« Ça y est, c’est le week-endVive les super week-end »Grrr c’est quoi cette radio qui passe tous les deux jours du Lorie et surtout un lundi pour commencer la semaine...Je suis un peu grognon ce matin, j’ai mal dormi. Je suis un peu à côté de mes pompes. Je vais au travail, comme tous les lundis, même s’il y a beaucoup moins de monde sur la route que d’habitude. Aucun bouchon, si bien que je suis largement en avance. Quand j’arrive devant le portail de l’entreprise où je bosse [je suis comptable dans une PME, mais ce n’est pas ce qui vous intéresse], je suis surpris de voir qu’il était fermé... Je regarde mes mails, voir si j’ai loupé une info de mon chef, rien. Et je vois sur le téléphone qu’il est indiqué : ’’samedi 17 août’’, ce que je n’avais pas remarqué plus tôt... Bizarre, il doit déconner. Je le redémarre, pareil. J’allume la radio de ma voiture (j’aime bien être au calme le matin et encore plus ce matin avec la mauvaise nuit que j’ai passée), j’écoute les infos et ce sont les mêmes que samedi matin quand je faisais le ménage... Je ne sais pas trop comment réagir, je confirme encore en regardant mon téléphone puis je rentre chez moi. Allo Cousine. Salut beau gosse, ça me fait trop plaisir qu’on passe le week-end ensemble ! Hein ?! Mais ça tu l’as dit avant-hier... Quoi ?! ça doit faire au moins deux semaines qu’on ne s’est pas appelé... Euhhhh OK. On fait quoi du coup ? Je me dis que j’ai peut-être rêvé le week-end précédent, je reprends donc la conversation d’avant-hier. Je voulais savoir si tu arrivais bien vers midi que je prépare le repas et te dire de prendre ton maillot on ira sûrement se baigner à une cascade. OK pour midi et pour le maillot, ça fait longtemps que j’en ai pas mis, enfin surtout le haut... Hihi toujours la même... Encore... Elle sonne effectivement vers midi, mais cette fois je m’attends à ce qu’elle fasse irruption avec son copain... Salut cousin chéri ! dit-elle en se jetant dans mes bras et en me faisant un câlin comme avant-hier.
Salut ma belle !... Et Théo... Encore dis-je à voix basse pour moi uniquement. Je n’avais rien de prévu ce week-end et quand Lola m’a dit qu’elle venait ici, pour se baigner à la cascade. Jai trouvé que ça pouvait être sympa. Heureusement que j’ai entendu votre coup de file. Ouais, super... dis-je faussement emballé. La suite du week-end se passe comme le dernier, avec beaucoup de ’’déjà vu’’. J’ai été un peu absent, je ne savais pas vraiment comment réagir. Lola l’a remarqué et nous en parlons dimanche matin en pyjama : Tu as été bizarre ce week-end ! Euh oui, j’aimerais bien t’y voir... Comment ça ? Non rien c’est trop bizarre. Bah raconte au lieu de mater mes nichons ! dit-elle en rigolant et en se prenant les seins en main. Haha c’est toi qui es trop sexy aussi avec tes tétons qui pointent ! Petit obsédé ! J’imagine que ça n’arrange rien si je fais ça ? dit-elle en rigolant et en tirant sur son haut pour augmenter le décolleté. Non en effet ! Mais calme-toi parce que je suis en boxer et ça serait bizarre que je bande devant toi ! Et encore plus devant ton copain quand il se lèvera... Ça ne serait pas la fin du monde ! Enfin devant moi parce que devant lui, ça risquerait d’être bizarre en effet ! Je pense qu’il serait choqué, il est un peu coincé ! Alors que toi, tu ne l’es pas trop... cochonne ! On est deux cochons alors ! J’imagine qu’on n’est pas de la même famille pour rien alors ! Hi hi je vais aller prendre une douche. Je t’appelle si j’ai besoin que tu viennes me frotter le dos ! Tu oserais ? Tu oserais ! Tu oseras ?
Quelques minutes plus tard, elle m’appelle de la salle de bain : COUSINNN ! J’ouvre légèrement la porte sans regarder à l’intérieur : Alors tu viens me frotter le dos ?! Tu es sérieuse ? Je ne suis pas très souple, tu sais... C’est pas ce que m’avait dit Quentin... [un de ses ex] Ahhh oui Quentin... Je suis souple des jambes, mais pas du haut du corps... Alors tu m’aides ? OK si tu insistes... J’entre et vois qu’elle était de dos dans la douche à l’italienne. Alors ?! dit-elle en se trémoussant les fesses et en me regardant. Je pris le savon et lui lave les épaules, le dos et les fesses. Tu es belle cousine ! Mer... Tout à coup, on toque à la porte, ce qui nous fait sursauter tous les deux : Lola c’est toi ? Je crois que je t’ai entendue crier tout à l’heure, tu m’as réveillé. Je peux rentrer ? Euh oui c’est moi, mais prends-moi une serviette dans la chambre avant de venir. OK ! Après quelques secondes à rigoler, je sors discrètement pendant que Théo cherchait le fameux bout de tissu. Je n’ai pas vu plus que le dos et les fesses de ma cousine, mais ce fut déjà très érotique ! Quelques minutes plus tard, je suis dans ma chambre en train de choisir mes vêtements lorsque ma cousine entre enroulée dans ta serviette blanche qui contraste avec son teint bronzé. C’était limite tout à l’heure cousine ! Oui pas faux, mais c’était drôle ! En effet, mais on aurait moins fait les malins s’il était rentré ! En même temps, on faisait rien de bien méchant ! J’avais quand même ma main sur tes fesses... Oui d’ailleurs, j’ai dû finir de me laver toute seule à cet endroit... Dommage pour toi... Bon file de là que je me change, même si je sais que tu aimerais rester ! Pas faux ! dis-je en sortant. Une fois tout le monde prêt, nous retournons dans le parc d’hier, où il y a encore eu beaucoup de déjà-vu. Je profite de la soirée pour réfléchir seul à ce que je peux faire de ce phénomène, autant tirer parti de la situation.Pour garder en mémoire ceci, j’écris mes prochains jours, enfin mes prochains week-ends si tout ça continue, ce que j’espère. Parce que c’était sympa, mais ça aurait pu être mieux...
