L’exhibitionLa fille regarde son compagnon qui lui fait oui de la tête. Nous descendons tous vers la pièce. J’allume les lampes principales qui inondent la pièce de lumière. Je ferme la porte à clé une fois que nous sommes entrés avec le couple de jeune. Josette se rend compte des vitres qui entourent la pièce.–On va faire le spectacle ?–Ça te dérange ?–Pas du tout, bien au contraire, ça m’excite.Je vois que le garçon a changé de tête. Il a l’air de regretter sa décision. Il ne devait pas penser qu’il serait au centre d’un spectacle.–Si vous êtes gêné, vous pouvez sortir, personne n’est obligé de faire ce qu’il ne veut pas faire.–C’est-à-dire que je ne m’attendais pas à être éclairé comme ça, tout le monde à l’extérieur peut nous voir.–C’est le but de la manœuvre.–Tu ne vas pas te dégonfler Pierre, nous sommes venus ici pour s’envoyer en l’air devant des personnes inconnues, tu m’avais promis.–Ok on reste, mais je suis le seul à m’occuper de toi.–Tu es gonflé, combien de fois on a fait l’amour avec ma sœur ? Tu aimais bien nous baiser toutes les deux, maintenant, c’est à moi d’en profiter, j’ai surtout envie de tester l’amour entre filles. Si tu veux faire d’autres expériences, libre à toi.–Ok, mais je suis venu pour te baiser dans un cinéma, et je compte bien le faire.–C’est bien beau votre discussion, mais vous êtes habillés, il faut vous mettre à poil comme tout le monde. De plus je vais emmener vos affaires à la caisse pour les faire garder par Sylvie qui est une amie. Nous devrons aller les récupérer à la caisse à poil, d’accord ?La fille sourit et commence à se déshabiller, elle fait passer sa robe par-dessus sa tête et apparaît en string minimaliste qu’elle enlève prestement. Là, je constate que cette fille est divinement faite, magnifiques seins pas trop gros mais bien rond et fermes, superbes fesses, chatte lisse comme un abricot. Pierre hésite une fraction de seconde mais imite sa compagne. Lui aussi est épilé, mais surtout il a un sexe énorme. Une espèce de gros tube de chair qui pend entre ses cuisses terminé par un gland disproportionné. Il faut que j’arrive à me le faire mettre. Je ne sais s’il a des penchants homos, mais je dois arriver à le convaincre de tenter une nouvelle expérience. Je ramasse les vêtements et les apporte à Sylvie. Elle me regarde avec un air de gourmandise. –Tu as fait des adeptes ?–Oui, un jeune couple de touristes, dont le mec est monté comme un âne.–Si vous êtes toujours là à la fermeture, je viendrai vous rendre visite.–Pas de problème.
Je retourne dans la salle en ouvrant la porte de gauche. J’entre dans la petite pièce pour voir Pierre allongé sur le dos avec son énorme mandrin dressé comme un mat. Sa compagne est penchée sur lui et le branle doucement en lui donnant des coups de langue de temps en temps. Andrée, agenouillée derrière la fille, lui lèche le minou en lui introduisant deux doigts dans la chatte. La fille se redresse, enjambe Pierre en lui tournant le dos, se positionne sur son gland et se laisse descendre doucement sur ce phallus disproportionné. Je me penche pour voir ses lèvres laisser le passage à cette bite hors norme. Elle s’empale jusqu’à s’assoir sur le ventre de Pierre.–Vas-y ma Chantal chérie, baise toi, tout le monde te regarde, c’est ce que tu voulais, tu es belle assise sur ma bite, mais fait vite, je suis tellement excité que je ne vais pas tarder à jouir.Chantal monte et descend sur la bite de Pierre, je vois qu’elle aussi est au bord de la jouissance, l’excitation de la première fois se fait sentir pour tous les deux et ils partent ensemble dans leurs délires jouissifs. Chantal fini par se coucher sur les jambes de Pierre, la bite toujours en elle. Je bande comme un fou, ce spectacle m’a mis en forme. Andrée s’en rend compte et vient vers moi. Elle me caresse la bite tout en s’asseyant sur le divan à côté de Pierre. Celui-ci se redresse, se libère de Chantal et se lève. Sa queue est toujours en légère érection, à l’horizontale devant lui. Quand il passe à côté de moi, je tends la main pour toucher ce membre si attirant. Contre toute attente, il réagit positivement en s’arrêtant pour que je puisse mieux le caresser. Je me penche en avant pour lui prendre la bite dans la bouche, mais vu son diamètre, j’arrive à peine à lui sucer le bout du gland. Andrée comprend ce que je veux faire, elle se lève, prend le sac, en sort le gel et vient me badigeonner le cul en faisant pénétrer le produit le plus en profondeur possible. Elle sort un gode, l’enfonce doucement au plus profond de mes entrailles et me pistonne avec énergie en ajoutant du gel de temps en temps, elle me prépare à l’engin. Pierre se laisse faire et sa queue se redresse à la verticale. Josette vient vers nous, elle a un préservatif à la main. Elle se penche sur Pierre et lui enveloppe la bite.–Voilà, vous êtes prêt tous les deux, que la fête commence.Je remarque que les fenêtres sont noires de monde, jamais je n’avais vu tant de monde assister aux spectacles que je donnais ici. Je me tourne, cul face à Pierre, me penche pour prendre appuis sur le divan et j’attends l’introduction du morceau. Josette se penche à mon oreille.–C’est la première fois que je vais te voir te faire enculer par un homme. Je vais faire la même chose avec un gode. Je me suis préparée, je vais t’accompagner.Pierre s’approche de moi.–Tu me dis ce qu’il faut faire, c’est la première fois que j’encule un mec, ou plutôt, que j’encule quelqu’un. Tout le monde me trouve trop monté et a peur. J’en avais envie depuis longtemps, mais si ça se passe mal, préviens moi, j’arrête.–Ne t’en fais pas, je vais te faire connaître ta première jouissance dans un cul, j’ai l’habitude des gros godes et des grosses bites, bien que la tienne soit quand même exceptionnelle.Je vois Chantal et Andrée se coucher sur le divan en soixante–neuf avec chacune un gode à la main pour l’introduire dans le sexe de l’autre. Les spectateurs ne doivent pas en revenir. Un mec qui se fait enculer par une énorme bite, une femme qui s’encule avec un gode et deux autres qui se gouinent en se plantant des godes dans la chatte. C’est du jamais vu ici. Je suis dans ma contemplation des scènes qui se déroulent devant moi quand je sens sur ma rondelle une pression de plus en plus forte. Mon sphincter ne résiste pas beaucoup et s’ouvre comme une rose devant l’avancée du gland conquérant. Il passe et progresse dans mon tube. Je sens sa progression tout au long de mes parois. Sa verge s’enfonce en moi doucement, je ne ressens aucune douleur, Andrée m’a bien préparé, quand je sens ses couilles sur mes fesses, j’ai plus de vingt centimètres de chair palpitante dans le cul. Ma rondelle est dilatée et serre la bite de Pierre.–Vas-y, bouge.Pierre ne se le fait pas dire deux fois, il commence des allers-retours lents et courts.–Augmente l’amplitude, j’ai envie de sentir ta bite sur toute sa longueur.Pierre augmente petit à petit son amplitude jusqu’à ce que je sente son gland au bord de sortir. Je vois Josette monter et descendre sur son gode et Chantal et Andrée se goder frénétiquement tout en se léchant la chatte. Pierre continu ses mouvements de plus en plus vite jusqu’au moment où sa bite sort de mon fion. Il donne un grand coup de rein et elle m’empale de nouveau.–Oui, continu comme ça, fait la ressortir et entrer, c’est divin.Pierre répète plusieurs fois le geste et, n’y tenant plus, je pars dans une jouissance démente. Mon corps est secoué comme un prunier, je ne peux plus me retenir et je m’écroule sur le divan entre les jambes d’Andrée. De coup, je libère Pierre qui enlève sa capote et se masturbe. En voyant ça, Josette se lève et vient prendre son gland en bouche. Juste le bout, mais ça suffit pour qu’elle puisse récupérer le sperme que Pierre lui envoi en pleine bouche. Chantal et Andrée en sont à leurs énième jouissance et se laissent aller sur le divan. Josette a toujours sont gode dans le cul.–Je n’arrive pas à jouir seule avec un gode dans le cul, pourtant j’aime bien me faire enculer.–Oui, mais tu te masturbe en même temps, ce qui n’est pas le cas maintenant. Vient vers moi.Josette s’approche de moi en maintenant le gode dans son cul.–Couche toi sur moi, donne-moi ta chatte à manger.Josette se couche sur moi et me présente sa chatte. Pierre lui prend le gode des mains et la pistonne pendant que je lui titille le clitoris.–Oui mes chéris, oui comme ça, je vais venir, je viens, je viens.Elle ne met pas longtemps à se cambrer et jouir en s’agrippant à mes cuisses. Quand tout le monde est remis de ses émotions, nous nous asseyons sur le divan et, derrière les vitres, tout le monde applaudi avec un grand sourire. Nous nous levons et saluons comme au théâtre. Je viens souvent dans ce cinéma et c’est la première fois que je vois autant de monde, on est pourtant en juillet, pendant les vacances. Je regarde l’heure sur la montre de Pierre, il est presque minuit.–Le ciné va fermer, soit on reste encore un quart d’heure, soit on sort et on va faire un tour vers la prairie des filtres.Tout le monde est d’accord pour partir, y compris les deux jeunes qui veulent continuer la soirée avec nous. Nous sortons et c’est en voyant Sylvie que je me souviens qu’elle voulait s’amuser un peu avec nous. Je vais vers elle.–Nous allons partir, cela t’intéresse de nous accompagner ? Si c’est le cas, on t’attend.–Ok, je vous accompagne, mais pour l’instant, pas question de vous rendre vos affaires.
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