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Week-end à la mer

Chapitre 1

Hétéro
Nous sommes partis un week-end à la mer. Je voulais te faire connaître là où j’allais en vacances étant jeune. J’ai réservé une chambre face à la mer, avec une terrasse, arrivé dans la chambre, comme souvent on va sur la terrasse et on regarde, on a de la chance il fait beau, il y a du monde en bas qui se balade. Tu es près de la rambarde. Je vois des hommes jeter un œil, vers toi, normal, jolie blonde, yeux bleus, et en plus ils voient que tu as belle poitrine. Tu restes là à regarder la mer et les passants. Je retourne dans la chambre, déballé un peu nos affaires. Je te regarde, le léger vent fait voler ta jupe. J’ai une idée, je reviens accroupi, j’ai jeté un œil, personne n’a vue sur notre balcon, je le glisse à tes jambes, les mains remontent doucement, frôlant l’intérieur de tes cuisses, tu frisonnes. Je te dis bouge pas. Instinctivement tu écartes les jambes, mes mains attrapent tes fesses, les malaxe. Je passe sous ta culotte, caresse ton sexe, introduis un doigt, déjà humide ma chérie. Je prends ta culotte et la descends, tu lèves une jambe puis l’autre. Je jette ta culotte dans la chambre, maintenant à nous deux. Je le glisse bien entre tes jambes, toi tu continues à regarder la mer et les passants...
J’attaque avec ma langue, lèche bien tes lèvres, fouille entre-elles, mes doigts écartent tes fesses, mes index caressent ton anus, je déguste ce plat, hum, j’adore ta liqueur, m’attaque à ton clitoris, le titille, le suce, toujours aussi bon, j’en profite pour introduire un, puis deux doigts en toi, ton antre mouille bien, les doigts glissent facilement, je commence mon va-et-vient, tu ondules du bassin, mais ton buste reste impassible.
Tes mains se crispent sur la rambarde, quand je suis bien au fond de ton vagin avec mes doigts et que je les fais tourner, tu mouilles de plus en plus, je les retire, recolle ma bouche, pour boire ta liqueur, je tends mon bras en l’air, tu comprends te penche et les suces, et reprends ta position, au bout d’un bon moment tu gigotes de plus en plus, je me retire et vais dans la chambre, tu te demandes quoi mais attends, j’enlève vite fait mon pantalon et mon slip, garde ma chemise, reviens me colle à toi, d’en bas on voit que nos torses, ma queue bat contre ton cul, je soulève la jupe présente ma bite à l’entrée de ton antre, tu te cambres un peu, t’accoudes sur la rambarde, me facilite la pénétration, pas le temps de jouer avec mon gland, je m’enfonce dans un délicieux miel, je glisse agréablement, me cale bien au fond, te tiens les hanches, je bouge pas, nous faisons mine de regarder la mer, tu fais onduler ton bassin, ma bite suit le mouvement c’est trop bon, trop excitant mon jet viens te frapper au plus profond, tu te retiens de gémir, moi j’embrasse ton cou, pour jouir, j’ai envie de serrer tes seins, mais me retiens, je sens les contractions de ton vagin sur ma queue, tu jouis, ma bite, sort de ton trésor, tu fais demi-tour, va faire la chambre, reviens à quatre, pattes, attrape et gobe ma queue, la suce, la vide, ta main sur ton clitoris, tu te caresses pour continuer à jouir, à mon tour de faire l’indifférent face à la mer...
Nous allons manger au restaurant face à la mer, tu prends ton plat moi je choisis moules frites, toujours le premier soir à la mer, installés face à face nous avons bu l’apéro, nous attaquons le plat, les moules sont belles bien charnues, je te regarde dans les yeux, prends une belle moules, te la montre, tu souris, je la déguste en pensant à une autre que j’adore, pendant le repas nos jambes se frôlent, mais impossible d’aller plus loin, après le repas je te propose une balade vers la baie d’Authie, fleuve qui je jette dans la mer, c’est un peu comme dans la somme, les phoques ont squatté cette zone, pour les voir de près il faut aller au bout de la jetée, nous avançons avec précaution, c’est marée basse, donc pas de danger, mais il commence à faire sombre, arrivés au bout nous les regardons se prélasser, tu jettes un œil personne n’a suivi, tu me chuchotes à l’oreille, je veux mon dessert, tu t’agenouilles ouvre ma braguette, fouilles et ressort ma queue un peu molle, aussitôt tu la gobes, ta bouche délicieuse a vite fait de la faire grossir, ta main viens à ton aide, tu me branles doucement pendant que tes lèvres s’occupe de mon gland, tu accélères le mouvement, tu as vraiment envie de ta liqueur, soudain on entend des sons, mince, des cons qui ont la même idée, heureusement il fait sombre nous voyons que des ombres au loin, ils avancent en discutant, ta main et ta bouche accélèrent encore, tu veux pas perdre ton dessert, ta langue s’active, ta main mets le turbo, ta bouche me suce avec frénésie, ils ne sont pas loin, mais tu gagnes mon jet éclate dans ta bouche, tu avales suce encore, veux la dernière goutte, te redresse vite fait, ils sont là juste à côté, nous disent bonsoir, nous répondons, je te regarde dans les yeux tu souris, on a eu chaud, un peu de sperme et sur le coin de ta bouche, tu passes la langue pour le récupérer, claque ta langue, et dis pas mauvais le dessert...

Après notre nuit à l’hôtel, pas très reposante hihi, je t’emmène en balade de l’autre côté de B. vers Merlimont, une longue route si on va jusqu’au bout, mais j’ai une idée derrière la tête ; après 400m environ, le long de la plage, je te dis tu vois ici c’est une zone réservée aux nudistes. Ils sont souvent dans les dunes, je te dis on va voir...
Je ne suis pas du tout nudiste, arrivé en haut de la première dune, je te dis, on est obligé de se mettre à poil, tu hésites, mais c’est obligatoire. Je souris et te dis, t’inquiète on reste ici, on voit bien la plage, les gens qui passent, et si un nudiste passe dans les dunes, il ne verra que nous à poil, donc pas de lézard !
J’installe nos serviettes sur le sable, allonges toi ma douce, tu t’exécutes, je m’allonge face à toi de manière à avoir un œil vers la plage et derrière toi, toi tu verras derrière moi, en tout cas au début. On se rapproche, je t’embrasse goulûment, ma main commence son parcours caressant ta cuisse, ta hanche, ton ventre, frôlant ton sein, faisant plusieurs allers et retours, je mange ta langue, tu manges la mienne, elles s’agacent, se lèchent ; pareil pour nos lèvres. Ma main reste sur ton sein, le pétrit, le caresse ; je pince ton téton, l’étire, le tords, aussitôt il se dresse, je fais de même avec l’autre sein. Ta main aussi me caresse le torse, mon ventre, mon pubis ; je dis doucement ma chérie, laisse-moi un peu de temps. Soudain, nous entendons des gens discuter, je jette un œil, ils sont en bas de la dune, mince... Nous attendons, en fin de compte, ils repartent vers le bord de mer. Je ne perds pas de temps, même si ma main n’a pas arrêté de te malaxer les seins. Maintenant je descends ma main, caresse tes poils si doux, la tienne attrape mes testicules, les malaxe.

Cette fois je plaque ma bouche sur ton sein, je suce ton téton bien raide, nous sentons un léger vent, un peu de sable vient se déposer sur nous ; ma main se cale entre tes jambes, bien plaquée sur ton sexe, deux doigts te pénètrent doucement, caressant ton beau clitoris au passage... j’évite ainsi le sable de se coller à ton sexe. Tu mouilles bien, tu seras vite trempée, je m’active en toi, tétant ton sein avec force. Mais on entend une discussion qui se rapproche venant des dunes, vite fait de reprendre une position correcte. Arrivent un homme et une femme d’un certain âge, nus, qui passent pas loin de nous, indifférents à notre présence, passent et s’éloignent. Je te regarde dans les yeux, ils sont pleins de désirs et de plaisirs. J’imagine ton nectar qui s’écoule de tes cuisses, moi j’ai plié ma jambe pour cacher ma queue qui a bien grossi et la liqueur qui s’écoule du bout... Aussitôt disparus, je reprends mon travail sur tes lèvres si douces. Mes doigts te pénètrent à nouveau, j’ajoute un troisième doigt, mon pouce s’occupe de ton clitoris.
Cette fois tu es trempée, l’excitation donnée par le passage de ce couple et par mon travail j’espère...
Cette fois ta main ne prend pas mes couilles, tu attrapes ma bite et la branle, je quitte ton sein, t’embrasse à nouveau, on se masturbe mutuellement, nous accordons nos rythmes, mon ****** t’empêche de chanter ton chant de jouissance, au bout d’un petit moment j’ai trop envie, tant pis, pas de bruit très proche, je laisse ton sexe, me mets à genoux, te retourne, tes belles fesses se dandinent, humm tu m’excites encore plus. J’approche ma queue, mon gland à l’entrée de ton antre, je sais que tu es trempée et puis il me reste peu de temps... Alors je m’enfonce en toi d’un coup, quel délice, ton nectar lubrifie à merveille ton vagin, du miel si doux, je tiens tes hanches, coulisse en toi doucement, me retirant presque complètement à chaque coup et essayant de m’enfoncer plus à chaque fois. Tu mets une main sur ta bouche pour ne pas trop crier, mes jambes tremblent, ton vagin se contracte... heureusement car je vais cracher, ton bassin ondule, tu gigotes, mon jet gicle et te frappe bien profond, on entend des voix, je me retire rapidement.
On se couche, encore un couple nu qui passe et jette un œil mais continu sans s’arrêter de parler, ils disparaissent. Ma main caresse ton sexe, essuie le trop-plein, sperme et nectar qui s’écoulent, je mets mes doigts dans ta bouche, tu les suces. Après avoir sucé mes doigts, tu me dis reste allongé ; je me mets sur le dos, ta bouche vient gober ma bite, tu la suces pour avaler le reste de jus, ta main malaxant mes testicules comme pour les vider. Je me laisse faire, je ferme les yeux pour profiter, tant pis si quelqu’un arrive, moi je suis bien ! Je garde ma main sur ton sexe si doux, je sens le reste de nos liqueurs couler sur ma main, pour toi après ma douce...
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