Le lundi après midi Je suis réveillé vers 14 h 30 par un baiser de Charlotte.-On doit se préparer si on veut partir à 15 heures.-Ok.Tout le monde se prépare pour une partie de jambe en l’air. J’accompagne Charlotte dans sa salle de bain pour me faire un lavement approfondi. Nous nous rejoignons en bas. Charlotte porte les mêmes vêtements que le matin, Michelle a opté pour une robe rouge assez ample et courte, très courte. -Fais voir l’effet que fait cette robe.Michelle se met à tourner sur place et la robe commence à s’évaser et à laisser voir ses fesses et son sexe, évidemment sans protection. Une fois immobile, elle lève les bras, ce qui dégage une nouvelle fois son sexe et ses fesses. -On laisse tous nos papiers ici, on ne prend qu’une vingtaine d’euros chacun.Toutes deux enfilent un manteau court et moi mon blouson, Charlotte prend un sac en tissus et, comme il fait relativement bon, nous descendons à pied vers le centre ville. Charlotte nous conduit dans une petite rue ou se trouve une sorte de boutique qui propose la projection de vidéos pornos dans différentes salles plus ou moins grandes. C’est un vidéo-sex.-Je viens de temps en temps ici pour m’exhiber devant toutes sortes de mecs. C’est très excitant et je n’ai jamais eu de problèmes, ici tout le monde respecte tout le monde. C’est chaud, mais pas dangereux.Nous déposons nos manteaux à la caisse et entrons tous les trois. Les salles, au nombre d’une douzaine, sont plus ou moins spécialisées, pour personne seule, avec fauteuil, pour plusieurs, avec canapé et même une avec 5 télés diffusant différents films devant un canapé. Il y a une dizaine d’hommes répartis dans les pièces. Charlotte se dirige vers une pièce qu’elle connait, assez grande avec un lit au milieu et entièrement ceinturée de fenêtres avec des télés entre les fenêtres, il y en a cinq. Elle ferme la porte, se dirige vers les télés pour sélectionner différents film. Elle met un film homo, un film lesbien, un film de partouse, un film hétéro et un film zoophile sur lequel un cheval est entrain d’enculer une femme. J’avoue que la zoophilie est mon fantasme et que j’aimerai bien me faire enculer par un chien, un poney et un cheval. Je regarde donc cette femme avec un peu d’envie.-A poil.Tout le monde se déshabille, Charlotte sort un drap du sac et l’étend sur le lit. Nous mettons nos vêtements pliés dans le sac. Michelle se couche sur le dos et Charlotte se positionne en 69. Elles se broutent le minou. Moi je me branle pour bien bander. Je me présente derrière Charlotte qui, me sentant derrière elle, pointe son cul vers le ciel. Je lui badigeonne le cul de gel et présente ma bite devant. Je m’enfonce doucement en elle en la prenant par les hanches. Elle agite frénétiquement ses fesses et redescend pour permettre à Michelle de s’occuper de son clitoris. Je dénombre six têtes derrière les fenêtres, six hommes qui doivent se masturber en nous regardant. Michelle joui la première, elle était en manque. Charlotte résiste plus longtemps et c’est moi qui lâche le premier en me vidant en elle. Elle me suit de prés et éclate dans un grand cri sur la bouche de Michelle. Nous nous retrouvons tous les trois sur le dos, serrés l’un contre l’autre. C’est Michelle qui s’agite la première et vient vers moi. -Je peux m’occuper de vous ?-Bien sûr, vous pouvez faire ce que vous voulez. -Vraiment ?-Vraiment. Elle me retourne. Et me passe du gel sur le fion. Je soulève mon cul pour lui faciliter la tâche. Une fois mon cul bien lubrifié, un, deux, trois, quatre et puis cinq doigts viennent me titiller la rondelle. La main pousse un peu et s’enfonce doucement dans mes entrailles. Elle fini par disparaitre complètement et Michelle commence un pistonnage en règle, lent et ample. Elle enfonce son bras presque jusqu’au coude, le fait tourner, ouvre et ferme sa main dans mon tube, le tout toujours aussi lentement. Ca devient insupportable, j’aimerai qu’elle accélère, mais rien n’y fait, elle garde le même rythme. Je suis sur le point de jouir quand je sens une tête se glisser sous mon pubis et une bouche gober ma bite. C’en est trop, je joui dans un râle de plaisir. J’inonde la bouche de Charlotte qui n’en perd pas une goutte. Quand je suis redescendu sur terre, Michelle retire doucement son bras et m’essuie le gel qui coule sur mes couilles et mes fesses. Les fenêtres sont noires de monde, maintenant il y une petite dizaine d’homme qui nous regardent. Nous restons plusieurs minutes encore pour récupérer et nous sortons de la pièce, toujours nus avec nos vêtements dans le sac.Nous faisons un tour du propriétaire pour voir ce qu’il y a dans les pièces. De temps en temps, en croisant des hommes, je sens une main sur mes fesses ou ma bite. Michelle est entre Charlotte et moi, personne ne la touche. Dans une des pièces, deux hommes nus se caressent sur un canapé d’angle. L’un d’eux, de type maghrébin est monté comme un âne, son énorme sexe pend entre ses jambes, apparemment, il a du mal à bander. Il faut dire que son compagnon a l’air de ne pas savoir quoi faire. Au bout de quelques secondes, le maghrébin se redresse, se lève et quitte la salle ses vêtement à la main. Charlotte le regarde droit dans les yeux.-Un coup de main ?L’homme, interloqué, la regarde.-Je n’aime pas les femmes.
-Ok, mais mon ami peut s’occuper de toi.Il me regarde, semble me jauger et vient vers moi.-Avec lui, pourquoi pas.Il se retourne lorsque le deuxième homme sort de la pièce. Nous entrons tous. Charlotte sort du sac le drap et l’étend sur le canapé.-Tu t’appelles comment.-Aroub.-Et bien, Aroub, mets toi sur le dos.Je viens me positionner entre ses jambes que j’écarte. Je lui caresse un peu la bite et tente de la gober. Il est tellement gros que j’ai du mal à engloutir le gland. Ma langue s’active dessus et je sens son sexe gonfler doucement. Au bout d’un moment, je suis obligé de le libérer tellement il a grossi, il est maintenant bien raide et pointe fièrement vers son nombril, qu’il recouvre. Pendant ce temps, Charlotte m’a badigeonner le cul et sorti une capote. Michelle me formate le fion avec sa main. Une fois sa bite bien raide, j’enfile la capote sur son sexe, non sans mal, et me positionne sur lui. Je descends doucement dessus, le contact de cet énorme gland sur ma rondelle m’électrise. Je fais une pose de quelques secondes et commence à m’enfoncer cet énorme mandrin dans le cul. La progression est lente, mais sans difficultés particulières, Michelle m’a bien préparé tout à l’heure. Je fini par sentir ses couilles contre mes fesses. Je suis assis sur un mandrin d’au moins 25 cm de long sur 5 de diamètre, c’est une sensation extraordinaire que cette tige vivante palpitante dans mon cul. Pendant ce temps, Charlotte et Michelle se font plaisir en 69. Aroub pose ses mains sur mes hanches et me fait monter et descendre sur cette tige dure comme un morceau de bois. D’ordinaire, les mecs montés comme lui bandent plus ou moins mou, pas lui. Après ce que vient de me faire subir Michelle, je peux résister un peu, mais cet énorme sexe qui me parcoure les entrailles en dilatant mon sphincter et en frottant sur les parois intimes de mon corps me fait monter en pression assez vite. A bout de résistance, j’inonde son ventre de mon sperme. Lui n’a pas joui et continu de me pistonner. Il se dégage, me fait mettre à quatre pattes et me transperce de nouveau. Là, je subi plus que je ne participe, mais il a bien le droit de jouir. Je remarque que plusieurs hommes sont à la porte de la pièce et se masturbent, soit en me regardant, soi en regardant les filles. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je fais signe à Aroub d’arrêter. Il comprend et se dégage.-J’ai toujours beaucoup de mal à jouir, je ne sais pas pourquoi mais il me faut en général un bon quart d’heure, voir vingt minutes, et plusieurs partenaires pour y arriver.En entendant Aroub, un homme se déshabille, sort un tube de gel, se badigeonne le cul et vient se positionner en levrette devant lui. Aroub change la capote, le saisi par les hanches et s’enfonce en lui d’un seul coup sec et violent. L’homme se raidi mais ne dit rien. Il doit avoir l’habitude de gros engins dans le fion, car le traitement qu’il vient de subir à froid ferait hurler n’importe qui, à commencer par moi. Aroub le pistonne pendant un long moment, pendant qu’un deuxième homme s’est déshabillé, c’est enduit le cul de gel et se fait sodomiser par un troisième. L’homme enculé par Aroub se redresse, se dégage et vient présenter son sexe au bord de l’éjaculation au troisième homme qui le gobe et avale son sperme quand il se vide dans sa bouche. Pendant ce temps, Aroub s’est saisi des hanches du deuxième homme et lui a fait subir le même sort. Lui par contre hurle de douleur, tente de se dégager tout en restant empalé sur cette énorme bite. Les va et vient d’Aroub, sont amples, on voit son sexe sortir et entrer dans ce cul offert. L’homme commence à fatiguer quand j’entends les filles pousser leur cri de jouissance, elles se sont fait plaisir dans leur coin entourées de trois mecs qui se branlent. J’ai eu le temps de récupérer un peu, mon cul est toujours formaté pour recevoir Aroub alors, quand le deuxième homme se retire, je prends sa place. Aroub change une nouvelle fois de capote et m’empale d’un seul coup. Je ressens une petite douleur, mais étant déjà bien ouvert, tout ce passe bien. Aroub me lime le cul frénétiquement.-Oui, c’est parti, je viens, j’arrive.Il pousse un râle sourd et se crispe sur mes hanches, donnant des coups frénétiques sur mes fesses. Une fois calmé, il se retire, je vois un flash, me retourne, c’est un des hommes qu’Aroub a enculé qui prend mon cul en photo.-Holà mec, tu pourrais demander la permission.-Tiens, regardes, si tu veux, je l’efface.Il me montre la photo, on ne voit que le trou béant de mon cul encore largement ouvert. Impossible de savoir à qui il est.-Ok, tu peux la garder, dommage que je ne puisse pas avoir un tirage.-J’en laisserais un à la caisse la prochaine fois que je viendrais. Je préviendrais le patron, tu n’auras qu’à demander la photo du cul.-Merci.Nous sommes là depuis à peu prés deux heures et les filles commencent à vouloir aller ailleurs.-Aujourd’hui, il n’y a pas de femmes, c’est moins marrant. Allons faire un tour en ville. Peux-tu aller chercher nos manteaux.Je vais récupérer nos affaires et tend les manteaux à ces damas. Elles les enfilent sans s’être rhabillées. Elles sont nues dessous et nous sortons du vidéo-sex. Nue sous leurs manteaux, elles marchent aussi naturellement que n’importe qui, ce n’est pas la première fois qu’elles le font.-Vous faites ça souvent.-Le plus souvent possible, surtout en automne et en hiver, quand on peut justifier du port d’un manteau. Nous adorons avoir les fesses et le sexe au frais.Michelle marche devant, sa démarche accentue le mouvement du manteau qui de temps en temps laisse entrevoir le bas d’une fesse. Sa démarche est naturellement sensuelle et attire tous les regards. Nous arrivons dans un grand magasin de fringues. Il est sur deux niveaux. Michelle et Charlotte déboutonnent le haut de leur manteau pratiquement jusqu’à la taille. Cette échancrure laisse apercevoir leurs poitrines au moindre mouvement. Michelle se dirige vers une vendeuse qui lui tourne le dos et lui dépose un baiser sur le cou. La vendeuse se retourne surprise et un peu en colère quand elle la reconnait et lui tombe dans les bras. Elle me fait signe d’avancer.-Jean, je vous présente Réjane, une amie d’enfance et surtout mon premier grand amour. Elle est arrivée dans cette ville il y a six mois, nous nous sommes retrouvées par hasard la semaine dernière. Nous sommes toujours très proches, bien que nos rapports aient changé.-Bonjour Réjane.Réjane est hypnotisée par le décolleté de Michelle. Ses yeux ne le quittent pas. Michelle le remarque et, comme nous sommes seuls dans le coin, déboutonne entièrement son manteau et l’ouvre.-Oh mon dieu, tu te promène comme ça dans la rue ?-Oui et je ne suis pas la seule.Charlotte déboutonne aussi son manteau et l’ouvre devant Réjane. Celle-ci ne sait où donner de la tête, une fois en direction de Michelle, une fois en direction de Charlotte.-Qu’est ce que vous êtes belles toutes les deux.-Si mes souvenirs sont exacts, toi aussi tu es bien foutue, j’ai un souvenir ému de tes seins et de ton pubis bien rebondi.Réjane rougit, nous regarde d’un air timide.-Michelle !!-Prouve-nous que tu as un superbe corps.-Je veux bien, mais là, comme ça, je ne peux pas vous le prouver.-Qu’à cela ne tienne, tu n’as pas une pose de temps en temps ?-C’est passé, mais je fini dans vingt minutes.-Très bien, dans vingt minutes tu pourras bien essayer une robe avec des boutons devant et nous montrer comment elle te va ?-Tu es toujours aussi autoritaire qu’avant, mais pour toi je veux bien le faire, choisie une robe et vient me l’apporter. -Ok, à tout à l’heure.Charlotte reboutonne son manteau, du moins en partie, mais Michelle ne boutonne que les deux boutons au niveau de la ceinture. A chaque pas les pans de son manteaux s’ouvrent et dégagent les jambes pratiquement jusqu’en haut. On voit de temps en temps ses lèvres. Nous nous baladons dans le magasin. Je remarque de temps en temps des hommes et des femmes qui regardent Michelle avec plus d’intérêt que normalement. Devant des articles de cuisine, elle s’accroupie en écartant un peu les jambes pour regarder une pièce posée assez bas, son manteau pend de chaque côté de ses jambes et libère entièrement son sexe. Tout le monde dans l’allée en face peut plonger dans son intimité. Une femme en particulier semble plus qu’intéressée. Michelle se lève, se dirige vers elle et lui dit quelque chose à l’oreille. Elle nous fait signe de la main et se dirige vers les toilettes. -Je sens que je vais être cocue.-Je croyais qu’elle t’aimait.-Oui, elle m’aime, profondément même, mais c’est une lesbienne, et les lesbiennes, comme les homosexuels, ne sont que rarement fidèles. Ils aiment le sexe. De toute manière, je n’ai pas de leçon à lui donner, je l’aime moi aussi, ce qui ne m’empêche pas de faire l’amour avec plein de personnes. Elle le sait et l’accepte, comme j’accepte ses incartades, pas très nombreuse au demeurant. Au bout d’un quart d’heure, Michelle et sa compagne ressortent des toilettes complètement épanouies. Elles se séparent sur un baiser chaste et Michelle vient nous rejoindre.-quels seins et quel sexe, bon allons choisir quelque chose pour Réjane.Nous retournons au rayon fringues de Réjane et Michelle s’arrête sur une robe courte avec de gros boutons sur le devant. Réjane nous fait signe que l’heure de la fin de sa journée est arrivée. Nous descendons au rez de chaussée vers les salons d’essayage. Il y a pas mal de monde et Réjane commence à avoir des regrets d’avoir accepté le deal de Michelle.-Il y a trop de monde non ?-Non, tu nous as promis.Réjane entre dans le box le plus au fond du salon et tire le rideau derrière elle. Michelle ouvre un peu le rideau.-Je veux te voir te déshabiller, ça me rappellera le bon vieux temps.-Et pourquoi nous, nous serions privés de ce spectacle ?Réjane ressort du box, nous regarde un peu effrayée.-Je ne sais pas si je peux le faire, me montrer nue, pas trop de problème, mais me déshabiller devant vous, c’est peut être un peu trop. Michelle oui, mais vous et Jean, je ne sais pas.-Ok Réjane, fait comme tu le sens, tu vois, il n’y a presque plus personne. Entres dans le box et décides.Réjane entre dans le box, et après deux ou trois secondes, ouvre un peu plus le rideau. Nous pouvons tous les trois la voir se déshabiller. Elle enlève sa blouse du magasin, passe les mains derrière elle et zippe sa jupe qu’elle descend doucement. Elle regarde Michelle avec une expression sensuelle dans le regard. Elle se prend au jeu, et là, elle commence un streap-tease langoureux. Elle enlève doucement ses collants, son corsage, son soutient gorge, et fini par son string. Elle est nue devant nous, superbe, belle poitrine, ventre plat, sexe très bien entretenu avec juste une bande de poil sur le pubis qu’elle a magnifiquement rebondi. Elle a d’anciennes marques de bronzage sur le sexe, mais pas sur les seins. Elle se retourne pour nous monter ses magnifiques fesses hautes et rondes. C’est vraiment une très belle femme. Elle enfile la robe, ne boutonne que le bouton au niveau de la ceinture et sort du box pour se voir dans le miroir. Elle tourne sur elle-même faisant s’envoler les pans de sa robe et dégageant ses jambes, ses fesses et son sexe. Tout à coup, elle s’immobilise, va vers Michelle et lui pose un baiser sur les lèvres.-On s’est vu à peine vingt minutes depuis qu’on s’est retrouvé, tu me manque, tu peux te libérer pour qu’on puisse discuter un peu ?-Cela ne dépend pas de moi.-Ne t’en fait pas Michelle, tu peux prendre ta soirée, je suis invitée ce soir et je n’ai pas besoin de toi.-Merci madame, vas que rhabiller, nous allons passer la soirée ensemble.Réjane se jette dans le box et se change devant nous sans complexes. Elle va aux vestiaires pour pointer, laisser sa blouse et prendre ses affaires. Elle nous rejoint sur le trottoir devant le magasin. Michelle et Réjane nous embrassent et partent main dans la main visiblement heureuses de se retrouver.-Je vais avoir une concurrente.-Il faut savoir partager.-Tu as raison, de toute manière c’est chez moi qu’elle habite.-Tu ne serais pas un peu jalouse Charlotte ?-Peut être, j’avoue que j’aime de plus en plus cette fille et, bien que sachant qu’elle en a besoin, j’appréhende de plus en plus ses escapades. Oui, en fait je suis jalouse.Charlotte boutonne complètement son manteau.-Il fait quand même un peu frais pour être à poil sous ce manteau.Nous prenons le bus pour rentrer. Il est presque dix neuf heures.-Je te laisse, tu dois te préparer pour ta soirée.-Ok, je suis vraiment ravie de t’avoir rencontré chez Luc, au fait tu viens dans quinze jours, j’y serais ?-Je pense, je le saurais de manière sûre dans deux jours.-Très bien, prends ma carte, si tu veux qu’on se revoie, tu en as une ?-Oui.Je lui donne ma carte, et range la sienne dans mon portefeuille.-A bientôt j’espère.Nous nous dirigeons vers la porte. Elle me dépose un baiser sur les lèvres, je récupère ma voiture et je pars en lui faisant bun petit signe.Arrivé chez moi, je constate que j’ai déjà un message de Charlotte sur mon répondeur, j’ai oublié une revue que j’avais repérée chez elle et qu’elle m’avait donnée. Ce sera une occasion de la revoir.Je suis retourné au vidéo-sex ou j’ai récupéré la photo et fait pas mal de rencontre. Mi décembre, j’ai du subir une opération d’une hernie inguinale. Est-ce une conséquence logique ou un effet de mon inconscient, mais depuis j’ai de gros problème d’érection et ma libido a complètement changé. Je ne bande plus quand je me fais enculer, au contraire si je bandais, je débande. J’ai moins de sensations quand j’ai une bite dans le cul. J’aime moins le sperme, j’ai moins de plaisir à faire une fellation.J’espère que c’est passager, d’autant plus que hier, sur la plage, j’ai rencontré un homme que j’ai sucé et qui m’a enculé. J’en ai retiré un certain plaisir bien que j’ai débandé quand il m’a baisé et que je n’ai pas pu jouir comme d’habitude. Comme ils disent là bas, inch’allha.Je suis allé à la partie de Luc ou j’ai retrouvé tout le monde, y compris Michelle. Mais ceci est une autre histoire. Zooph34@gmail.com
