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Un week-end enchanteur

Chapitre 1

montée progressive vers le plaisir

Hétéro
Bonjour à tous et à toutes, ma première histoire publiée. J’aime écrire pour ma chérie, et elle me dit beaucoup apprécier... que je devrais essayer de publier.
Je ne pense pas avoir ce talent, simplement, une boîte à fantasme sans fond. Je souhaiterais donc partager mes histoires, afin d’avoir des retours et avis plus objectifs !
Ce récit est principalement fantasmatique, entrecoupé de choses que nous avons faites, ou aimerions faire.
Bonne lecture... Enfin, j’espère !
* * * * * * * *
C’est un samedi, nous sommes en week-end parental, sans enfants. Nous en avons profité pour descendre le long de la côte basque et prendre un hôtel proche de la plage et de la montagne. Aucun but précis, simplement de la détente, et probablement un peu de sexe aussi, nous sommes tous les deux d’humeur coquine.
Nous sommes allés nous balader sous les pins. Cet après-midi, il faisait bon à l’ombre. Mais après presque sept kilomètres, nous sommes rentrés pour nous reposer dans notre chambre, mais surtout profiter des installations de l’hôtel.
Confortablement installés dans le jacuzzi, nous discutons de notre programme de la soirée. Tu me fais part de tes envies : nous tombons rapidement d’accord sur notre programme : restaurant, puis promenade sur la plage pour digérer, puis... Nous verrons bien ensuite !
Pendant que nous discutons, je sens tes doigts sous l’eau effleurer mon sexe qui réagit immédiatement. J’adore ces petites caresses coquines. Puis tu te lèves, m’indiquant d’aller dans le hammam. Etant donné qu’il y a un peu de monde autour de nous, je suis obligé d’attendre de retrouver une posture un peu plus présentable avant de sortir de l’eau. J’en profite pour te regarder et admirer tes jolies courbes pendant que tu te diriges vers la porte vitrée, retenant toute la chaleur et la vapeur de notre prochain espace de détente. Avant d’entrer, tu te retournes et me lances un petit regard coquin... je suis pressé de te rejoindre.
Encore passablement excité, je sors rapidement de l’eau, et je me faufile rapidement à l’intérieur du hammam. La vapeur est dense, mais je te distingue rapidement sur ma droite. Il y a une autre personne dans le fond, sur la gauche, nous n’y faisons pas attention.
Je viens m’asseoir près de toi, tu te rapproches et te colles à moi. Tu es presque complètement de dos, tournée vers l’entrée, mon bras gauche peut ainsi se promener librement de tes seins à ta culotte... autant dire que je ne m’en prive pas. Nous ne pouvons être vus de la personne au fond, sinon comme un couple proche qui se câline. Pour faciliter mes mouvements, tu poses ton pied droit par terre, alors que le gauche est posé sur le banc.
Je glisse petit à petit ma main à l’intérieur de ton haut, je te caresse délicatement. J’adore empoigner ta poitrine à pleine main, je joue doucement avec ton téton qui durcit sous mes caresses. Puis, je descends vers ton entrejambe. Je sens ta tête qui se rejette doucement en arrière, alors que mes doigts atteignent, à travers le tissu, ton fruit désiré.
Je glisse le bout de mes doigts sur ton intimité, tout en t’embrassant tendrement. Je fais attention à ne pas rendre mes caresses et mon attitude trop remarquable, nous ne sommes malheureusement pas dans un lieu libertin. Je surveille tout de même la personne au fond, mais aucun mouvement n’est à signaler. Peut-être est-ce quelqu’un qui se repose les yeux fermés.

Me sentant en confiance, je décale doucement le tissu qui recouvre l’objet de tous mes désirs, et je viens enfin toucher directement de la pulpe de mon doigt, ta petite fente déjà bien humide. Je te sens te crisper, de plaisir, de peur d’être surprise, de soulagement, je ne sais pas. Peut-être, les trois à la fois. Je glisse le bout de ma phalange en toi, je ne sens aucune résistance, tant ton excitation est importante.
Je sens soudain du mouvement au fond du hammam, la personne présente se lève. Rapidement, je remets ton bas de maillot en place, mais je ne peux que laisser ma main sur ton entrejambe sans bouger trop brusquement, signe manifeste que nous souhaitons cacher quelque chose.
La personne se dirige vers la sortie, juste à côté de nous donc. Les lieux sont assez sombres, mais une fois la porte ouverte, nous pouvons voir de qui il s’agit, et réciproquement. Il se retourne pour fermer la porte, c’est un homme plutôt bien bâti, brun, les yeux clairs, probablement près d’un mètre quatre-vingt, manifestement sportif. Il nous regarde sans empressement, le sourire aux lèvres. Il faut dire que ma main est restée négligemment posée sur ton sexe. Avec un ton amusé, il nous souhaite une bonne fin d’après-midi? et referme la porte derrière lui :
— Dommage que nous n’étions pas au sauna coquin ! me dis-tu !
— Il te plaisait ?
— Oui, je l’aurais bien invité à se joindre à nous.
— A mon avis, si tu l’invitais, même sans être au sauna, il ne résisterait pas à tes charmes ma chérie.
— Il n’est peut-être pas célibataire...
— Raison de plus pour l’inviter ! Sa copine peut venir ! te dis-je, en reprenant mes caresses de plus belle.
Quelques instants de nos coquineries nous émoustillent trop pour que nous en restions là, tu me dis que tu as envie d’aller dans la chambre. Je n’ai pas besoin d’un dessin pour comprendre, nous sortons, enfilons nos peignoirs et allons vite retrouver notre intimité.
Je n’ai pas encore refermé la porte, que déjà, ton peignoir tombe à terre, ton bas de maillot le rejoint presque immédiatement... tu t’avances vers le lit, sur lequel tu poses les mains, tu te cambres, et m’offres ainsi une vue parfaite sur ton désir luisant d’excitation.
— Prends-moi, tu m’as trop excitée dans le hammam, j’ai envie de ta queue, viens vite !
Sans autre forme de préliminaire, que j’adore pourtant, je descends mon maillot de bain et avance vers toi, le sexe dur et dressé. Tu me regardes dans le miroir à côté du lit, je sais que tu aimes observer.
Je pose mes mains sur tes hanches, je te fais tourner délicatement, que nous puissions mieux nous voir tous les deux dans ce grand miroir mural. D’une main, j’attrape ma queue et je viens glisser mon gland à l’entrée de ta petite chatte, brûlante de désir et d’envie. Sans à-coup, très doucement je me glisse, en une seule fois, au fond de toi. C’est bon, délicieux ! Presque immédiatement, je sens des spasmes sur mon sexe, signe incontestable de ta grande excitation... je veux la faire monter encore plus pour déchaîner ton désir et ton plaisir...
— Alors, il t’a plu ce beau mec dans le hammam ? Qu’aurais-tu fait si on avait été au sauna coquin ?
— Je ne sais pas... j’aurais eu envie de le sucer...
— Hmmm, j’aurais aimé te regarder le sucer, jouer avec ta langue, pendant que je t’aurais léchée. Je t’aurais allongée sur le dos, écarté tes jambes largement, et je serais venu glisser ma langue sur toi, pendant que j’aurais enfoncé mes doigts pour te titiller je t’aurais regardée le sucer, aspirer son gland pendant qu’il t’aurait caressé les seins...
— Oh oui, vas-y, continue...
Doucement, j’entame de petits va-et-vient, je joue de mon gland sur l’entrée de grotte humide, je me glisse contre toi, et de temps en temps, d’un coup de reins plus appuyé, je m’enfonce en toi, t’arrachant un soupir de satisfaction.
— Après quelques instants, je lui aurais fait signe de venir prendre ma place, sa tête et ses mains entre tes jambes. Il serait venu te lécher à son tour, et j’aurais eu le droit aux douces caresses de ta langue et de tes lèvres sur mon gland, sur ma queue. Tu m’aurais aspiré avec entrain, pendant qu’il t’aurait procuré du plaisir avec sa bouche et ses doigts.
Je te donne un vif coup de reins, me glissant au fond de toi, te tirant, en plus de ton soupir, un spasme de jouissance.
— Enfin, je lui aurais tendu une capote, il l’aurait enfilé, et t’aurait prise, doucement, glissant sa queue au fond de ta chatte comme je suis en train de le faire. Tu te serais mise en levrette, il te prendrait pendant que tu me suces. Il y aurait peut-être eu du monde autour de nous, pour nous regarder. Quelques mains supplémentaires seraient venues te caresser les fesses et les seins. Je t’aurais demandé de te coucher sur le dos, et notre bel inconnu serait venu te prendre en cuillère, m’offrant le délicieux spectacle de sa queue te pénétrant doucement et glissant doucement tout au fond de toi.
Je te sens qui te resserres de plus en plus sur moi, ta main se crispe sur le drap, j’aime te sentir ainsi. Je regarde ma colonne de chair prendre possession de ton corps, je ressors mon gland, le glisse sur toi, puis doucement, je l’appuie sur toi pour forcer les douces portes de ton plaisir. Ta chaleur m’englobe, m’aspire, m’enivre !
— Après ces instants intenses, notre partenaire de jeu se coucherait sur le dos, tu viendrais t’empaler sur lui, et je me placerais debout à côté de toi, tu me sucerais et me branlerais avec vigueur. Lorsque tu l’auras fait jouir, je viendrais à mon tour te prendre en levrette, il resterait avec nous pour te prodiguer de douces caresses, peut être que d’autres seraient là aussi pour te caresser, tu t’offrirais physiquement à moi, et en spectacle à toute l’assemblée. Enfin, à mon tour, alors que tu croulerais sous les caresses, et que tu en rendrais certaines, je jouirais tout au fond de toi en même temps que toi.
— Oh oui, vas-y, tu m’excites à mort en me racontant tout ça, vas-y plus fort !
Dans la chambre, mes mouvements s’accélèrent, je regarde ma queue glisser en toi, luisante de ton excitation, j’adore ce spectacle. Je ne peux me retenir plus longtemps, mes sensations, la scène que je viens de décrire ainsi que les petits gémissements que tu pousses finissent de me mener à la jouissance et j’explose en toi, c’est une extase.
Nous allons ensuite dans la grande douche à l’italienne de la chambre, afin de nous doucher, et de nous rendre présentables pour le dîner qui nous attend. Nous avons choisi d’aller au restaurant de l’hôtel qui a une très bonne réputation, nous irons ensuite sur la plage ou directement en chambre, nous n’avons pas encore décidé.
Notre douche est lascive, mais sage. Pendant que tu te maquilles, penchée en avant sur le lavabo, j’en profite pour relever ta petite robe et te caresser les fesses. Ma main sur ta culotte, je te dis :
— Dommage que ce petit bout de tissu soit là, il risque de te donner chaud ce soir... Il fait encore largement plus de 25 et ça ne devrait pas trop descendre.
— Tu n’as qu’à me l’enlever alors, je le garderai dans mon sac au cas où !
— Tu es sûre, je veux dire que ça m’excite à mort, mais je ne veux pas te mettre mal à l’aise !
— Si je te le dis, ne t’en fais pas.
Je m’exécute et glisse cette fine pièce de tissu, rouge et dentelée, le long de tes belles jambes. En me relevant, je laisse ma main parcourir ta peau et mes doigts rejoignent naturellement le centre humide de ton plaisir, la situation te plaît à toi aussi.
Il est l’heure, nous sortons de la chambre, direction les escaliers, pour aller au rez-de-chaussée, puis la salle du restaurant. Une charmante hôtesse nous accueille et nous place. Très souriante, c’est agréable de se faire recevoir par une personne avenante. Elle nous demande si nous souhaitons prendre quelque chose en apéritif, comme à notre habitude, nous commandons une Piña-colada. Elle est très bonne et bien chargée en alcool. Elle nous émoustille tous les deux.
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La suite prochainement !
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