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week-end à la ferme

Chapitre 12

Zoophilie
"Vous êtes fou! le poney d’accord mais pas un cheval vous avez vu la taille de son sexe, il va me tuer" dit elle, l’assurance dont elle a fait preuve toute la soirée fond comme neige au soleil. Pendant que je réfléchis mes yeux se tourne vers Francine, et là je reste scotché de surprise, pendant que je parlais avec Suzette elle a ramper sous le cheval et a commencée à lui administré une fellation. Elle lutte pour faire entrer le gland dans sa bouche mais compte tenu de la grosseur de l’engin tous ses efforts sont vains, alors elle se contente de lécher, embrasser, titiller de la langue et masturber. Jamais je n’aurai cru qu’un jour mon épouse soit capable de faire ça. Si je lui en avait parlé avant elle m’aurait certainement traité de pervers et m’aurait dit d’aller me faire soigner, comme quoi avec les femmes il faut savoir être très patient et tout peut arrivé. En tout cas à entendre les hennissements du cheval il à l’air de fort apprécié le traitement que Francine dispense à sa tige."Si tu continues tu vas lui faire cracher son sperme"dis je à Francine."C’est ce que je veux""Attends on a mieux que ça pour lui faire plaisir à ton nouveau copain on va lui offrir une jument"Francine me regarde avec des yeux étonnés."Une jument et ou ça""Mais celle qu’on a dans la brouette, elle a une croupe de jument non! ça devrait faire l’affaire pour faire plaisir à ce bel équidé, il est en abstinence depuis trop longtemps il a droit a un dernier petit plaisir, tu crois pas""Ca c’est une idée démente, ok on va lui offrir" dit elle.J’avise une botte de paille qui traîne dans un coin et demande à Jacques de la rapprocher, une fois fait, nous saisissons Suzette et la déposons dessus en la couchant sur le dos. Elle beugle comme une folle."Jacques je t’en prie fait quelque chose, ne fais pas ça, nonnnn, ils sont fous je vais mourir"" Mais non, tu vas prendre le plus grand pied de ta vie, maîtresse Suzette" répond Jacques qui s’en va et revient avec une corde .Nous ficelons la future jument sur la botte de paille en prenant soin de lui immobiliser les bras, ses cuisses sont maintenues ouvertes par les barres qu’elles a entre les genoux et nous lui rabattons les chevilles que nous fixons au pied de la botte .Ainsi saucissonnée elle est complètement ouverte et offerte. Nous poussons le tout sous le ventre du cheval, c’est l’instant qu’attendait Francine elle se saisit du sexe chevalin et commence à frotter le gland sur la chatte béante, le contact fait hurler Suzette de peur."Non, non je vous en prie pas ça, nonnnnn" dit elle en sanglotant."Tais toi grosse chienne et apprécie le cadeau qu’on te fait" dit mon épouse. Elle délaisse un instant le sexe du cheval pour se jeter sur la vulve de suzette qu’elle lèche comme une folle s’attardant plus particulièrement sur le clito. Malgré sa peur au bout d’un moment Suzette commence à gémir, ma femme lui met alors deux doigts et la fiste à grande vitesse." c’est bon elle mouille cette salope, elle est prête" dit Francine.Jacques et moi ne bougeons les yeux rivés sur la scène. Francine attrape le gland et le frotte sur le clito bandé pendant un moment puis le presse sur les lèvres de la vulve, elle touille littéralement la chatte avec la bite de Faro, celui ci commence à donner des signes d’envie de copulation, il baisse ses antérieurs à rythme régulier pour envoyer son sexe en avant. Suzette continue de gémir puis soudain Francine prend le gland à deux mains et le bloque sur la chatte de toutes ses forces. Le coup de rein suivant le fait pénétrer dans la chatte béante. Suzette se met à gueuler comme une truie qu’on égorge. Le cheval a senti le contact de son extrémité pénétrant la muqueuse et envoie à présent des coups répétés, la bite gigantesque s’enfonce dans le ventre de Suzette mais de part la position des deux protagonistes il ne peut s’enfoncer sur toute sa longueur .Jacques en fin manuel me dit:"Là, à mon avis il lui met 30 ou 35 bon centimètres"Suzette pousse des râles qui nous prouvent qu’elle apprécie ce viol chevalin à présent et pour nous en donner la preuve elle gratifie chaque poussée de mots de son crû."Oui, enfonce la ta grosse queue de cheval, elle me fait du bien dans ma chatte, allez, vas y mon Faro prend ton pied avec ta salope de fermière, oh! putain que c’est bon! quelle bite! fais moi jouir, oui oui, ça vienttttttttt, regardez bien mes salauds je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii"Comme si le cheval comprenait ce qu’elle dit il redouble d’ardeur donne encore plusieurs coups, puis lache un hennissement prolongé et son sexe glisse de lui même hors du vagin. S’en suit une cascade de foutre qui s’écoule de l’orifice .Suzette terrassé par l’orgasme a plusieurs convulsions à chaque fois elle éjecte une quantité de foutre de son ventre. Nous la sortons de dessous le cheval,elle paraît totalement anéantie, ne bouge plus savourant le coït bestial qu’elle vient d’avoir.Francine qui ne me surprend plus désormais se jette entre ses jambes et lèche la vulve encore béante de la pénétration animale. Suzette a des soubresauts à chaque fois que la langue de mon épouse touche une terminaison nerveuse, elle gémit, râle comme si elle était en plein shoot. "Au moins t’auras baisé une dernière fois et pas n’importe quelle femelle en plus" dit Jacques tout en flattant l’encolure de l’animal qui hennit comme pour nous remercier..Toute cette scène me fait bander comme Faro ,je m’agenouille derrière mon épouse l’attrape aux hanches et sans prévenir je lui enfonce mon mandrin dans les reins d’une traite. Elle se retourne en me regardant et me dit:"Salaud tu me violes les fesses ,t’es bien dur alors tâche de me faire jouir au moins, allez éclate moi le cul avec ta bite mon gros porc" je lui pilonne le conduit anal aussi vite et fort que je peux.Jacques qui bande également se couche au sol sur le dos et me fait signe en me désignant sa bite puis ma femme. J’ai compris ce qu’il veut .Je me retire et ordonne à mon épouse de s’empaler sur le dard de Jacques ce qu’elle fait de suite sans aucune récriminations. J’attends qu’elle se soit bien emboîtée dessus puis je retourne à l’assaut, mais là elle ne s’y attendait pas. Jacques a passé ses bras autour d’elle et la tient fort contre lui, position qui rehausse ses fesses et me donne un accès idéal pour la sodomiser, lorsqu’elle sent mon gland sur sa rosette elle crie."Non pas les deux en même temps, vous allez me faire mal"
Trop tard, je suis déjà à moitié dans ses reins mais elle se raidit et bloque la pénétration, mon envie de la sodomiser étant la plus forte je lui assène une grande claque sur le fessier, sous l’effet de surprise elle relâche son sphincter un instant ce qui me permet de glisser jusqu’au fond du conduit"Salaud, t’es qu’un gros salaud, je te hais ohhhhhhh je vous sens tous les deux, vous me remplissez, c’est chaudddddddddd"Jacques et moi lui limons les orifices de concert."Bourrez là cette salope, elle en crève d’envie cette chienne c’est qu’une grosse pute" dit Suzette qui est à présent spectatrice. Francine se déchaîne, elle s’empale d’elle même sur nos bites, nous ne bougeons même plus Jacques et moi, nous contentant d’apprécier chacun le coulissement du fourreau sur notre membre et d’attendre la montée de notre plaisir."oh que c’est bon vos deux queues en moi, je vais jouirrrrrrr,je vous sent tous les deux jusqu’au fond de mon ventre,je veux votre semence, crachez la en moi, remplissez moi mes trous avec votre foutre, allez, allez, allez crachez mes salauds envoyez votre puréeeeeeeee"Je n’y tiens plus et lâche la mienne dans le cul de mon épouse, à la grimace que fait Jacques je vois qu’il en est de même pour lui."Oh putain c’est bon je jouis aussiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,je sens vos giclées de foutre qui se déversent en moi.Oui, oui, c’est trop bonnnnnnn"Sa jouissance terminée elle s’extirpe de nos bites et se penche sur nous pour nous nettoyez avec la langue les dernières gouttes de sperme. Je suis marié à la reine des salopes et je n’en savais rien."Je crois que vous pouvez me détacher à présent" nous dit Suzette."Te détacher, pas encore grosse vache, on n’en n’a pas encore fini avec toi. Tu vas encore jouir une paire de fois ce soir, on s’arrêtera quand tu auras la chatte en feu d’avoir trop joui ma salope. On va te faire connaître tes limites comme tu l’as fait pour nous" lui dis je. Nous reprenons notre expédition direction la grange, dehors la nuit commence à tomber accompagné d’une légère fraîcheur de début de soirée."Je vais chercher de quoi nous couvrir un peu" dit Jacques. Il revient avec 4 gilets que nous enfilons"Non pas pour elle, ça lui rafraîchira la chatte et les idées" dit Francine, et nous voilà partis. Nous arrivons devant la grange ou les chiens, sentant notre présence commence à aboyer."Ils ne sont pas méchants au moins" dit mon épouse légèrement inquiète."Tant que je suis avec vous, vous ne risquez rien" dit Jacques et il ouvre la porte, nous pénétrons à l’intérieur aussitôt les chiens arrivent sur nous."Couchez Zeus, couchez Apollon!" crie Jacques, les cerbères se calment de suite. C’est un capharnaüm de machines agricoles, tracteurs, moissonneuse batteuse, charrue , etc.........."J’ai froid" gémit Suzette, je la regarde en effet elle tremble un peu, ses tétons sont érigés et durs comme du granit. Je décide d’être bon prince, avise quelques sacs de jute traînant par là et la couvre avec."Tu pourrais aller chercher Sultan aussi ?" demandais je à Jacques."Oui bien sûr, pas de problèmes j’y vais, mais montez plutôt dans la cabine de la moissonneuse en m’attendant, je préfère on ne sait jamais" nous conseille t’il, ce que nous faisons de suite puis il s’en va. Les chiens se sont relevés et tourne autour de Suzette toujours couchée dans la brouette et qui ne dit pas un mot. Moi j’en profite pour faire un peu l’inventaire avec les yeux de tout ce qu’il y a d’entreposer dans la grange, je vois de petites choses intéressantes qui me donnent des idées pour la suite de la soirée. La porte se rouvre et Jacques apparaît accompagné de Sultan qu’il lâche dès qu’il est entré, celui ci court aussitôt vers ses congénères et les 3 animaux se font la fête apparemment content de se retrouver."C’est bon vous pouvez descendre" nous lance Jacques."Il commence à faire sombre ici" lui dis je."Pas de problème, je vais allumer les phares des engins" dit il. En effet peu après l’intérieur est baigné par une lumière crue qui donne une ambiance un peu fantasmagorique. J’explique à Jacques ce que mon cerveau a concocté pendant son absence."Oui, bonne idée, elle va en prendre pour dix ans " me dit il en rigolant. J’explique également à Francine ce qu’elle devra faire, elle approuve des deux mains. J’ai repéré un banc comme il y en dans les fêtes de village, jacques l’amène et le dépose au milieu de la lumière des phares, je prends les sacs de jute qui recouvre Suzette puis les dépose dessus. Jacques ramène les cordelettes que j’ai également repéré et en attache une à chaque poignet et chevilles de sa femme." Vous allez me faire quoi?" dit Suzette à Jacques."Tais toi tu verras bien, je peux te dire une chose c’est que tu vas jouir comme jamais à mon avis" lui répond son mari."Jacques tu me fais peur" lui dit elle."Mais non je ne te ferai pas de mal, juste une petite vengeance par rapport à toutes les humiliations que tu m’as fait subir"Les cordelettes posées nous sortons Suzette de la brouette et la déposons à plat dos sur le banc en prenant soin que ses fesses arrivent juste au bord d’une des extrémités, puis nous fixons les cordes des chevilles afin de lui écarteler les cuisses au maximum,ensuite après lui avoir ôter les bracelets de cuir à ses poignets nous en faisant de même. Elle se trouve dans la position du supplice de l’écartèlement dans la lumière blafarde des phares des machines, bras et jambes écartées au maximum son corps reposant sur le banc à partir du milieu des fesses."A toi ma chérie" dis je à Francine.Elle se saisit du pot de miel que nous n’avons pas manqué d’emporter et commence à en badigeonner copieusement d’abord les seins puis la chatte et la raie de Suzette, en enfonçant le plus loin possible dans ses orifices. Jacques qui retenait les chiens juqu’à présent les lâchen, ils partent directement en direction de la suppliciée pour la renifler tout d’abord. Tous les 3 nous nous installons sur un autre banc pour assister au spectacle, Francine se met assise entre nous.Sultan à qui l’odeur du miel n’est pas inconnu est le premier à lécher Suzette, il passe sa langue rugueuse sur un sein, dès qu’il attaque le téton turgescent cela tire un gémissement à la femme, ensuite c’est le rotweiler qui s’attaque à l’autre mamelle, lui à l’air plus brute et lèche à grande vitesse même réaction lorqu’il arrive sur le mamelon. Les deux chiens lèchent allègrement les protubérances mammaires qui tremblotent comme de la gélatine sous les coups de langue. Enfin le dogue rentre dans la partie et s’installe à la dernière place vacante, sa langue est aussi large qu’une main, il la promène sur la chatte de Suzette lui arrachant carrément des cris à chaque lapement, il fouille car il à l’air affamé enfonçant sa gueule entre les cuisses écartelées. Francine a saisi nos deux chibres dans chaque main et commence à nous masturber ses yeux rivés sur la scène. Suzette pousse de vrais râles de jouissance surtout lorsque le dogue qui la fouille allègrement touche son clito."Ahhhh j’en peux plus, c’est trop bon quelle fantastique idée Paul" dit elle Le dogue lui fouille la raie sa langue investit l’anus sans défense, Sultan qui a fini son sein arrive à la rescousse et entreprend de dénicher les dernières parcelles du nectar subsistant autour du clito, les langues des deux chiens qui lèchent ensemble sa raie déclenchent l’orgasme de Suzette, elle se tend au bout des cordes et remue comme un ver." Quelle jouissance! c’est génial c’est forttttttt ahhhhhhhhh ça revientttttttttttt ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh je jouis encoreeeeeeee" se met elle à gueuler.Jacques se lève saisit le pot de miel et va le vider sur le bas ventre. C’est la curée les 3 chiens se retrouvent entre les cuisses de Suzette se disputant le liquide ambré. Trois langues rugueuses fouillent sa chatte "ahhhhhhhhhhhh, je n’en peux plus enlevez les, ils vont me rendre folle, au secoursssssssss, ahhhh oohhhhh, nonnnnnnnn" et un nouvel orgasme la terrasseSultan qui paraît plus malin que les autres s’est couché sous les cuisses et fouille de sa truffe l’anus, en fait une partie du miel qui coule reste accroché à cet endroit avant de tomber au sol, sa langue s’en donne à coeur joie, s’immiscant entre les fesses pour aller fouiller au plus profond de l’étroit goulet."AHHHHHHH! j’en peux plus, s’il vous plaît, pitié, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ""Et un de plus, on doit en être à sept ou huit" me dit Jacques."Le temps de jouir nous aussi et on les rappelle, Francine tu nous suces mon ange?" dis je à mon épouse:"Avec plaisr le goût du foutre commence à me manquer " me dit elle.Elle s’agenouille au sol et nous demande de nous approcher de part et d’autre. Elle attrape une bite dans chaque main et commence une fellation, alternant les queues, pendant ce temps Suzette continue de brailler. Excités comme nous le sommes nous ne retenons pas longtemps notre jouissance et arrosons pratiquement en même temps le visage de Francine. De longs filets de sperme pendent à son menton et vont s’écrasés sur ses seins, elle ramasse le tout avec ses doigts et les portent à sa bouche, elle répète ce manège plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle ait tout ramassé."j’ai eu ma ration " et elle dépose un baiser sur chaque gland.Je lève les yeux sur Suzette, les chiens l’ont abandonnés ils sont tranquillement couchés dans un coin. Elle par contre semble au bout du rouleau, ses membres pendent au bout des cordelettes comme si elle était désarticulée. Elle a les yeux ouverts et pousse de puissants soupirs cherchant à retrouver le rythme normal de sa respiration." Alors ma chère Suzette comment vas tu? assez d’orgasmes pour aujourd’hui ou as tu encore envie de jouir""Non, non, Paul ça suffit je n’en peux plus , je suis à bout" me dit elle. "C’est bien toi qui a dit à mon épouse que être humain avait des ressources insoupconnées, il me semble"" Oui je sais, mais je suis arrivée au bout des miennes pour aujourd’hui""Pour aujourd’hui peut être mais nous sommes demain maintenant, regarde ma montre il est minuit dix, donc si je sais compter tu n’as pas encore joui aujourd’hui" lui dis je en souriant."Paul, tu es un vrai sadique""Pas plus que toi ma chère, je ne cherche qu’a te faire du bien comme tu l’as fait avec nous, donc prépare toi à de nouveaux orgasmes"
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