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Un week-end avec Guillaume et Coralie

Chapitre 2

La première nuit

Avec plusieurs hommes
Guillaume et Coralie sont deux lycéens qui se sont invités chez moi pour le week-end. La première soirée a été racontée dans l’épisode précédent.
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Je somnole depuis environ une demi-heure quand j’entends des pas dans l’escalier. Coralie me rejoint dans le lit et se fait câline contre moi.
— C’était super bon ... mais j’en veux plus, je veux faire l’amour, je veux de la bite.
Okayyyy, message compris. J’ai placé sur les tables de nuit (et aussi au salon) des bols avec des préservatifs et du lubrifiant. Je m’équipe en expliquant rapidement à Coralie que ça ne se discute pas, c’est préservatif obligatoire pour moi et pour Guillaume. Je suis sur le dos, elle m’enjambe et s’occupe de me faire entrer en elle. Elle ne fait pas de manière, elle sait ce qu’elle veut, c’est elle qui me prend. J’ai son visage sur le haut de ma poitrine, ses seins lourds se balancent sur mon torse au rythme de ses va-et-vient, elle devient de plus en plus furie et commence à faire du bruit.
Sur ce, Guillaume nous rejoint à son tour, s’agenouille sur le lit et me présente sa queue que je prends en bouche en lui passant une main insidieuse entre les fesses. Si Coralie veut de la bite, je vois bien que Guillaume aimerait bien lui aussi à la manière dont il se tortille quand mes doigts pénètrent dans son cul. Cela me donne l’idée d’aller explorer de mon autre main le petit trou de Coralie, ce qui a pour effet de l’exciter encore plus. Je dois vraiment faire un gros effort mental pour ne pas exploser trop vite sous ses assauts, mais généralement dans cette position et dans la mesure où je ne bouge pas, j’arrive à tenir assez longtemps. Le cul de Coralie se révèle accueillant, j’introduis deux doigts sans trop de peine, mais la position n’est pas très pratique. Je demande à Guillaume de mettre un préservatif à son tour, et je lui indique d’aller derrière Coralie.
J’attrape tant bien que mal le lubrifiant et je dis à Guillaume d’en mettre sur sa bite et dans le cul de Coralie, et une fois fait, il s’avance vers ses grosses fesses qui s’agitent sur ma bite. Coralie s’immobilise, Guillaume appuie, cela dure quelques secondes puis soudain, Coralie pousse un râle profond, Guillaume est entré en elle. Elle reprend ses esprits, se remet à bouger sur ma bite, mes deux mains libres saisissent ses seins et les malaxent pendant que nos trois corps se synchronisent.
Coralie est prise en sandwich, a priori pour la première fois d’après ce qu’elle nous avait raconté de ses expériences, elle est en transe, balance la tête dans tous les sens, je sens que cette situation et sa furie auront vite raison de moi, je décide donc de lancer mon bassin contre elle pour amplifier ce corps à corps et précipiter nos jouissances. Dès que j’entends le cri de Coralie et que son corps s’immobilise, je lâche la pression et j’éjacule en elle en plusieurs spasmes qui me font presque mal, tellement c’est intense. Guillaume continue encore quelques va-et-vient et se raidit à son tour avant de s’effondrer sur le dos de Coralie – qui est écroulée sur moi du coup, merci à tous les deux, je fais comment pour respirer moi ?
Je les bascule tous les deux à ma droite, je suis tout au bord du lit, Coralie tournée vers moi, Guillaume derrière elle sur l’autre bord du lit. Coralie a sa tête sur ma poitrine, j’ai le bras droit coincé sous elle, Guillaume est contre elle, sa bite à hauteur de ses fesses, les respirations se calment, je sombre dans une somnolence post-coïtale (classique), moi qui espérais avoir mon lit pour moi tout seul, c’est raté.
Dans la nuit, je suis réveillé par des mouvements et du bruit à côté de moi, dans un demi-sommeil, je comprends que Coralie et Guillaume ont remis ça, je suis trop fatigué, je m’endors après avoir juste caressé la chatte de Coralie, Guillaume doit être à nouveau passé "par la cheminée".
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Au réveil, j’ai un bras complètement ankylosé que je dégage difficilement de sous Coralie, elle est maintenant à moitié sur moi et j’ai l’impression du coin de l’œil que Guillaume, sur le dos, est plus à l’aise. Je me lève pour aller aux toilettes, je fais attention de ne pas les réveiller puis je reviens me placer contre Coralie que je prends dans mes bras. Elle se blottit amoureusement, c’est bon, nous nous rendormons.
Lorsque la matinée a bien avancé et que je suis plus réveillé, je commence à caresser Coralie et à la bisouter. Elle s’offre dans son lent réveil, sa bouche, son cou, ses seins et mes mains caressent ses fesses et son sexe. Je tends la main jusqu’à la bite de Guillaume, qui est molle, mais que je sens durcir à toute vitesse dans la chaleur de ma main. Il grogne un peu, puis se tourne dans le dos de Coralie qui est serrée entre nous deux. J’embrasse Coralie qui se réveille et saisit à son tour mon sexe. Je crois bien que ça va repartir ...
Après quelques minutes de chauffe et de câlins de plus en plus intrusifs dans tout ce qui est offert, je décide de passer à l’action. Je mets Coralie sur le dos, je me place sur elle et je prends possession. Je lui relève les jambes, les genoux presque sur ses épaules, son con est largement offert et je la pénètre sans gros efforts tellement elle est déjà lubrifiée par nos préliminaires.
J’invite Guillaume à mettre également un préservatif et à être attentif. Je plonge au plus profond de Coralie, ce qui est favorisé par cette position, puis je reste immobile, mon sexe pratiquement à l’entrée de son utérus. Puis je commence à appuyer par petits à-coups à peine perceptibles, la bite bien calée juste au-dessus du col de l’utérus que je sens très bien. Il y a à cet endroit difficile d’accès une zone très érogène et pourtant peu connue des hommes et même des femmes. Juste en appuyant par petites pressions, je déclenche des ondes de plaisir qui parcourent tout le corps de Coralie. Elle a d’abord les yeux fermés, puis, au fur et à mesure de la montée du plaisir, elle les ouvre en grand et ouvre la bouche pour trouver de l’air.
Soudain, elle bloque sa respiration, je sens son ventre se contracter sur ma bite, je m’immobilise et quelques secondes après, les yeux fermés, elle pousse un grand cri en laissant retomber sa tête sur l’oreiller. Son ventre est agité de contractions, ses cuisses tremblent, elle cherche sa respiration, puis se calme, se détend, devient presque inerte sous moi, je n’ai pas bougé. J’attends encore une minute environ, puis je recommence les petites pressions au fond de son ventre, et très vite la voilà repartie pour son deuxième orgasme de la matinée.
Je me retire alors et invite Guillaume à me remplacer. Je lui explique ce qu’il doit faire, le guide pour qu’il trouve bien l’endroit où placer la pointe de sa queue, puis il commence ses pressions. Je le calme pour que ce soit très discret, presque immobile, juste comme s’il serrait les fesses, une toute petite avancée du bassin, pas de mouvement, juste une pression. Nous nous rendons compte immédiatement à la réaction de Coralie que Guillaume est au bon endroit et qu’il a trouvé le bon dosage. Elle repart rapidement dans un nouvel orgasme, puis un autre encore, et un cinquième consécutif. Guillaume a toutefois de plus en plus de mal à rester concentré, ce jeune fougueux a envie de bouger.
Je suis derrière Guillaume, et ma bite se plante entre ses fesses. Immédiatement, il se cambre un peu, je mets du lubrifiant sur sa rondelle et le pénètre lentement pendant qu’il commence à s’agiter sur une Coralie qui ne sait plus qui elle est. Elle balance la tête de tous les côtés, ses doigts griffent les bras et les épaules de Guillaume (ouf, j’y ai échappé), lequel est maintenant embroché sur ma queue, que je pousse au plus profond. Guillaume suit le rythme que je lui impose et s’enfonce en cadence dans le vagin de Coralie. Je l’entends râler de plus en plus, il est pris de spasmes et s’effondre sur Coralie pendant que moi je continue de le pilonner vigoureusement. Il me faut assez longtemps pour arriver à l’éjaculation, qui est du coup une libération pour tous les trois. Nous nous effondrons dans le lit, ce réveil a été explosif, mais du coup nous sommes tous les trois groggy par nos ébats et nous reprenons quelques moments de somnolence, serrés les uns contre les autres.
A suivre.
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