toi Michel, qu’est ce que tu en pensais ? »— « Lui – coupe Barbara – de toute façon, son rêve c’était de me partager avec un autre homme, alors je pense que le fait que ce soit vous, lui fait encore plus plaisir. Je me trompe ? »— « Non, tu as raison, et j’espère que ce n’est qu’une première. »— « On ne l’a pas encore fait je te signale, pour l’instant on a seulement fait de l’échangisme et pas du mélangisme. »— « Tu as raison. Tu ne regrettes pas ? »— « Regretter ? Tu plaisantes, la seule chose que je regrette c’est que l’on perde du temps en parole plutôt que de passer aux actes ! » dit elle, effrontée.— « Tu as raison – dit Luc – qu’est-ce que tu veux ? »— « Vous deux…et vite ! »Nous nous levons comme un seul homme et la prenons en sandwich entre nous deux. Elle s’abandonne à nos caresses, acceptant nos mains qui courent sur son corps, caressant sa poitrine, son cou, son dos, son ventre ses fesses et ses cuisses, fouillant son sexe, mais aussi la vallée entre ses fesses rebondies. Ecartant les cuisses davantage, elle s’offre à notre désir d’elle. Ses deux mains tiennent nos deux bites prêtes à l’honorer et les branlent doucement. Prenant les choses en main, Luc débarrasse la table, y étend deux serviettes superposées et m’aide à allonger Bab dessus. Plongeant entre ses cuisses il se met à lui dévorer la chatte tandis que, me plaçant à hauteur de son visage, je lui propose mon sexe à sucer. Relevant les jambes et les écartant encore plus afin de s’offrir totalement à la langue de Luc, elle prend ma bite dans la main et m’attire à elle avant de me prendre sensuellement dans sa bouche. Tandis que je m’abandonne aux lèvres et à la langue experte de mon épouse, je caresse sa poitrine, malaxant les seins, excitant les tétons qui finissent par être dardés comme des petits sexes. Malgré ma bite dans sa bouche, elle se tord et pousse des gémissements étouffés par mon membre. Luc est comme fou, il halète, oublie de reprendre son souffle, tant il est passionné par ce qu’il fait. Lorsqu’il relève le visage pour respirer, je m’aperçois qu’il est trempé de sa salive mais aussi de la semence douce et musquée de Barbara. Se cambrant complètement, Bab expulse mon sexe de sa bouche et se met à hurler de plaisir provoqué par la langue de notre ami. Elle crie et se tord pendant encore presque trente secondes, avant de se calmer et de se détendre. L’aidant à se relever, Luc prend sa place et se couche à son tour sur la table, arborant une splendide érection. Ne lui ayant pas lâché la main il l’invite à se mettre à califourchon sur lui. Bab l’enjambe, et s’assoit sur son sexe, l’absorbant sans mal. Luc l’attire à elle et l’embrasse avec passion. Profitant du fait qu’elle soit couchée sur lui, je me penche sur ses fesses écartées et introduit ma langue dans la vallée ouverte. Jouant avec son œillet, je salive énormément afin de lubrifier l’objet de mon désir. Satisfait, je pénètre son petit anneau serré mais accueillant, et comprend très vite que je suis le bienvenu en ces lieux. Retirant ma langue, je glisse d’abord un doigt puis un deuxième et entreprend d’assouplir le muscle de son petit puit secret. Excitée et désirant que j’aille plus loin, elle se détend totalement et je peux bientôt retirer mes doigts et coller le gland de ma bite impatiente contre son anus palpitant. C’est en obéissant à son « Viens !!! » plaintif que je commence à la pénétrer. Bien planté en elle, je commence à aller et venir en elle, aussitôt suivit par notre ami. Elle jouit une première fois en moins de dix secondes, tant elle désirait cela, mais nous ne nous arrêtons pas pour autant. Etant celui qui a le plus de liberté, je saisis ses hanches et c’est moi qui imprime le mouvement adéquat afin qu’elle monte et descende sur nos sexes bandés. Barbara hurle de plaisir tandis que nous la prenons et que Luc lui malaxe les seins, presque durement. Lorsque je plonge en elle, je sens la bite de Luc à travers la mince cloison interne. Nous la remplissons de telle façon qu’elle ne l’a jamais été. Elle crie, lance des mots crus, dit qu’elle nous aime et qu’elle veut que nous restions toujours en elle, puis, dans une lancinante plainte, elle jouit une nouvelle fois. Lâchant ses hanches pour prendre ses fesses à pleines mains et les écartées autant que je le peux, je commence à m’agiter de plus en plus fort en elle, suivit immédiatement par Luc qui pousse des ahanements de bûcheron. La prenant aussi fort que nous en sommes capable, nous jouissons à quelques secondes d’intervalles, entraînant de nouveau Barbara dans un nouvel orgasme. Nous restons presque un quart d’heure ainsi, et ce n’est que lorsque la nature a fait son œuvre, recroquevillant nos belles érections que nous sortons de nos étuis respectifs. Je suis obligé d’aider mon épouse bien aimée à se relever afin de dégager Luc. Nous la prenons dans nos bras et l’embrassons en alternance, ne prononçant pas un mot, qui de toute façon aurait été superflu. Une fois complètement remis de nos émotions, nous retournons sous la douche et c’est nous deux qui lavons Bab des traces de nos ébats, tandis que presque tendrement, elle s’occupe à rendre nos sexes aussi propre qu’ils ne l’étaient. Revenant autour de la table, Luc reprend une bière après m’en avoir tendu une et avoir servi un porto à Barbara. Nous dégustons nos boissons, assis côte à côte avec Luc tandis que Bab est assise à cheval sur chacune de nos jambes.
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