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Week-end chez Anne-so

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je viens d’arriver chez Anne-Sophie, avec un certain plaisir de pouvoir enfin me mettre au chaud et de retirer mon manteau. Nous sommes en novembre et, en bon temps d’automne qu’il se doit, dehors il fait froid et il pleut. Un vrai temps à rester enfermé à la maison. Connaissant bien l’appartement, je me déchausse et vais déposer directement mes affaires dans la chambre d’ami pour ne pas encombrer inutilement l’entrée. Mon hôte pour le week-end n’étant pas encore revenu de son rendez-vous professionnel, je ne m’attarde pas et repars braver le froid et la pluie pour aller visiter la librairie qui est à quelques centaines de mètres. Je ne me fais pas d’inquiétude, madame me connaît bien, elle sait où me trouver. Arrivé à la librairie, je jette un œil aux nouveautés sans trop d’intérêt, les ayant déjà plus ou moins aperçus dans ma librairie habituelle, et rapidement, je me dirige vers le rayon régionalisme de la boutique.
Quand je voyage, c’est un des rayons que je favorise, y trouvant souvent mon bonheur. Après avoir regardé plusieurs livres, je trouve mon bonheur à savoir un recueil de contes et légendes d’Alsace dans une bien belle édition. Je passe de longues minutes à parcourir le livre et, j’ai su tout de suite que j’allais repartir avec. Je continue à flâner dans la librairie, allant dans les autres rayons voir si je trouve d’autres coups de cœur. Au bout d’une bonne demi-heure, Anne-Sophie me rejoint. Nous nous tombons dans les bras, ravis de nous revoir. On ne s’attarde pas trop, car, crevé de sa journée, Anne-So voudrait rentrer se poser, ce que je comprends aisément. En rentrant, nous faisons un petit détour pour faire un passage au supermarché et prendre quelques courses, ce qui nous évitera d’avoir à ressortir. Enfin arrivés à l’appartement, je range les courses pendant que madame se met à l’aise.
Un peu de courrier à consulter et très vite, on se pose sur le canapé, un verre sous la main à discuter comme à notre habitude. J’aime la compagnie de cette femme, car tous deux aimons parler de l’actu tout autant que des ragots de nos entourages respectifs. Comme nous ne nous voyons pas souvent, la conversation va toujours bon train, allant d’un sujet à un autre.
On fini par avoir faim et, la flemme se faisant de cuisiner, on passe commande pour des sushis. Vu qu’il y a quarante-cinq minutes d’attente avant que ça arrive, Anne-Sophie décide d’allumer la télé pour se faire une série pendant que de mon côté, je m’éclipse pour aller aux toilettes. Je lui dis que je reviens dans un moment, connaissant tous les deux de ce que je vais faire. Je passe en effet aux toilettes, et ensuite passe dans la salle de bain où je retrouve la panière de linge sale. Je l’ouvre et y trouve posé sur le dessus l’objet de ma convoitise. S’étant changée en rentrant, Anne-So a changé de culotte et a laissé sur le dessus celle qu’elle a portée aujourd’hui pour mon plus grand bonheur. Je m’en rends compte, car en la touchant, je la sens encore légèrement humide au niveau du fond. C’est une culotte en coton blanc, simple avec une mini-broderie sur le haut.
Je repars de la pièce et pars m’installer dans la chambre d’amis, je me déshabille, ne gardant sur moi que mon T-shirt, je m’allonge sur le lit et pose la culotte sur mon sexe déjà tendu. Le fond de la culotte recouvrant mon gland, j’enroule la partie arrière de la culotte sur ma verge et commence les va-et-vient. Confortablement installé dans le lit, je ferme les yeux et me laisse aller au plaisir de me branler dans sa culotte. Je fais de doux va-et-vient, laissant le tissu librement glisser sur mon gland, tendu d’excitation grâce à mon imagination qui tourne à pleine vitesse. Je fais varier la vitesse des va-et-vient sur mon sexe, prenant toujours un peu plus de plaisir. Je commence à pousser des gémissements de satisfaction sans aucun complexe, Anne-Sophie connaît, accepte et laisse libre cours de profiter de cette habitude sexuelle chez elle.
Je me laisse complètement aller au plaisir, allant de plus en plus vite dans les va-et-vient, ce qui fait accélérer ma respiration et mon rythme cardiaque. J’aime ce cocon de tissu posé sur ma queue tendu d’envie, prête à jouir. J’entrouvre les yeux et vois qu’Anne-So est dans l’encadré de la porte à me regarder. Ça excite mon côté exhibe autant que ça lui plaît à elle de satisfaire son plaisir du voyeurisme. Je me tourne un peu, lui faisant face, je me place jambes largement écartées pour lui laisser une totale vue sur mon entrejambe. Je sais qu’elle ne se prive pas de tout regarder et ça me plaît. Je gémis de plus en plus à mesure que le plaisir monte, j’ouvre les yeux pour regarder madame qui est toujours là à regarder, je lui souris et finis par jouir, me délestant de plusieurs giclées dans la culotte, et accompagné d’un long râle de satisfaction.
Avec un grand sourire, madame se retire pour aller au salon pendant que je reste quelques instants allongé sur le lit, à finir d’apprécier ce moment, laissant finir les petits spasmes de mon sexe et prenant le temps de m’essuyer correctement. Je remets mes vêtements et rejoins Anne-So dans le salon.
— C’était bon ?— Grave, ça me manquait. T’as pas une culotte satin qui traîne des fois ? — Là non, mais si tu veux demain j’en mets une.— J’suis chaud alors.
Je prends en cours l’épisode et dix minutes plus tard, le repas arrive. Nous mangeons tranquillement, la discussion allant toujours bon train sur les ragots.
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