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Week-end en Normandie

Chapitre 2

Une matinée bien fraîche, ou chaude...

Erotique
Nous restons au lit. Pour ma part, je redescends très lentement de mon petit nuage suite à notre petit jeu. Quant à Annie, elle m’observe, assez fière d’elle, sa tête sur mon épaule et sa jambe entre les miennes. Sa main sous mon t-shirt s’amuse avec les poils de mon torse.
— Je commence à avoir faim, me dit-elle. On va se prendre le petit-déj ?
A ces mots, Annie se lève, nue et se dirige vers la salle de bain.
— Une petite douche et on y va ?
Je la regarde devant la porte de la salle de bain, souriante. Je me lève aussitôt et la rejoins « Une douche à deux nous fera gagner du temps ». Elle me prend la main et m’attire vers la douche en disant « ou pas ». Nous entrons sous la douche, elle me regarde d’un air interrogateur... Je réfléchis à ce que j’ai oublié puis je la vois regarder mon torse. Satané t-shirt !!! Je le retire aussitôt et en retour, elle m’embrasse tendrement. J’en profite pour ouvrir le robinet d’eau chaude et prendre du gel douche. Je masse ses seins, les bras passent autour de mon cou, nos langues s’entremêlent. Mes mains glissent sur son dos puis sur ses fesses.
— A moi maintenant !! dit-elle en me faisant signe de me retourner.
Elle prend un peu de gel douche, je sens ses mains sur mon dos, sur mes épaules, puis elles descendent sur mes fesses.
— Copieuse !!
Ses mains passent sur mon torse. L’eau chaude de la douche ne refroidit pas nos ardeurs. Mes mains se posent sur ses hanches et l’une d’elles se glisse entre ses cuisses. Je l’entends gémir contre mon oreille.
— Tu crois que je vais te laisser jouer tout seul ? murmure-t-elle.
Elle ne me laisse pas répondre que je sens ses mains descendre sur mon sexe, qu’elle saisit sans hésiter puis elle commence à un lent mouvement de va-et-vient. Je ne tarde pas à bander... Je me dis intérieurement que je devrais sérieusement travailler sur ma concentration...
— A ce rythme-là, on va rater le petit-déj, lui dis-je.— Oh le petit coquin ! me susurre-t-elle à l’oreille en augmentant la vitesse de sa main.— Hmmmm, mais je... je ne pensais pas à ça !!!
— Ha, mais moi non plus !!! rit-elle. Je ne fais que te laver.
Je me retourne vers elle. Sans lâcher mon sexe, elle prend le pommeau de douche et me rince la verge.
— Voilà, tu es tout propre, et lui aussi.
Elle se penche et dépose un baiser sur mon gland, puis se redresse et me donne le pommeau. Je le saisis et rince ses seins sans manquer de bien les masser. Je la vois se mordre les lèvres. L’eau chaude coule sur son corps, ma main descend entre ses cuisses.
— Il faut une bonne hygiène pour bien profiter de la journée qu’on va passer.
Je dis cela en lui massant son clito. Elle gémit puis se retourne en me disant « Petit dej !!! On n’a pas le temps !!! ». Je rince son dos, ses fesses. J’en profite pour me coller à elle et l’embrasser sur le cou. Au contact de mon sexe contre ses fesses, elle pose ses mains sur le mur de la douche. Je ferme le robinet et lui dis « Petit-déj !!! ». Annie se retourne vers moi, me regarde droit dans les yeux...
— Alors tu me chauffes comme ça et tu stoppes tout pour le petit-déj... Ma vengeance sera terrible, dit-elle en souriant.
Elle sort de la douche en laissant glisser sa main sur mon sexe. Le passage de son doigt sur mon gland me fait frémir.
On se sèche puis s’habille. Je n’arrête pas de l’observer. Une fois nos affaires prêtes, on sort de la chambre. Annie passe devant moi.
— Tu sais que faire ce qu’on fait, vu la différence d’âge entre nous, tu fais un peu vieux pervers. Alors quand tu me regardes m’habiller.
Elle rit en me disant cela puis passe dans le couloir de l’hôtel. Je la regarde, lui saisis la main et l’embrasse.
— Je suis peut-être un pervers, mais cela ne semble pas te déplaire.— Je n’ai jamais dit le contraire.
Nous descendons pour prendre le petit-déj en rigolant, main dans la main. La salle est quasi pleine, mais nous trouvons tout de même un endroit face à face. Nous passons un agréable moment, on se demande ce qu’on pourrait faire de la matinée... enfin plutôt on se demande où on pourrait aller pour se retrouver seul, loin des touristes, car nous avons une petite idée en tête de ce qu’on va faire.
Le petit-déj fini, nous prenons la voiture et filons vers la côte et les falaises normandes. Vu la météo d’automne, il n’y aura pas grand monde et cela nous convient parfaitement. Arrivés à destination et une fois garés, nous sortons de la voiture, le vent et la fraîcheur matinale nous obligent à fermer nos blousons. J’ouvre le coffre et prends une petite bouteille d’eau au cas où une petite soif nous prendrait. Au moment de le refermer, Annie me demande si j’ai de quoi « m’équiper ». Je la regarde avec un air qui dit que je ne comprends rien à ce qu’elle me raconte...
— Oh l’équipement !! Oui, je vais en prendre. J’en prends combien ?— Tu me fais craquer quand tu es comme ça !!
Annie s’approche de moi et m’embrasse. Puis en me regardant dans les yeux, « prends en quelques-uns. ». Je sors la boîte de mon sac de voyage et j’en prends deux. Au moment de ranger la boîte, Annie la saisit et en prend deux aussi « On ne sait jamais. Il fait frais et il faudra qu’on se réchauffe ». Le coffre fermé, nous entamons notre petite balade sur la falaise. De la prairie à perte de vue, à part ce bunker un peu plus loin et pas un chat à l’horizon. D’un pas lent, mais régulier, nous nous dirigeons vers ce bâtiment et plus nous nous en rapprochons, plus nos pas s’accélèrent. Nous l’atteignons quasi au pas de course et une fois à l’abri du vent, nous éclatons de rire. Notre souffle repris, la visite du bunker commence. Il y a quelques salles, mais le sol est couvert de bouteilles cassées. Seule la salle où se trouvait le canon, dirigé vers la mer, est propre, mais très exposée au vent. Je me tourne vers Annie et l’embrasse en ouvrant son blouson. Elle fait de même avec le mien.
Nous nous regardons quelques instants puis nous nous embrassons. Annie déboutonne mon pantalon pour glisser une main dans mon boxer. Elle voit une petite contraction sur mon visage et s’interroge alors que je glisse une main sous son pull. Elle sursaute, nous éclatons de rire, nos mains sont très froides. Elle retire sa main de mon boxer et souffle dans ses deux mains avant de reprendre position...
— Nettement mieux, lui dis-je en soufflant moi aussi dans mes mains.— Faut pas qu’elle attrape froid, me dit-elle en saisissant mon sexe. Je vais la réchauffer un peu.
A ces mots, Annie se met à genoux devant moi, baisse mon pantalon et mon boxer...
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