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Week-end de fou !

Chapitre 3

Final

Orgie / Partouze
Les idées commencent à s’embrouiller dans ma tête, c’est un peu normal quand on avance dans une ambiance autant saturée en sexe. Ce n’est pas une tension, loin de là, c’est même l’inverse, nous sommes dans une forme de béatitude presque crétine. La vie est tellement plus simple sans aucun tabou !
En revanche, se masturber ou se faire masturber, c’est bien beau, mais alors que nos réserves de sperme réduisent à vue d’œil, nos membres commencent à rougir un peu. Presque brûler. Nous sentons, Jean et moi, qu’il serait bon de lever un peu le pied, en tout cas pendant le dîner, pour s’économiser et ne pas se faire mal. Stéphanie elle, n’est pas de cet avis et continue à nous chauffer. Elle met la table, nue bien entendu, et s’amuse comme une folle.
— Pierre ? Je ne sais pas ce que j’ai fait des petites cuillères ? Ah si, elles étaient dans ma chatte !
Elle est survoltée. Ça fait du bien de s’alimenter un peu, ça creuse et c’est intéressant d’intégrer une étape normale dans notre aventure. Ça rend la chose encore plus ... naturelle.
Le dîner naturiste s’achève, je sors les bouteilles d’alcool : whisky, eau-de-vie, etc. Nous continuons à discuter et nous abordons très vite les expériences des uns et des autres. Stéphanie nous explique qu’elle a perdu deux fois sa virginité. La deuxième fois, c’est quand elle a réalisé que son premier amant avait une bite trop courte pour arriver à percer son hymen. Cette deuxième fois lui a ouvert les yeux sur le sexe et décidé à explorer cet univers de débauche. Jean est le premier homme qu’elle a rencontré depuis sa décision et elle reconnaît qu’elle n’est pas déçue. Jean de son côté nous raconte sa volonté de découvrir le libertinage et l’échangisme et sa satisfaction d’y parvenir ce week-end et dans ces conditions. Moi, je reconnais que la surprise est totale, mais excellente, et que je suis bien décidé à ne laisser passer aucune occasion de tout le week-end.
— Mais, Stéphanie, c’est quoi tes fantasmes ? Tes envies d’exploration ? — Je sais pas vraiment, je ne vois pas vraiment de limite. Si je pense ou découvre quelque chose, la première chose que je me dis, c’est : Ah ouais ? Qu’est-ce que ça apporte comme sensation ? Donc vraiment, pas de limite. — Donc là, si nous étions avec une autre femme, tu pourrais lui faire l’amour sans hésiter ? — Ouais, clair ! — Broutage de minou, léchage de seins, etc. ? — Ah, mais ouais, la totale ! En plus, c’est une fille, c’est pas pareil. Une fille c’est doux et sans risque. — OK. Et avec deux mecs, tu irais jusqu’où ? — Je sais pas, pour le moment, pas de limite envisagée non plus. — Donc être pénétrée par deux endroits différents en même temps, pas de souci ? — Oh, mais même pas la peine que ça se fasse par deux endroits différents, dit-elle en souriant malicieusement...
J’ai la bouche un peu sèche, je bois un verre. Jean a recommencé à s’astiquer et son crochet d’attelage est déjà prêt à l’usage ! Moi c’est pareil, je décroise les jambes et libère mon matériel. Stéphanie se décale au milieu du canapé et me fait signe de la rejoindre à sa droite. Je m’exécute tandis qu’elle saisit le sexe de Jean. Elle le caresse, il frétille. Je m’assois, elle s’empare du mien, le décalotte et le caresse du bout de ses doigts. Je frétille aussi. Jean caresse sa cuisse et fait rapidement glisser sa main entre ses jambes qu’elle écarte immédiatement. J’adore cette petite toison. Il la masturbe de manière experte.Moi je me penche sur elle et commence à embrasser ses seins. Je saisis son téton droit, je le mordille, l’aspire. J’attrape tendrement son sein gauche avec ma main droite. Le tableau doit être pas mal à regarder.
Elle s’incline vers Jean, et commence à lui faire une gâterie. Elle met beaucoup d’application à la tâche et il kiffe. Elle se retourne et m’attaque de la même manière. Que c’est bon ! Elle sait vraiment bien y faire avec sa langue. Tout est bien dosé : l’aspiration, la contraction de la bouche et les mouvements de la langue (le point le plus important d’une fellation). Jean se décale un peu plus vers la gauche, lui ouvrant le champ pour qu’elle se tourne et se retrouve à genoux sur le canapé, tournée vers moi. Elle lève son postérieur, écarte les jambes, continue à me sucer. Jean se redresse derrière elle, se positionne... Je sens le coup de reins transmis par la bouche de Stéphanie sur mon gland. Et Jean commence un va-et-vient doux et mesuré.
Ça y est, on y est ! Nous avons les couilles presque à sec et le fait de s’activer depuis 5 heures fait que nous sommes beaucoup moins sensibles et donc beaucoup plus endurants. On peut profiter de la douceur des caresses que nous offre le corps de Stéphanie à 150%. Stéphanie relâche ma queue et suit le mouvement de Jean qui, sans sortir de son corps, s’assoit sur le canapé. Elle est assise sur lui, lui tournant le dos. Je vois la bite de Jean qui rentre sans cette minette. Un vrai film ! Les deux me regardent.
— Allez mon vieux, je crois qu’il est tant que tu nous rejoignes, dit Jean en me souriant. — OK, donc pas de limite ? On est d’accord ? — On est d’accord. On tente et avise si ça le fait pas. — Bon !
Mon sexe est tendu et palpitant. Je m’approche. La pénétration vaginale me bloque l’accès à l’entrée des artistes, ça sera donc une double vaginale pour commencer. OK. Je m’avance, j’ai un peu le trac. Je mets une capote laissée sur la table basse depuis le jeu, Jean met un petit coup de reins de temps en temps et Stéphanie écarte ses lèvres avec les deux mains. Cet écrin est vraiment des plus accueillants !
Mon gland touche pour la deuxième fois de la journée la toison de Stéphanie, mais cette fois-ci, il ira plus loin. Aucune méprise possible ! Je caresse son clitoris avec mon gland, je frotte mon frein contre lui. Elle réagit, j’adore voir ça. Je caresse ensuite sa vulve toujours avec le bout de mon énorme gland. Elle feule. J’arrive en contact avec la tige de Jean qui continue son lent va-et-vient. Je m’arrête, elle est trempée, je pousse en avant, mets un coup de reins. Stéphanie laisse échapper un cri de surprise mêlée de plaisir. C’est magique, je goûte la douceur de son vagin dans une explosion de chaleur. Elle est brûlante ! ! !
Je me recule, je re-rentre, j’attaque un va-et-vient. Elle se tend, ses feulements deviennent des cris. Avec Jean, nous nous synchronisons, quand l’un rentre, l’autre sort. Le mouvement est lent, nous profitons tous les trois à 1000% de cette situation, on savoure ! On accélère le rythme, les cris continuent de plus belle, sentir son vagin se contracter autour de ma verge et en même temps le frottement du pénis de Jean sous le mien, la stimulation est très forte, j’ai les jambes qui commencent à trembler, mon visage contre le sien, j’embrasse Stéphanie dans le cou comme je l’ai déjà léchée plus tôt, je l’embrasse sur la bouche, nos langues s’entremêlent, et soudain, elle atteint l’orgasme, un orgasme bruyant, un qui ne se simule pas, qui exprime un plaisir intense.
Je me redresse et nous continuons à la pistonner en rythme, elle enchaîne un deuxième orgasme, puis un troisième, elle tremble de tous ses membres, elle rit, elle pleure, je sens que je vais exploser, je ne sais pas si quelque chose peut encore jaillir de ma bite, mais je me retire d’un coup, Jean aussi, nous n’avons même pas senti qu’elle nous avait gratifiés d’une nouvelle éjaculation, j’ai les jambes trempées, les pieds dans une flaque, je retire prestement mon préservatif et j’éjacule ce qui doit être ma dernière réserve. Ma semence s’écrase sur sa joue et sa bouche, Jean lui a déjà joui, dans son vagin, et une petite traînée blanche commence à couler d’entre ses lèvres.
Jean serre Stéphanie dans ses bras, ils s’embrassent, moi je m’affale dans l’autre canapé, la bite en feu et la tête qui tourne.
Putain ! Quelle soirée !
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