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Un week-end sans fin

Chapitre 4

Inceste
—‌ « Ça y est, c’est le week-end.
Vive les super week-ends »
Finalement, je l’aime bien cette chanson ! Petite vérification sur mon téléphone, c’est bon, encore et toujours samedi. Je me lève pour faire quelques courses pour un bon repas.
— Salut cousine.— Salut beau gosse, ça me fait trop plaisir qu’on passe le week-end ensemble !
Comme la fois précédente, je m’arrange pour que Théo ne soit pas là.
— Qu’est-ce que tu nous prévois ?— Surprise ! Tout ce que je peux dire, c’est qu’il va faire très chaud !— J’aime bien les surprises ! C’est noté pour la température, je mets une robe.
Nous retournons à la cascade pour faire un pique-nique, toujours dans la bonne humeur et la légèreté, au bout d’un moment, je propose :
— On se baigne ?— Euhhh c’est tentant, mais je n’ai pas mis de sous-vêtements...— Hi hi ça ne m’étonne pas trop de toi !— Comment je dois prendre ça ?! demande-t-elle, faussement outrée.— Très bien, t’inquiète ! J’adore ton côté pas de prise de tête qui se fout de tout ou presque ! Qui assume son physique, même si c’est beaucoup plus facile d’être impudique avec le corps que tu as ! En plus, il n’y a jamais personne ici ! Je montre l’exemple ! Qui m’aime me suive ! dis-je, taquin.
J’enlève mon boxer avec ma cousine dans mon dos, puis entre dans l’eau fraîche.
— Bon OK joli cul, je ne vais pas te regarder te baigner ! Tu es sûr qu’il n’y aura personne ?— Oui je t’assure !— OK je te fais confiance ! dit-elle en enlevant sa robe simplement et sans se cacher.— Waw ! Tu es magnifique !— Merci cousin !— Tiens, tu as des piercings aux tétons toi maintenant ? demandé-je faussement surpris.— Oui je me les suis faits il y a un mois environ pour l’anniversaire de mon copain. Je ne te les avais pas montrés ?!— Nope je m’en serais souvenu !— C’est cadeau alors !— Waw c’est très sexy ! Et Théo, il en pense quoi ?— Il n’aime pas trop, il trouve que ça fait vulgaire... Mais tant pis pour lui, moi j’aime bien !— Il a tort ! C’est très joli, j’adorerais avoir une copine prête à faire ça pour moi...— Merci ! Je suis contente que ça te plaise ! T’en fais pas, tu la trouveras !— Mouais, j’espère... J’aimerais une nana comme toi, enfin qui ne soit pas ma cousine... Tu es vraiment la femme parfaite !— Oh c’est chou ! Si on n’était pas à poil, je te ferais un câlin !— Euhhh pour l’instant, j’arrive bien à me contrôler, merci l’eau froide, mais pas sûr que ça continue si tu me fais un câlin...— Hihi dommage pour toi alors...
C’est l’heure de l’appel avec Cindy :
— Allo, ça va Cid ?— Moui pas trop mal...— Oula, raconte-moi !— J’ai quitté Antoine, même si je ne l’aime plus, ça fout un coup quand même.— Ah mince, on en avait déjà discuté et je pense que tu as pris la bonne décision !— Oui, je doute quand même, j’hésite à le rappeler pour faire machine arrière...— Ne fais pas ça ! Tu te plains de cette relation depuis bien trop longtemps. Tu sais quoi, viens manger chez moi ce soir ! Il y aura ma cousine dont je t’ai tant parlé !— Ah oui, celle qui me ressemble beaucoup avec son copain qui ressemble à Antoine ?!— Oui c’est elle !— OK à ce soir, j’arrive vers 19h30.— Bon cousine, il va falloir que tu te rhabilles, dis-je, encore un peu troublé par sa nudité.— Tu ne préfères pas que je reste à poil ?! dit-elle en rigolant, complètement à l’aise pour sa part.— Je... euhhh.
Je ne sais pas quoi répondre, je suis un peu déstabilisé par son naturel et son impudeur avec moi.
— Ça va, pas besoin d’en faire toute une histoire, on a déjà partagé des moments comme cela, dit-elle en se rhabillant simplement.— Oui enfin je ne t’avais jamais vue complètement nue avant aujourd’hui, mais ça ne me gêne pas ! C’est plus que ça me trouble...— Rhoo c’est mignon !
Nous arrivons presque en même temps que Cindy. Nous préparons à manger et commençons une très bonne soirée.
— Bon c’est pas tout les loulous, on se marre bien, mais je dois y aller, j’ai un repas de famille demain...— Ohhh c’est dommage ! Je commence juste à comprendre pourquoi mon cousin t’apprécie autant !— C’est gentil ! Et moi aussi j’aime bien votre compagnie, on a plein de points communs. Mais mon frère revient demain matin et je veux être là pour l’accueillir.— OK pas de souci !— A bientôt !— A très bientôt même, dis-je avec un sourire dont moi seul comprends les sous-entendus.— Je crois que son départ m’a un peu coupée, je suis fatiguée, je vais prendre ma douche et me coucher, dit ma cousine.— OK j’irai après.
Elle revient dans ma chambre (je suis sur mon lit) en peignoir et déclare tout en se séchant les cheveux :
— C’est dommage qu’elle soit partie, elle est vraiment sympa Cindy ! Et jolie avec ça ! Tu n’as jamais pensé à te la faire, je suis sûre qu’elle ne résisterait pas à ton charme.— Je me suis déjà posé la question, mais nous n’avons jamais été célibataires en même temps. Mais maintenant que c’est le cas, pourquoi ne pas tenter quelque chose avec elle. Et puis vous avez beaucoup de points communs, donc quand je disais que tu étais la femme parfaite, ça veut dire qu’elle pourrait me correspondre.— Oui enfin plus ou moins, je suis unique !— Se pourrait-il que tu sois jalouse ?!— Moi, jalouse ?! Mais non pas du tout ! Qui pourrait rivaliser contre ça ? dit-elle en rigolant et en enlevant son peignoir d’un geste théâtral pour être nue devant moi sans aucune pudeur.— Waw ! Bon OK ! C’est dur de rivaliser ! Même si elle est un peu plus timide que toi, avec deux, trois verres dans le nez, elle devient déchaînée.— Vas-y raconte ! dit-elle en se jetant sur le lit à côté de moi.— Par exemple sur un pari, en rentrant de boîte, elle s’est baladée à poil dans la rue, avec trois autres amis.— Déjà fait, mais en duo seulement, avec quatre gars c’est osé !— Elle a fait un plan à trois, mais sans moi malheureusement, avec un couple d’amis. Ils ne s’en cachent pas d’ailleurs.— Déjà fait et sans toi non plus malheureusement, dit-elle avec un clin d’œil.— Hi hi, oui tu m’en avais parlé. Une fois en rando, donc sans alcool, je lui ai dit que j’avais envie de pisser. Elle m’a demandé si j’avais besoin d’un coup de main, je lui ai répondu : ’’que de la gueule’’. Elle n’a rien dit de plus, elle a sorti ma bite de mon short et me l’a tenue pendant que je pissais. Nous avons bien rigolé, même si j’ai fini avec une érection presque totale. Le retrait de la dernière goutte ressemblait plus à une masturbation en règle.— Déjà fait et bien plus... — Bon OK c’est toi la plus chaude des deux si c’est ce que tu voulais entendre...— Hi hi merci !— Bon, je vais me doucher.— Prends-en une froide sinon tu vas me violer à ton retour...— Encore faudrait-il que tu ne sois pas consentante...— Pas faux... Qui sait ?
Quand je reviens de la salle de bain, elle dort déjà, je me couche à côté d’elle sans la réveiller.
Lorsque j’ouvre les yeux, ma cousine s’est déjà levée. Je me lève un peu au radar pour aller aux toilettes, j’ai soudain deux bonnes surprises matinales : une bonne odeur de pancakes faits par ma cousine qui est encore nue !
— Tu es vraiment naturiste en fait ?!— J’avoue que ce mode de vie me correspond ! Je me sens libre et très en confiance avec toi depuis longtemps maintenant, donc c’est naturel. Par contre, toi tu n’es pas encore prêt visiblement, dit-elle en touchant moins d’une seconde de l’index ma bite qui commençait à se tendre dans mon short.— On va dire que c’est la gaule matinale...— Ouais on va dire ça !— Et toi alors ?! Tu pointes de plus en plus visiblement ! dis-je en pinçant légèrement son téton.— On va dire que c’est parce qu’il fait froid.— Ouais on va dire ça !
Nous prenons le petit-déj tranquillement, quand mon téléphone sonne :
— Allo Cid, ça va ?— Oui, enfin, je suis dégoûté pour hier, en fait j’aurais pu rester, car on faisait le repas de famille surtout pour le retour de mon frère et finalement son vol a été annulé.— Ah mince ! Et aujourd’hui tu veux nous rejoindre ?— C’est gentil, mais je suis déjà chez mes parents et ça me ferait pas mal de route, une prochaine fois.— OK, à bientôt ! Bisous !
Avec ma cousine, nous retournons dans le parc, dans le même endroit que les week-ends précédents. Au bout d’un moment, elle déclare une nouvelle fois :
— Il fait tellement chaud que je pourrais me foutre à poil !— Bah vas-y, il n’y aura personne !— Comment tu peux le savoir ?— C’est compliqué, mais s’il faut que je te le prouve...
Sans transition, je me déshabille devant elle, sans hésitation et sans gêne, ou presque, pour profiter du soleil sans entrave.
— Waw, tu es dingue ! Comment tu peux être aussi sûr que personne ne va venir ?— Je t’ai dit c’est compliqué...— Vas-y, raconte !— OK, mais tu vas me prendre pour un dingue... Je suis bloqué dans une sorte de boucle temporelle. Ce week-end se répète encore et encore...— Hi hi tu me fais marcher !— Ah oui et comment je pourrais savoir qu’après ce camion de déménagement dans environ dix secondes, il va y avoir une voiture de tuning bleue qui fait beaucoup de bruit ?— Hi hi tu as l’air sérieux en plus, tu dis n’imp...
Elle s’interrompt quand elle entend une voiture faire un gros bruit sourd, elle se lève pour voir sa couleur par-dessus la haie qui nous cache.
— Nannn ! C’est dingue, elle est bleue !— Oui je sais ! Je n’ai pas d’explication à ce phénomène !— Puisque c’est comme ça, je vais en profiter aussi !
Elle se lève, regarde rapidement autour d’elle et enlève sa robe qu’elle porte sans sous-vêtement, comme hier.
— Waw ! Toujours aussi belle !— Merci ! Il n’y a pas de raison que tu sois le seul à profiter du soleil !— Je suis un peu perdu, qu’est-ce que tu ferais à ma place ?— J’en profiterai à fond ! Comme dans le film avec la marmotte.— Oui d’accord, mais qu’est-ce que tu ferais cousine ?— Franchement, je te baiserais ! Je te ferais tous les trucs que je n’ose pas assumer, et dieu sait qu’il y en a !— Waw au moins c’est cash...— Oui, je suis honnête... Tu m’as trop excitée hier et aujourd’hui encore. Et puis demain, je ne me souviendrai pas avoir dit ça, dit-elle en rigolant. Mais toi si... D’ailleurs, tout s’est bien enchaîné ce week-end, j’imagine que tu as déjà commencé à profiter de la situation...— Euhh oui c’est pas faux, c’est le quatrième week-end.— Il faut voir plus grand, tu imagines qu’au bout de quatre week-ends, tu réussis à faire de moi ce que tu veux, et encore, tu as de la marge, tu peux aller plus loin, je dis ça pour les prochaines fois... Et à part moi, tu pourrais devenir riche ! Manger dans les meilleurs restos ! Louer des bagnoles de luxes, bref en profiter à fond.— Euh oui, mais comment ? demandai-je curieux, car il est vrai que je n’avais pas pensé à tout ça...— Bah, avec des paris sportifs par exemple. Tu regardes les résultats de samedi et s’il y a des surprises, ça veut dire une grosse cote, et donc c’est le jackpot !— OK je regarde sur mon téléphone... Ah justement, hier soir Metz qui a battu Paris 5 à 0 [la preuve que c’est bien une fiction...] la cote est à 2500 contre 1.— Bah voilà ! Reste à voir si l’argent reste avec toi une fois le week-end d’après commencé.— Tu es belle et futée ! Merci !— J’espère que tu m’en feras profiter !— Evidemment ! Mais en attendant, il va falloir que tu rentres, il commence à se faire tard, et peut-être que tout cela serait fini si tu restais ce soir.
Nous rentrons et préparons son départ. Je la raccompagne jusqu’à sa voiture.Elle me fait un câlin et une bise très proche des lèvres en me disant :
— Je te dis donc à demain, mon cousin chéri ! Et quand je dis que tu peux aller plus loin avec moi, je suis sérieuse ! Je suis dingue de toi depuis qu’on s’est rapproché, même si je ne l’aurais jamais admis sans cette histoire. Alors, lâche-toi, fais tomber toutes les barrières que tu as avec moi parce que je ne te refuserai rien ! Même les trucs les plus osés !— Waw on ne m’a jamais dit quelque chose d’aussi chaud ! Je m’en souviendrai ! A demain...
Encore une fois, en me couchant, je dis que c’était sympa, mais que ça aurait pu être mieux...
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