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Week-end chez Anne-so

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Une fois le dîner passé, la discussion va toujours bon train, mais surtout pour savoir sur quel passer. On parle de la série du seigneur des anneaux, mais les avis sont plus que mitigés. On dérive et finit par se dire que partir sur une valeur sûre ne serait peut-être pas plus mal. Au final nous partons sur la série The Crown. Nous l’avons déjà vue ensemble et on a vraiment beaucoup apprécié cette série. Ce sera donc un plaisir de la revoir. Juste avant de démarrer, organisation d’un petit plateau avec des bonbons et de l’eau pour rendre la soirée un peu plus douce. J’en profite aussi pour une pause pipi. En sortant des toilettes, je m’arrête devant la chambre de madame, je regarde son lit et ai une petite hésitation, j’ai une pointe d’envie de me faire plaisir. Anne-Sophie arrive et s’arrête en m’interrogeant du regard.
— J’ai envie de faire l’amour à tes pieds.— Là tout de suite ? — Si tu veux bien oui, j’ai envie de le faire sur ton lit.— Et la culotte du coup ? — J’en profiterai demain matin au réveil.

Anne-So hésite un peu et au final finit par accepter. Je la prends dans mes bras avec un grand sourire et lui dépose un bisou sur la joue. Nous entrons dans sa chambre et je la laisse s’allonger sur son lit, en laissant ses pieds dépasser légèrement en dehors. Je me déshabille et finis nu comme un ver, j’attrape un coussin que je pose au sol et m’agenouille dessus pour que ça soit moins désagréable pour mes genoux. Puis je me lance tout de suite, j’essuie un peu le dessous des ses pieds et commence directement à couvrir le dessous de ses doigts de pieds de bisous. J’ai très vite une érection et, d’une main je me caresse les bourses pendant que de l’autre je caresse ses chevilles. Je pose mon visage sur le dessous de ses pieds et prends un instant pour apprécier sur moi la douceur de sa fine peau sur la mienne. Je couvre de bisous cette peau que je chéris et remonte doucement vers ses doigts de pieds, zone que j’adule par-dessus tout.
Sans hésiter, je prends en bouche son petit orteil gauche, l’écarte délicatement avec ma langue pour le lécher un peu partout et passe ensuite à côté.
Un à un, je prends en bouche chacun de ses doigts de pieds, prenant soin de les couvrir au passage de coup de langue et de petits bisous. Je m’attarde particulièrement sur ses gros orteils que je suce avec amour et tendresse. Je commence à me branler, au même rythme que je suce ses orteils, ce qui me fait commencer à gémir de plaisir. Je ne me lasse pas de m’occuper ainsi d’Anne-sophie qui me regarde avec attention. Je reviens sur le dessous pour la couvrir de bisous pendant que je caresse le dessus de ses pieds. Mes lèvres glissent sur sa peau toute fine et je me branle de plus en plus vite, je ne me retiens pas de gémir, et souffle au passage sur ses pieds. J’ai envie que cela dure des heures, mais ça va vite devenir chiant pour ma partenaire.
Je viens à présent sur le dessus de ses pieds et continue à couvrir sa peau de bisous, de coups de langue, de caresses, je n’en peux plus de plaisir. Je reviens à nouveau sur ses orteils et, joignant ses deux pieds, je prends ses deux gros orteils dans ma bouche et les suce avec envie. Je salive dessus, ce qui facilite les va-et-vient dans ma bouche. Je m’arrête, me recule légèrement, regarde Anne-So et lui souris, ravi. Je me relève et m’avance contre le pied du lit. Je saisis les jambes de madame par les chevilles et les relève doucement pour porter ses pieds à hauteur de mon sexe tendu d’excitation. Je commence alors à caresser mon gland décalotté sur les doigts de pieds devant moi. La douceur de sa peau me fait frissonner dans tout le corps. Mais très vite, ne pouvant résister à l’envie, je glisse ma queue entre ses doigts de pieds et entame des coups de reins.
Anne-Sophie attrape ses jambes pour que je puisse me placer à ma guise. Je me penche en avant, prenant appui sur le lit, je me mets à faire des va-et-vient rapides, ce qui fait rapidement monter le plaisir. Je gémis et respire de plus en plus vite, j’adore par-dessus tout ce moment où j’approche de l’orgasme. Je me replace quelques fois entre ses pieds reprenant de plus belle mes coups de reins, et très vite, je finis par jouir entre ses orteils, déversant plusieurs jets sur ses chevilles et le drap. J’essaie de donner encore quelques coups de reins, mais je finis crispé par le plaisir qui me submerge. Je m’agenouille au pied du lit, vaincu par le plaisir que je viens de prendre, reprenant doucement ma respiration. Après une petite minute, je l’essuie de mon sperme avec un mouchoir et en profite pour redéposer quelques bisous et quelques caresses sur ses pieds.
Je remercie Anne-Sophie pour ce merveilleux moment puis nous repartons au salon. On s’installe confortablement chacun sous une couverture bien chaude et c’est parti pour la série de ce soir. Comme on connaît déjà la série, l’attention n’est pas totalement portée dessus et on discute un peu, surtout sexualité. On se confie tous ensemble, elle sait absolument tout ce que j’aime, mon fétiche des culottes et des pieds. Je connais tout autant la sienne, elle qui aime le sexe fait avec ardeur, on pourrait presque parler de brutalité, ce qui lui fait vraiment prendre du plaisir. C’est sûrement pour cela que ça ne colle pas entre nous deux, j’aime la douceur, la délicatesse et l’attention, alors que pour elle, il lui faut de la passion et de la fougue. Mais une chose nous rassemble, j’ai un penchant pour exhibitionnisme et elle a un penchant pour le voyeurisme. Après une discussion sur nos ex respectifs, la fatigue nous gagne et nous allons nous coucher. Je dis à Anne-So que je profiterai de sa culotte demain matin au réveil.
Après une bonne nuit de sommeil, je me réveille au petit matin, je vois à travers les volets que le jour se lève. J’en profite alors pour me lever, je vais aux toilettes et file à la cuisine boire un verre de jus d’orange. Au retour, je m’arrête à la salle de bain pour y chercher la culotte en satin qu’a portée madame hier. Je la trouve posée sur le lavabo. Je la prends et, pour une fois, je respire l’odeur du fond du vêtement, pour connaître un peu plus l’intimité d’Anne-Sophie. Ce n’est pas quelque chose qui m’excite particulièrement, mais c’est surtout de la curiosité. Je me dirige vers la chambre d’ami et, en passant devant la chambre de madame, je reste un instant devant la porte ouverte et regarde si elle est réveillée. C’est le cas et je me permets de venir la rejoindre. Je la salue et lui demande si elle a bien dormi, ce qui semble être le cas à ses étirements. Ne cachant pas ce que j’allais faire, je lui demande si je peux m’installer à côté d’elle sur le lit.
La réponse ne se fait pas attendre avec un grand sourire. Sans me faire prier, je retire mon short que je pose au pied du lit et m’allonge, face à madame sur sa couette. Je pose la culotte et commence à me caresser, sous le regard intéressé d’Anne-So. Je suis très vite assez dur et, j’écarte les jambes pour pouvoir me branler et alterner en me caressant les boules. C’est un vrai plaisir de pouvoir le faire devant elle, me laisser aller au plaisir, bien que solitaire, sous ses yeux qui n’en ratent pas une miette. Je me branle doucement, mon gland reste le plus souvent décalotté, ma main faisant les va-et-vient surtout sur la base de ma verge. Je m’arrête et me saisis de la culotte. Je l’applique comme à mon habitude et reprends le rythme de mes caresses. Il ne me semble pas que jusque-là, elle ait spécialement remarqué comment je place sa culotte sur mon gland. J’aime à ce que celui-ci soit caressé par le fond du vêtement, légèrement sali de petite trace blanche.
Je regarde Anne-Sophie dans les yeux et je sens que la douceur du tissu va vite me faire grimper au rideau. Je lui souris et commence à pousser des gémissements de plaisir. Sans aucune retenue, je lui partage à haute voix le plaisir de sentir sur mon gland la douceur du tissu. Je ferme les yeux et me focalise sur les sensations, ma main accélérant les va-et-vient, ce qui commence à me donner chaud. Je gémis de plaisir, excité de faire ça juste à côté d’elle sous ses yeux, je prends vraiment mon pied. Entre deux gémissements, je lâche dans un murmure « humm ouiii Anne-So » qu’elle n’a bien sûr pas ignoré. Elle me caresse la joue et m’encourage à tout donner, à profiter autant qu’elle le fait. Sentir sa main sur ma joue et entendre sa voix m’ont fait chavirer et, en quelques secondes, j’ai joui, déversant quelques abondants jets de spermes, ne retenant pas de longs râles. Je garde les yeux fermés, le souffle court, je m’arrête et reste comme ça, allongé à côté d’elle, rempli de plaisir.
Passé quelques instants, j’ai repris mes esprits, je la remercie pour ce merveilleux moment. On discute un peu, parlant de ce genre de moments que l’on aime. J’ai une totale confiance en elle et je me sens bien à ses côtés. Après une dizaine de minutes de discussion, je me relève pour aller prendre une douche. Une fois habillé, la journée s’est déroulée tranquillement, passant d’une série à une autre pour ne pas se lasser. L’heure de rentrer se faisant, j’ai profité d’une dernière séance de câlins sur les pieds d’Anne-so avant de partir. Un nouveau week-end va sûrement s’organiser, mais ça, ça sera une autre histoire, ou pas.
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