" Ça y est c’est le week-end.Vivent les super week-end." C’est mon réveil qui sonne, la voix de Lorie annonce assez justement le week-end qui commence. J’habite vers Chambery et ma cousine Lola vient passer les deux jours avec moi pour profiter de la montagne. Je profite de la matinée du samedi pour ranger et faire du ménage avec la radio allumée sur les informations [ça me motive pour m’activer d’entendre des politiciens qui ne font rien.]. Je l’appelle dans la matinée pour régler les derniers détails : Salut cousine Salut beau gosse, ça me fait trop plaisir qu’on passe le week-end ensemble ! Je voulais savoir si tu arrivais bien vers midi que je prépare le repas et te dire de prendre ton maillot, on ira sûrement se baigner à une cascade. OK pour midi et pour le maillot, ça fait longtemps que j’en ai pas mis, enfin surtout le haut... Hihi toujours la même. Elle sonne effectivement vers midi, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle fasse irruption avec son copain. Je pensais que son couple battait de l’aile, elle me l’avait dit il y a quelques semaines. D’abord, laissez-moi vous parler de ma cousine. Nous sommes très proches, mais depuis quelques années seulement. Nous n’avons pas beaucoup de souvenirs d’enfance, si bien que je la considère davantage comme une amie. Une amie très jolie : un visage d’ange, des seins incroyables, pas forcément très gros (85C), mais souvent libres de tout soutien. De jolies fesses et un ventre plat. C’est une femme libre, fraîche, drôle, simple et légère dans le bon sens du terme évidemment. Une sorte de babacool sexy sûre de son pouvoir de séduction, qui en joue, mais pas outrageusement. En général, elle n’est pas très pudique et avec moi encore moins. Si bien que je l’ai déjà vu topless l’été dernier ou en string quand elle s’est changée devant moi avant que nous allions faire du sport il y a quelques semaines. La première fois qu’elle s’est rasée, elle s’est empressée de me montrer son pubis, c’est à partir de ce moment que nous avons commencé à être proche tous les deux. Elle est souvent taquine, tactile, voire ambiguë, par exemple il y a quelques mois, lorsque nous parlons de sexe (ce qui arrive souvent), je lui ai dit que j’avais du mal à faire jouir ma partenaire du moment alors que je suis bien monté. Elle m’a palpé l’entrejambe une seconde et a confirmé en rigolant.Sans compter les fessées et les petites tapes plus ou moins innocentes que l’on se donne un peu partout.
Bref, nous sommes proches à tous les niveaux sans n’avoir jamais franchi de barrière immorale, bien qu’elle m’excite et que ça semble réciproque. Salut cousin chéri ! dit-elle en se jetant dans mes bras et en me faisant un câlin comme à chaque fois. Salut ma belle !... Et Théo, je ne savais pas que tu viendrais. Je n’avais rien de prévu ce week-end et quand Lola m’a dit qu’elle venait ici, pour se baigner à la cascade, j’ai trouvé que ça pouvait être sympa. Heureusement que j’ai entendu votre coup de file. Ouais, super... dis-je faussement emballé. Nous mangeons ensemble puis nous partons nous balader comme je l’avais prévu initialement. Nous allons nous baigner à une cascade [elle existe vraiment, peut-être que je vous dirai où c’est...]. C’est un endroit assez isolé, l’eau est fraîche, mais on peut se baigner, même si nous sommes en été et qu’il fait chaud, il y a suffisamment d’eau, ce qui peut ne pas être le cas au mois d’août. C’est un véritable plaisir de voir ma cousine en maillot de bain bleu, moulant et collant à sa peau. Ses tétons légèrement visibles grâce à l’eau froide. On pourrait même voir ses poils tellement le maillot était fin et moulant, enfin s’il y en avait... Nous profitons de l’eau et de l’endroit paradisiaque, enfin surtout ma cousine et moi, car son copain est en retrait comme souvent. Je ne vois vraiment pas ce qu’elle lui trouve. Je regarde mon téléphone quand je vois deux appels en absence de Cindy, une très bonne amie, qui d’ailleurs a beaucoup de points communs avec ma cousine, tant physiquement que dans l’état d’esprit. Allo, ça va Cid ? Moui pas trop mal... Oula, raconte-moi ! J’ai quitté Antoine, même si je ne l’aime plus, ça fout un coup quand même. Ah mince, on en avait déjà discuté et je pense que tu as pris la bonne décision ! Oui, je doute quand même, j’hésite à le rappeler pour faire machine arrière... Ne fais pas ça ! Tu te plains de cette relation depuis bien trop longtemps. Tu sais quoi, viens manger chez moi ce soir ! Il y a ma cousine dont je t’ai tant parlé et son copain ! Ah oui celle qui me ressemble trop avec son copain qui ressemble à Antoine ?! Oui c’est elle ! OK à ce soir, j’arrive vers 19h30. Nous partons de notre endroit paradisiaque toujours dans la bonne humeur et la légèreté pour ma cousine et moi, et son copain suit toujours en retrait. Je me demande vraiment pourquoi il est venu.Nous allons faire quelques courses pour le repas de ce soir. Cindy arrive un peu en retard, comme d’habitude. La soirée se passe bien, les deux filles se sont très bien entendues comme je m’en doutais. Et au fait pourquoi tu as rompu ? demande ma cousine qui n’avait pas l’historique. Notre histoire était devenue une sorte de coloc. Il faisait ces trucs de son côté et moi du mien. Et surtout au lit c’était pas dingue, aucune passion, aucune folie et j’ai besoin de vibrer plus que ça. Je comprends tout à fait ! Elle jette un petit regard à son copain qui est sur son téléphone et qui n’a pas suivi la conversation. Vous allez me faire déprimer ! Je vous ressers un verre et on danse ! dis-je d’un ton jovial en allumant de la musique. Il n’y a plus rien à boire ! Ah mince, nous aurions dû en prendre plus, tant pis, on va danser ! Et nous terminons la soirée assez rapidement après de bons moments. Cindy part vers minuit, elle n’a pas beaucoup bu, donc elle peut conduire. Le lendemain, nous faisons une grasse mat, enfin surtout Théo, ma cousine et moi nous sommes levés vers 10h et lui vers midi. Mon appart n’est pas très grand, donc j’ai dormi sur le canap et eux dans ma chambre. Je suis toujours en boxer, car je ne peux pas accéder à ma chambre pour me changer sans réveiller Théo, et apparemment, il ne vaut mieux ne pas le couper dans son sommeil. Nous profitons de ce moment pour discuter et rattraper le temps perdu depuis notre dernière rencontre. Pour les mêmes raisons que moi, elle est toujours en pyjama : un petit short et un débardeur fin sans soutif, autant dire que je ne suis pas pressé qu’elle s’habille. Quand tout le monde est prêt, nous allons en ville pour nous balader et manger. Ensuite nous allons dans un parc, dans un petit renfoncement très joli où nous n’avons croisé personne. Ils sont rentrés chez eux en fin d’après-midi. Le soir en me couchant, j’ai dit à haute voix [oui je parle souvent tout seul] : ’’c’était sympa, mais ça aurait pu être mieux...’’
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