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Week-end en Normandie

Chapitre 3

Dernier jour en Normandie

Erotique
Nos regards ne se quittent pas. Sur son visage, elle a ce petit sourire coquin qui me fait chavirer... Saisissant mon sexe de sa main, elle commence doucement à me caresser. Sa main est douce et chaude, et alors que de ma main, je repousse sa mèche brune qui lui cache un œil, Annie fait ressortir mon gland et l’embrasse, le lèche puis le prend en bouche. Sa chaleur buccale me fait gémir. Ca l’excite de me voir ainsi, ma main se glisse dans ses cheveux, mais je ne la force même pas. Elle glisse mon sexe plus profondément dans sa bouche tout en me branlant légèrement plus vite. Après quelques minutes de va-et-vient, Annie se redresse et m’embrasse.
— Moi aussi je veux que tu t’occupes de moi, me dit-elle sans quitter mon regard.
Ma main se glisse dans son jean, entre ses cuisses. Mes doigts passent sur ses lèvres humides pour finalement trouver son clito. Mon doigt passe dessus, le contourne, le masse, accélère... Je vois Annie fermer les yeux, gémir, se mordre la lèvre intérieure, elle est tellement sexy !!!
Sans retirer ma main, je la fais pivoter sur elle même afin qu’elle me tourne le dos, et de mon autre main, je lui baisse son jean pour coller mon sexe contre ses fesses. Puis ma main remonte sous son pull pour lui caresser un sein. Nous sommes alors face à la mer... Mes mains s’agitent, ses gémissements se font plus nombreux, plus forts. J’embrasse son cou, elle passe ses mains derrière ma tête, nos lèvres se trouvent, ses gémissements deviennent des cris de plaisir, de jouissance. L’orgasme l’envahit, ses muscles se contractent alors que ses forces abandonnent ses jambes. Elle tombe en avant, j’ai à peine le temps de bien la saisir... ma main entre ses cuisses, se repositionne, mais un doigt glisse en elle. Elle tombe à quatre pattes, je la suis dans sa chute... mon sexe collé contre son entre cuisses.
— Tu vas bien ?— Laisse-moi reprendre mes esprits s’il te plaît...
Je reste à genoux derrière elle, lui caressant le dos tendrement. Par l’ouverture béante du bunker qui donne sur la mer et l’horizon, je vois un couple de personnes âgées faire leur promenade du matin.
— Nous ne sommes pas seuls ce matin, il va falloir se rhabiller et quitter les lieux discrètement.
A ces mots, Annie s’allonge sur le dos, les yeux fermés, toujours sous l’effet de son orgasme, son pantalon au niveau des chevilles, sa poitrine à peine cachée par son pull. L’envie est trop forte, je me penche vers son entrecuisse, j’approche mon visage de ses lèvres pour y glisser ma langue. Annie commence à gémir à nouveau. Ma langue joue avec son clito et parfois elle glisse entre ses lèvres pour s’y insérer. Je sens le corps d’Annie se contorsionner, mais je ne retire pas ma langue. Soudain, sa main saisit mon sexe pour commencer à me branler de plus en plus vite. J’aime l’entendre gémir, cela m’excite, elle m’excite.
Sans prévenir, et dans un mouvement rapide, elle parvient à gober mon sexe. Je gémis de surprise et tombe sur le dos. Sa bouche ne lâche pas prise alors qu’elle effectue des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapide. Je gémis encore plus. J’arrive à pivoter un peu pour que mon visage se retrouve entre ses cuisses. Ma langue la pénètre à nouveau, accompagnée d’un doigt puis d’un second. Ma langue se replace sur son clito. Annie gémit, relâchant mon sexe, mais tout en continuant de me branler. Elle nous fait rouler, je me retrouve une nouvelle fois sur le dos, elle se redresse, collant sa chatte contre ma bouche, ondulant sur mon visage.
Elle glisse sa main dans une poche de son blouson pour en sortir un préservatif qu’elle m’enfile avec envie, puis elle pivote sur mon visage et recule son corps pour se placer sur mon sexe. Elle glisse dessus, mon sexe la pénètre. Nous gémissons ensemble. Ses mouvements de bassin se font de plus en plus rapides. Nous en avions tellement envie que nous jouissons rapidement. Annie saisit mes mains alors que nos gémissements s’entremêlent. Elle s’effondre sur mon, sans se retirer.
— Il faut qu’on quitte les lieux. Je pense qu’ils nous ont entendus, me dit-elle.
Annie se redresse doucement sur moi, puis se lève. D’un geste rapide, elle retire le préservatif. Nous nous rhabillons rapidement puis sortons du bunker. Nous croisons le couple qui nous salue. Nous les saluons également avant de vite nous éclipser.
Nous passons le reste de la journée à nous promener. Quand l’heure du départ arrive, nous arrivons à la voiture. Une fois le GPS programmé, nous prenons la route. La discussion tourne autour du week-end, de nos câlins puis nous abordons le programme de chacun pour les jours qui viennent. J’apprends que son planning sera bien chargé. De plus, je vais avoir quelques week-ends chargés moi aussi et nous comprenons que notre prochaine fois sera dans au moins un mois. Le silence s’installe dans la voiture, un mélange de déception et d’impuissance. Alors que les kilomètres défilent, la nuit s’installe.
— On fait une pause pour manger, me dit-elle ? Il y a une station-service dans quelques kilomètres.
Cinq minutes plus tard, nous nous garons face à la station-service. Il n’y a pas grand monde. On en profite pour manger au self, dans un triste silence. Le repas passe avec la musique de la radio de l’autoroute. Il y a encore des bouchons à l’approche de Paris. Si on décide de partir maintenant, on va vite se retrouver bloqué.
— Annie, si on part maintenant, on va finir le week-end dans les bouchons à l’entrée de Paris et sur le périph.— On ne peut pas y faire grand-chose malheureusement...— Il faut encore patienter une bonne grosse demi-heure.— OK, mais que veux-tu faire ici ? ...
Son regard croise le mien, je lui fais un clin d’œil.
— Il fait quand même assez nuit et le parking est très mal éclairé.— Tu es certain de ce que tu dis ? Je pense que nous devons aller vérifier l’éclairage au fond du parking.— En voiture ?— Oui, en voiture, il fait un peu frais et... c’est mieux quand il fait un peu chaud et qu’il y a de la bonne musique, autre que les infos de l’autoroute.
De retour dans la voiture, on se dirige vers le bout du parking, on se gare et j’éteins le moteur. Sans attendre une minute, Annie me chevauche et déboutonne mon pantalon tout en m’embrassant. Je baisse le dossier de mon siège.
— Mince, j’ai pas assez de place, dit Annie en ouvrant la porte de la voiture.
Elle sort du véhicule et se déshabille. Totalement nue, elle me dit de l’imiter... je me retrouve vite nu comme un ver. Elle s’installe sur moi, ferme la porte et met la radio. Mon sexe est déjà bien raide contre son corps. Mes mains sur ses seins, on se dit que le week-end n’est pas encore fini...
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