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Un week-end avec Guillaume et Coralie

Chapitre 4

Derniers ébats

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Au réveil, nous sommes toujours serrés tous les trois dans le lit deux places, Coralie entre nous qui ronfle légèrement (très légèrement). J’observe mes tourtereaux, c’est beau la jeunesse quand même ! On est dimanche matin, la nuit a été rude, mais je bande encore et la vue des corps nus et de leur peau douce m’excite déjà, même si je remarque les griffures du martinet sur la peau de Guillaume. Je les caresse tous les deux, peu de réactions, je me lève et descends préparer un bon petit-déjeuner. J’en profite pour faire du rangement dans le salon, et en passant dans la salle de torture, je réalise que le sol a été inondé de divers fluides, que je nettoie rapidement. Guillaume et Coralie se lèvent quand je viens juste de terminer et tous les deux m’embrassent avec volupté. Nous déjeunons ensemble, il est presque 11 heures quand on termine. Coralie demande :
— Moi aussi je veux être suspendue ! J’ai adoré te faire tous ces sévices, Guillaume, mais franchement, j’ai trop envie d’être à ta place, je vous mets au défi !
Nous rions, et bien sûr, nous sommes d’accord pour que Coralie passe à la torture. Mais ce qu’elle ignore pour l’instant du moins, c’est jusqu’où je suis allé avec Guillaume après l’avoir mise au lit, et elle va avoir droit aux derniers outrages. Je demande juste à Guillaume de ne pas lui raconter en attendant qu’on s’installe. En attendant, sous la douche tous les trois !
Lorsque nous revenons dans la salle spéciale, Coralie est déjà tout excitée. Il faut dire que la douche a été crapuleuse et que Guillaume et moi l’avons déjà mise en condition. Elle se place elle-même sous la poutre, tend les bras pour que je lui passe les bracelets et que je l’attache, et comme elle est bien plus petite que Guillaume, elle se retrouve littéralement écartelée, bras et jambes tendus, ses pieds décollés du sol, elle est suspendue à la poutre et incapable de faire le moindre mouvement. Je ne lui mets pas de bandeau, elle a le droit de voir, et lorsque je sors le matériel de l’armoire, elle écarquille les yeux :
— Hé, mais c’est quoi ces machins ? Y avait pas ça hier soir, d’où ça sort ? ... Quoi ? C’est un martinet hé oh, vous allez pas me fouetter quand même ?— Mais non, Coralie, ne t’en fais pas, c’est juste de la déco pour l’ambiance, hein Guillaume, on va pas la fouetter n’est-ce pas ?— Roooh, ben qu’est-ce qu’elle va imaginer là ! Bien sûr que non, tu peux compter sur nous, voyons.— Euh, non, les gars, s’il vous plaît, ne me faites pas mal, hein, je suis pas d’accord moi, c’était pas prévu ça ...
Cause toujours ! Je dis à Guillaume qu’on y va, il se place derrière Coralie et nous commençons à la caresser partout à quatre mains, ce qui la détend nettement. Très vite toutefois, nous commençons à appuyer nos caresses, à pincer, puis à sucer et mordiller, et je m’intéresse particulièrement à ses tétons que je pince fortement entre mes doigts, que je tapote, que je mordille, que je tords, bref elle doit commencer à avoir mal, mais ses tétons sont gonflés et durs d’excitation. Guillaume de son côté a commencé à lui claquer les fesses, Coralie tressaille à chaque claque que Guillaume alterne avec des caresses et des bisous, elle pousse un petit cri qui devient de plus en plus râle, et après avoir bien trituré ses seins, je place sur chaque téton une pince à sein. Ce n’est pas le modèle bricolé de la veille avec Guillaume, c’est un gros modèle, deux pinces qui se serrent avec une molette et une lourde chaîne entre les deux.
Les tétons de Coralie se retrouvent emprisonnés dans les mâchoires métalliques, et la chaîne qui oscille à chaque claque de Guillaume vient tirer sur les tétons, accentuant la douleur du pincement.
Coralie ne nous parle plus, elle râle et geint continuellement, pousse des petits cris à chaque claquement sur ses fesses, et je m’occupe de sa chatte. Je me souviens comment elle s’était touchée la veille, en se tapotant le clitoris. J’ai une petite badine en bambou coupée dans le jardin, je la fais courir sur son ventre et je la place entre ses cuisses écartées, sa chatte est offerte au supplice. Je frappe alors des petits coups répétés sur l’intérieur des cuisses, c’est sans doute douloureux, je n’aimerais pas subir cela, et je progresse jusqu’à ses lèvres qui sont béantes d’excitation. Il faut que je trouve une bonne position pour que le geste soit bon, je me place donc légèrement de côté et je tapote ses lèvres et le pli du clitoris avec la badine. Aussitôt, Coralie se contorsionne et proteste, mais rien ne peut la faire échapper à la torture.
Je frappe de plus en plus vite, de plus en plus fort, Guillaume a abandonné les claques sur les fesses pour profiter du spectacle et se contente de caresser son dos, son cou, ses épaules. Coralie ne tarde plus à jouir bruyamment, un cri étouffé suivi encore une fois d’une apnée pendant laquelle je stoppe mon supplice, puis elle reprend son souffle après une profonde expiration, son corps se relâche complètement, se tête tombe sur sa poitrine, tout son corps est mollement suspendu à la poutre. Je lui lève la tête, on voit qu’elle a pleuré sous la douleur, de la bave coule sur son menton, je l’embrasse doucement sur les joues, dans le cou, et elle articule :
— Vous êtes deux salauds ... je vous hais, je vous hais ... mais encore, s’il vous plaît, encore !
Ma main plonge entre ses cuisses et je saisis son sexe à pleine main. Elle est dégoulinante et relève la tête en poussant un long gémissement. J’introduis deux, trois doigts que je fais aller et venir très fort et très vite. Coralie a les yeux écarquillés, la bouche ouverte, la respiration coupée, son corps est parcouru de spasmes et ma main est inondée de son jus lorsqu’elle jouit à nouveau. Sans perdre de temps, j’introduis l’œuf vibrant dans son vagin bien profondément, je pense qu’elle ne s’en rend même pas compte sur le moment, seuls le fil et la télécommande pendent sous elle. Je prends alors le martinet et je donne à voix basse quelques instructions à Guillaume, qui sera chargé des vibrations de l’œuf.
Lorsque Coralie reprend ses esprits et rouvre les yeux, elle a le martinet devant son visage. Je lui crie au visage :
— Tu vois ça Coralie ? Tu sais que tu es une salope ? Une petite chienne en chaleur, une coureuse de bite ? Tu es une fille pervertie, une nympho, voilà ce que tu es, et on va t’en faire baver !
Elle est manifestement surprise par mon agressivité, elle a clairement un regard apeuré en voyant le martinet et en m’entendant crier.
— Tu vas en baver, ma fille, petite salope, pouffiasse ! Traînée !
Je fais un signe à Guillaume qui lance la vibration à fond. Coralie sursaute, ouvre encore plus les yeux, elle ne s’attendait pas à une attaque à cet endroit, au plus profond de son ventre, elle pousse un cri de surprise et d’effroi en baissant la tête pour tenter de voir ce qui se passe entre ses jambes et dans son ventre. C’est le moment que je choisis pour plaquer un coup de martinet sur ses fesses, un autre cri de stupeur, elle est perdue et ne comprend plus d’où vient la menace. Guillaume fait varier la vibration, qui est tantôt faite de battements sourds et tantôt d’un long vrombissement, et moi je frappe toutes les parties libres de son corps, pas trop fort quand même, sur ses seins, son ventre, ses cuisses, son sexe, son dos ... Cela dure ainsi une dizaine de minutes, ni Guillaume ni moi ne sommes pressés, Coralie jouit plusieurs fois, une flaque s’est formée sous elle, son corps convulsionne, la poutre est heureusement solidement fixée et tient bon.
Son corps est couvert de zébrures, il est bien possible que j’y sois allé un peu fort dans l’excitation du moment, j’avoue avoir peut-être été un peu excessif sur certains coups. Coralie n’est plus qu’une loque humaine pendue à une potence par les poignets, les jambes écartelées, un filet de bave coule de son menton, des larmes ont inondé ses joues, sous sa chatte béante, des gouttes tombent dans une flaque obscène. J’avais envie de la prendre en sandwich avec Guillaume, mais cela ne me semble plus vraiment nécessaire. Nous la détachons, je la transporte sur le lit, elle est en sueur et sa peau doit être douloureuse par endroits. Je culpabilise quand même un peu ...
Je vais chercher des crèmes dans la salle de bain, et avec Guillaume, nous en étalons doucement sur les meurtrissures de sa peau mate. Je me rassure, je vois que s’il y a bien quelques marques profondes sur une fesse, ailleurs c’est superficiel, la pommade apaisante va vite la soulager.
— Vous ... vous êtes des salauds ... je vous hais ! ... Vous m’avez ... vidée, j’en peux plus, vous êtes des salauds ...
On l’embrasse partout, on la caresse doucement, elle se retourne sur le dos, on en profite pour étaler de la pommade sur ses seins (les tétons sont d’une grosseur et d’une sensibilité extrême), son ventre, entre ses cuisses ... Elle nous prend subitement tous les deux par les couilles, je suis surpris de ce geste inattendu, mais elle sert fort, et je ne peux pas faire grand-chose :
— Vous êtes des salauds, mais vous m’avez fait jouir comme une folle ! Alors je vous le dis, vous allez me prendre tous les deux et je veux que vous vous vidiez les couilles jusqu’à la dernière goutte !
Eh bien, elle sait commander cette gamine ! Au moins, je suis rassuré, même si le traitement a été sévère, elle l’a bien supporté et l’a accepté. Avec Guillaume, on rit de l’entendre nous parler comme ça, et on lui dit que c’est bien notre intention ... mais là aussi, elle ne sait pas encore ce qui l’attend ! Guillaume et moi enfilons un préservatif, le programme est annoncé.
On se place tous les deux contre elle et nos mains reprennent leurs caresses sur tout son corps. Elle se tourne vers moi, je l’embrasse, elle se tourne vers Guillaume qui l’embrasse, on passe plusieurs minutes comme ça à la cajoler, la caresser, elle semble oublier les morsures du martinet. Puis elle enjambe Guillaume qui est sur le dos, se frotte la chatte sur sa bite et finit par se l’introduire d’un seul coup en se redressant un peu. Elle commence à aller et venir avec fougue, elle pousse un cri à chaque fois que la bite est entièrement en elle, puis elle se tourne vers moi :
— Allez viens, j’ai envie de te sentir aussi, j’ai envie de ta queue, dans mon cul allez, viens !
Bien sûr que je vais venir, mais pas tout à fait comme tu le demandes. Je me place derrière elle, je caresse entre ses fesses avec du lubrifiant, je mets deux doigts dans sa rondelle, elle s’ouvre, se dilate, m’encourage par des obscénités "Oui, défonce-moi, vas-y, remplis-moi, je veux ta queue, ta queue, je veux de la bite !".
J’approche ma queue, mais je ne vise pas son anus, je place mon gland contre la bite de Guillaume à l’entrée de sa chatte. Dans ses mouvements de va-et-vient, elle ne semble pas se rendre compte de ce que je prépare, et de ma main, je suis toujours en train de lui fouiller le cul. Je profite d’un moment où elle dégage une grande partie de la bite de Guillaume pour appuyer fortement sur son dos pour l’immobiliser, et je me plaque contre ses fesses en poussant brutalement contre sa chatte, juste à côté de la bite de Guillaume. Coralie pousse un cri aigu quand mon gland distend encore plus sa chatte et que ma bite pénètre avec celle de Guillaume. Elle a le souffle coupé, n’ose plus bouger, ne prononce plus un son, et je commence à aller et venir lentement à mon tour.
Eh oui, elle voulait de la bite, elle est servie : elle ne pensait pas qu’elle aurait autant de chair dans sa chatte et elle doit être affolée à l’idée d’avoir tout ça dans un orifice qui, pourtant, est loin de ses réelles capacités de dilatation. Guillaume recommence à son tour à aller et venir par des mouvements du bassin, c’est Coralie qui du coup se trouve comme au pilori, incapable de bouger, tout juste capable de laisser passer quelques rugissements rauques dans sa gorge. Avec Guillaume, nous avons pris le rythme, il s’avance lorsque je me retire, j’avance lorsqu’il se retire, ce qui fait que nos bites frottent l’une contre l’autre et que Coralie n’a plus besoin de bouger. Puis nous accélérons, Coralie se remet à faire aller et venir son bassin, et notre rythme change, nous sommes maintenant en phase, Guillaume et moi au plus profond de sa chatte en même temps.
Coralie crie comme une damnée, elle prononce des sons sans suite et sans sens, des râles, des "Oh oui putain !", des "Encore", des "Non, non ..." (peu convaincants d’ailleurs), et arrive le moment où elle bloque sa respiration, s’effondre sur Guillaume et jouit sans retenue.
Pour ma part, même si je suis encore en elle, j’ai déjà éjaculé il y a quelques minutes tellement l’excitation était intense, mais Guillaume continue de la pistonner, lance son bassin en l’air pour la pénétrer le plus profondément possible et atteint à son tour le plaisir dans un cri rageur. Il s’ensuit un moment de calme et d’immobilité, ma bite débande et sort de la chatte distendue de Coralie, je me retire, Coralie bascule sur le côté en se dégageant de la bite de Guillaume, mais elle ne perd pas le nord et se précipite sur ma queue pour sucer et avaler le sperme qui s’échappe du préservatif et qui macule mon sexe, puis fait subir le même traitement à Guillaume. Elle nous embrasse goulûment, la bouche maculée de nos jouissances, nous suce à nouveau, aspire la moindre goutte qui perle du méat, puis nous nous allongeons encore une fois serrés tous les trois dans le lit trop étroit.
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Le week-end est arrivé à son terme. Après un repas dans l’après-midi, nous sommes allés nous promener en bord de mer, il y avait du vent, mais des moments de soleil. Coralie était aux anges, elle ne tarissait pas de remerciements pour tout ce qu’elle avait découvert et qu’elle n’imaginait pas même dans ses fantasmes les plus osés. Je les ai remerciés tous les deux de leur initiative et bien sûr que nous allions nous revoir pour remettre ça un de ces jours, promis.
Depuis, Guillaume a dû rentrer chez ses parents à la fermeture de toutes les écoles, et Coralie et moi n’avons pas pu nous revoir, tous les deux coincés chacun chez lui. Lorsque cela se terminera, nous verrons bien ce qui restera de ce superbe week-end que nous avons passé ensemble, quelques semaines seulement avant le début du confinement.
FIN
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