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Un week-end avec Guillaume et Coralie

Chapitre 3

Deuxième soirée

Trash
Il est presque midi lorsque nous descendons dans la cuisine (après une douche un peu crapuleuse), chacun vêtu de son peignoir. Guillaume et moi ne sommes pas aussi bavards que Coralie qui raconte tout ce dont elle se souvient avec l’air émerveillé d’une enfant qui a vu la mer pour la première fois. "Et ça alors, putain, ce que c’était bon ... mais comment tu fais ? Oah, c’est pas croyable, c’était ... IN-TEN-SE j’imaginais pas ça tu vois ... Il faudra qu’on le refasse ... Et si on faisait ça ... Oh et puis ce que c’est bon de dormir contre un homme ... Non, contre DEUX hommes ...". Elle est intarissable, mais elle semble heureuse, alors c’est tout à fait supportable.
Je leur conseille d’appeler leurs parents pendant que je fais un peu de cuisines (des pâtes, on va avoir besoin d’énergie à ce rythme), puis une fois le repas englouti – non sans avoir encore fait des petites choses érotiques autour de la table – on s’habille et je les emmène en bord de mer, sur les grandes plages de sable de l’Atlantique qui sont désertes en cette saison. Le temps est couvert et il y a même des petits grains passagers, mais qui nous mouillent à peine. On se promène, Coralie entre nous deux qui nous tient la main en parlant de "ses" hommes à elle, on discute un peu plus sérieusement aussi, mais on en revient quand même à notre sujet d’étude et de pratique du week-end. Coralie est ravie au-delà de ce qu’elle pensait, Guillaume est content de la voir aussi joyeuse ... et moi je leur fais remarquer que nous avons encore une soirée et une nuit, plus demain toute la journée pour d’autres choses.
Silence, je les sens imaginer aussi loin qu’ils le peuvent, et pourtant ils ne savent pas ce qui va se passer.
***************************************
En rentrant, il fait bien chaud dans la maison où j’avais poussé le chauffage. On se déshabille tous et on prépare la cuisine pour le repas du soir, même formule que la veille, des petites choses variées à grignoter, du champagne et nous aurons en dessert le tiramisu de Coralie (entre temps nous nous sommes amusés avec la bombe de crème chantilly, Coralie en a eu partout et nous avons TOUT léché avec avidité). On mange sur les canapés du salon, chaque aliment est accommodé avec des "sauces" originales, puisées à la source, c’est osé et si ce n’était dans le contexte de nos jeux érotiques et de notre programme, je pense que je trouverais certaines associations peu appétissantes, mais finalement ça passe. A la fin de ce repas qui tient plus de l’orgie romaine décadente, et après un sort fait au tiramisu, mes deux tourtereaux sont un peu ivres. Direction une douche et toilette, on reprend les choses sérieuses pour notre dernière nuit du week-end. Lorsque nous sommes revenus au salon :
— Alors pour la suite, je vous ai préparé une surprise et il me faut un volontaire" pour commencer. On le fait à pile ou face entre vous deux ... On y va ?"

Le sort désigne Guillaume. Je demande à Coralie de lui bander les yeux avec une écharpe, et prends des "menottes" en tissu (en fait des bracelets en tissu épais qui se ferment avec du velcro, muni d’un anneau et d’un mousqueton) que je place aux poignets et aux chevilles de Guillaume, qui sent, mais ne voit plus rien. Je les fais monter à l’étage, et j’ouvre une petite chambre que j’ai aménagée spécialement en prévision de notre week-end et que je ne leur avais pas fait visiter : j’ai fixé une belle poutre en bois à environ 2 m de haut, posée aux extrémités sur des poteaux fixés aux murs. Il y a des cordes, des gros anneaux et d’autres matériels dans cette petite pièce (une chambre pour enfant) que j’ai vidée de tout (sauf une armoire). En découvrant la pièce, Coralie s’exclame :
— Oh putain, c’est quoi ça ?.
Guillaume, alerté, demande de quoi elle parle, mais je fais signe à Coralie de ne plus rien dire, plus un mot.
Avec l’aide de Coralie, nous suspendons Guillaume à la poutre. Je lui fais écarter les jambes, je fixe ses chevilles à un bastaing assez lourd que je tire doucement en arrière, Guillaume, qui "avait pied" est déséquilibré et est soudain suspendu à la poutre par les bras, incapable de s’appuyer sur ses pieds. Le bastaing est fixé au mur par une chaîne qui passe dans un anneau scellé dans la plinthe.
— Héééé, c’est quoi ce truc ? Mais nous ne répondons pas. Il ne voit rien, se trouve suspendu en biais sans appui sur le sol, et n’entend plus que le bruissement de nos mouvements autour de lui (peu de place dans cette petite pièce) et nos respirations. Par geste, je fais signe à Coralie de faire comme moi. Je suis derrière Guillaume, Coralie devant, et je commence à caresser (limite chatouiller) Guillaume dans le dos, les épaules, les fesses, et Coralie fait de même, le visage, le cou, le torse, le ventre ... Guillaume est entravé, sans pouvoir se soustraire à nos caresses. Il gesticule un peu, mais la potence est solide, elle tient bien, il rit des caresses sous les bras, derrière les genoux, il est mis au supplice de la chatouille !— Ahhh, arrêtez, c’est horrible ! Ahahaha ... Non pas là, arrêêêête ! mais rien n’y fait, Coralie prend manifestement un plaisir pervers à torturer Guillaume. Elle se caresse elle-même avec sa main libre, elle est très excitée et se plie au jeu avec gourmandise.

Je fais signe à Coralie de passer à des baisers sur Guillaume, comme je le fais moi-même dans son dos. C’est la langue, des suçons, des lichettes, partout sur la peau de Guillaume qui bande comme un âne, en vain car ni Coralie ni moi ne lui touchons le sexe. Nos bouches et nos mains parcourent tout le corps de Guillaume, sauf le sexe ... Le pauvre garçon continue de se contorsionner en déséquilibre, suspendu à sa poutre en se plaignant et en riant du supplice qu’on lui impose. Et ce n’est que le début !

Je fais signe à Coralie de suçoter les tétons de Guillaume et ... de les mordiller. Le garçon est surpris et pousse un cri quand les dents de Coralie se referment sur son téton, mais cela ne dure pas longtemps, la petite perverse a compris qu’elle devait doser pour susciter la surprise, mais sans blesser. De mon côté, je commence à faire des pinçons sur la peau de Guillaume, des petits gestes rapides entre des caresses, qui excitent ses sens et le font réagir. Je pense que pour lui le temps commence à se dilater entre le supplice et l’alcool dont il avait un peu abusé, il souffle, geint, gesticule mollement toujours suspendu et solidement attaché à la poutre.
J’invite Coralie à aller plus loin. Je caresse Guillaume avec insistance sur les fesses et soudain : une claque ! Brutale, forte, qui lui marque instantanément la peau de rouge. Il sursaute, crie, se révolte, puis une deuxième claque au même endroit, et une sur l’autre fesse, puis à nouveau les caresses, toutes douces, ni moi ni Coralie ne prononçons un mot, Guillaume est soumis à deux bourreaux silencieux qu’il ne voit pas et dont il subit la torture. Coralie se lâche elle aussi et prend les tétons de Guillaume entre ses doigts et les tortille avec sadisme, je le vois sur son visage et dans ses yeux. Elle respire fort, elle est très excitée et se prend au jeu avec beaucoup d’application ... beaucoup !
Ma main glisse en caresse entre les fesses écartées de Guillaume, et un doigt appuie fortement sur son anus, sans chercher à le pénétrer, juste une forte pression. Guillaume réagit immédiatement en secouant la tête et le cul, Coralie en profite pour lui prendre le sexe en main et commence à le branler. Je m’agenouille derrière Guillaume et commence à lui lécher les fesses et jusqu’à son anus, Coralie prend son sexe en bouche et se met à pomper. Sa main passe sous les bourses de Guillaume en les malaxant et elle aventure un doigt vers le petit trou du garçon. Elle n’hésite pas à le doigter en même temps qu’elle suce. Je contourne Guillaume et me place derrière Coralie dont je caresse les cheveux, le cou, les épaules. Je l’écarte quelques secondes de Guillaume, je m’allonge entre ses jambes entravées, la tête du côté de Coralie que j’invite à se placer au-dessus de ma bouche.
Une fois fait, elle reprend Guillaume en bouche pendant que je commence à la sucer, à la boire devrais-je dire tellement elle dégouline d’excitation.
Seul Guillaume peut parler et encore ce qu’il prononce est une succession de râles, de gémissement, de "Oh oui" ou des trucs comme ça. Et puis il éjacule dans la bouche de Coralie, son corps suspendu se contorsionne, elle boit tout et jouit à son tour, m’inondant de ses liqueurs parfumées que j’avale à mon tour. Il s’ensuit quelques moments de calme, Guillaume suspendu comme un supplicié à sa potence, Coralie allongée à même le sol qui reprend ses esprits. Mais pour ma part, je n’ai pas eu mon compte. Je me lève et retourne derrière Guillaume. Son sexe a débandé et quelques gouttes de sperme tombent au sol. J’enfile un préservatif et sans ménagement, je prends Guillaume à bras le corps et je l’encule d’un coup.
Le garçon se contorsionne et se met à geindre et à crier que c’est bon, je l’embroche sans ménagement, il est suspendu en l’air, je tire librement sur ses hanches pour le faire coulisser sur ma bite, la sensation est extraordinairement excitante et très vite j’éjacule à mon tour dans le cul du garçon.
Coralie nous a regardés sans rien faire, sans rien dire, elle est crevée. Je laisse Guillaume, et j’emmène Coralie dans la chambre, je la mets au lit, au milieu. Je retourne auprès de Guillaume, toujours suspendu, les yeux bandés.
— Alors ma petite pute, t’as aimé ?— Oah, c’est dingue ... C’était super, super ...— Eh oui, mais c’est pas fini pour toi ...
J’ai vraiment envie de lui faire pire, de le torturer encore et de le faire jouir encore une fois, à la limite de la douleur. Je me sens sadique ! Dans l’armoire, j’avais préparé des ustensiles que je n’ai pas eu besoin de sortir, c’est le moment. Il y a un martinet (le modèle traditionnel, manche en bois, lanières de cuir), un œuf vibrant assez volumineux, et des petites pinces qu’on utilise pour les torchons (ça se trouve dans tous les supermarchés). Je commence par caresser le corps de Guillaume et à lui faire des bisous, puis je lui mordille les tétons en lui malaxant les couilles, les fesses, le sexe qui a repris de la consistance. Il geint sous mes assauts, et je place une pince sur un téton. Il crie sous la surprise de la morsure et je suspends un poids au téton, ce qui accentue l’emprise de la pince (un plomb de pêche tout simplement). Je pratique de même à l’autre téton, sans cesser de malaxer ses couilles et son sexe de manière de plus en plus puissante.
Il est maintenant complètement bandé, je m’agenouille et le prends en bouche pendant que mes doigts retournent dans son anus qui a déjà bien morflé. Quand il est bien dilaté, j’enfonce l’œuf vibrant que je mets en marche à pleine vibration. Guillaume réagit immédiatement en contractant les fesses, ce qui fait remonter l’œuf un peu plus haut, et je suppose qu’il doit transmettre sa vibration au niveau de la prostate. Guillaume râle sans cesse. Je m’écarte de lui et me redresse, je prends le martinet et je le fais courir sur le ventre de Guillaume qui ne voit toujours rien. Je fais le tour de son corps suspendu et agité en laissant les lanières du martinet en contact sur sa peau. Une fois derrière, je commence à faire claquer le martinet sur son dos et ses fesses, pas trop fort d’abord.
Je ne suis plus muet, au contraire, j’invective Guillaume, je le traite grossièrement de petite pute, de salope, de pervers ... enfin des mots crus qui s’accompagnent à chaque fois d’une punition au martinet.
Le garçon dit "Oui", "Non", geint, crie, je frappe de plus en plus sèchement, devant, derrière, sur ses fesses ou son sexe, je fais varier le rythme de l’œuf dans son cul, je suis excité comme rarement je l’ai été. Je zèbre la peau de Guillaume, je vois des larmes couler sur ses joues, mais je n’ai aucun doute sur le plaisir qu’il éprouve. Alors à un moment, je me mets à genoux devant lui et je lui fais la pipe ultime en fouillant son cul de mes doigts, presque la main entière (mais ça ne passe pas ...), et lorsqu’il éjacule en trois longues saccades, j’avale encore une fois tout son sperme. Puis j’éteins et retire l’œuf de son cul, je libère ses tétons de leur pince, je l’embrasse et il me répond avec fougue, je lui enlève le bandeau, je vois effectivement qu’il a dû pleurer sous mes coups, mais il sourit et rayonne. Je le libère enfin, il est un peu flageolant sur ses jambes, et nous allons au lit rejoindre Coralie qui nous accueille dans un demi-sommeil.
A suivre.
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