Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 31 J'aime
  • 3 Commentaires

Week end à Toulouse

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
La prairie des filtres Je remarque qu’elle porte une micro-jupe qui lui découvre les cuisses jusqu’à son string. Andrée le remarque aussi, elle se penche sur Sylvie pour lui déposer un baiser sur les lèvres. Sylvie tout en répondant à son baiser, lui met une main sur les fesses. Andrée ouvre la petite porte sur le côté de la caisse, s’accroupie devant Sylvie, passe les mains de chaque côté de ses hanches et tire sur le string. Sylvie se soulève un peu pour faciliter le passage. Une fois le string enlevé, Andrée écarte les cuisses de Sylvie et plonge sa tête dans l’ouverture. Sylvie ferme les yeux, avance son ventre à l’encontre des lèvres d’Andrée qui lui titille le clitoris, elle se pince les seins au travers de son corsage. Josette et Chantal se masturbent devant ce spectacle, jambes bien écartées. La bite de Pierre se redresse, mais moi, je suis trop fatigué pour avoir une réaction, ma bite bouge à peine. Sylvie se pince de plus en plus fort les seins et se cabre. –Oui, vas-y, vas-y, bouffe-moi le minou, je joui, je joui, AAAAAHHHHHH. Elle est arquée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, elle a lâché ses seins pour poser ses mains sur la tête d’Andrée et le maintenir sur sa chatte. Au bout d’un petit moment, elle se calme et retombe sur sa chaise. Elle prend la tête d’Andrée, l’amène vers ses lèvres et l’embrasse avec passion. –Merci, merci pour ce moment.  Il est maintenant minuit, l’heure de fermeture du cinéma. Sylvie se lève et veut récupérer son string, mais Andrée le garde, elle le porte à ses narines pour le humer. –Je le garde en souvenir de ta super chatte. Sylvie se dirige vers la salle pour allumer et vérifier qu’il ne reste personne. Sa micro-jupe ne cache pas grand-chose de ses fesses. Je l’accompagne. Quand elle allume les lampes, il ne reste personnes en bas. Je monte au balcon pour voir s’il y a quelqu’un. Il reste un couple d’une quarantaine d’années qui s’embrasse. Ils ont le bas du corps nu. La femme me voit et me sourit. –C’est vous tout à l’heure dans la petite pièce, j’ai beaucoup aimé le spectacle, c’était dix fois mieux que le film. Comment peut-on avoir la clé ?–Il suffit de la demander à la personne qui est à la caisse, seulement il faut être un habitué, ils ne la donnent pas à n’importe qui.–Nous venons régulièrement, cela ne devrait pas poser de problème. Ils se redressent, enfile lui un short, elle une petite jupe et m’accompagnent vers la sortie. Je rapporte notre conversation à Sylvie qui me dit bien les connaître, les rassurent et leur dit qu’ils pourront profiter de la petite pièce à leur demande.Nous rejoignons tout le monde dans le hall. Tout le monde est habillé. Je vérifie sous la robe de Chantal et constate qu’elle a remis son string. 
–Pas de ça avec nous, les filles doivent être cul nu sous leurs fringues. Chantal soulève sa robe. –Enlèves le moi. Je m’agenouille devant elle et me penche pour saisir le minuscule bout de tissus entre les dents. Je descends la tête pour le faire glisser le long de ses jambes, mais ses fesses rebondies l’arrêtent. Je glisse mes mains derrière, fait glisser la ficelle en lui caressant les fesses. Elle a un petit mouvement du bassin. N’y tenant plus, je me saisis du string avec les mains, le descends jusqu’à ses pieds et remonte ma tête vers son sexe que je gobe avec avidité. Ma langue se déchaîne sur sa vulve et son clitoris. Elle pose ses mains sur ma tête pour la plaquer contre son sexe. Elle jouit en très peu de temps. Une fois calmée, elle vient me poser un baiser sur les lèvres. Je mets son string dans ma pochette. –Merci, c’était super. Me faire faire une minette dans un hall de cinéma devant plein de monde avec les portes qui peuvent s’ouvrir à tout moment, quel pied. Je sens que je deviens exhibitionniste.–Ce n’est pas une tare, et nous allons vite découvrir si tu aimes vraiment ça. Je récupère mon short et ma chemisette, Sylvie ferme le ciné et nous sortons tous en direction de la prairie des filtres. C’est une esplanade au bord de la Garonne qui est très animée la nuit. On y rencontre toute sorte de personnes, homos, hétéros, voyeurs, exhibitionnistes et j’en passe. Il nous faut à peine un quart d’heure pour arriver, les rues sont encore très pleines et les filles ont fait leur effet. Tout le monde se retournait sur elle, y compris les femmes. Il faut dire qu’Andrée, Josette, Chantal et Sylvie montraient une grande partie de leurs fesses tellement leurs jupes où robes étaient courtes. Pierre et moi marchons derrière pour profiter du spectacle. Les filles se tenaient par le bras et faisaient des petits bonds en marchant ce qui avait pour effet de dégager leurs fesses. Elles se retournaient de temps en temps pour voir l’effet que ça nous faisait. Je dois dire que ma bite voulait sortir de mon short et je ne parle pas de la bosse dans le short de Pierre.  Arrivés à l’esplanade, nous constatons qu’il y a pas mal de monde, certains faisant l’amour sur un banc devant deux ou trois personnes, d’autre se masturbant contre un arbre, des homos qui s’embrassent ou s’enculent, le tout devant des gens qui passent et regardent, la faune habituelle quoi. Pierre et Chantal semblent un peu inquiets. Andrée et Josette m’ont pris chacune un bras. Sylvie semble très intéressée.  –Du calme, ici nous ne risquons rien, tout le monde est ici pour s’envoyer en l’air devant d’autres personnes. C’est le coin des exhibitionnistes et des voyeurs, ils ne sont là que pour se montrer ou regarder. On peut rester et regarder ou participer au spectacle. Il faut rester au milieu de l’esplanade pour avoir le temps de s’habiller si la police débarque.–La police peut venir ?–Oui, mais en une trentaine de fois où je suis venu ici je ne l’ai jamais vu, mais c’est une possibilité qu’il faut garder à l’esprit.–Moi je veux bien participer au spectacle, je me fou des flics et des interdits. Je me rends compte que je suis en fait exhibitionniste, j’aime me montrer et faire le spectacle, j’espère que tu es d’accord Pierre.–Bien sûr Chantal, nous sommes allés au ciné pour ça, maintenant nous allons découvrir de nouvelles sensations, l’exhibition accompagné de la crainte de se faire prendre par la patrouille. Il vient vers elle, attrape sa robe par le bas et la fait passer par–dessus la tête. Elle se retrouve nue au milieu du chemin. En la voyant nue, Andrée veut l’imiter, enlève son short et son corsage et les met dans ma pochette. Sylvie vient vers Josette et commence à la déshabiller. Elle se laisse faire tout en lui enlevant le corsage. Elle s’agenouille pour faire glisser sa jupe vers le bas, se redresse pour que Sylvie lui en face autant. Elles mettent toutes leurs vêtements dans ma pochette. Heureusement que nous sommes en été, les fringues sont légères. Pierre et moi les imitons. Nous sommes six personnes, quatre femmes et deux hommes, à poil à nous balader sur l’esplanade. Très vite nous repérons un banc. Pierre me regarde. –L’aimerais bien te prendre de nouveau, j’ai beaucoup aimé ma bite dans une antre serrée comme ton cul.–J’allais te le demander. Rien que d’en parler, Pierre bande déjà. Il s’assoie sur le banc, la bite bien raide. Je me badigeonne le cul de gel, lui met une capote, monte sur le banc et présente mon cul devant sa bite. Je m’assoie dessus les jambes bien écartées pour dégager la vue devant nous. Je descends doucement pour bien sentir ma rondelle se dilater et laisser entrer ce gigantesque gland. Mon sphincter s’écarte, je m’imagine être à l’intérieur et voir cette tête rouge fendue apparaître et s’ouvrir le passage pour mon plus grand plaisir. Un petit attroupement se créé, il y a des hommes seuls et des couples. Tous se masturbent. Un homme soulève la jupe de sa compagne, la met en levrette et lui plante sa bite. De là ou je suis, je ne peux pas voir si c’est sa chatte ou son fion qui a reçu le braquemard. Il la pistonne avec vigueur.  Quant à moi, je me baise sur cet engin que j’adore. Je monte et descends en faisant sortir le sexe de Pierre de mon antre pour y retourner aussitôt. J’aime cette sensation de pénétration, le moment ou le gland écarte mon sphincter pour se frayer un passage. Pierre ne résiste pas longtemps, je sens son sexe palpiter dans mon cul. Il s’agrippe à moi et jouit en se raidissant.  Les filles se caressent mutuellement à côté de nous. Elles ont sorti les godes et se les font passer pour s’empaler l’une après l’autre. L’attroupement est de plus en plus important. J’ai peur que cela ne dégénère et je fais signe aux filles et à Pierre qu’il est temps de lever le camp. Nous nous dégageons et marchons sur les sentiers de l’esplanade jusqu’au bord de la Garonne. Nous nous asseyons sur deux bancs accolés qui peuvent nous accueillir tous. Je suis resté sur ma faim et je veux en finir, je veux jouir. Je sors le gode gonflable, le gonfle jusqu’à ce qu’il atteigne sept centimètres de diamètre et vingt-six de long. Je le ventouse sur un des bancs, me lubrifie le fion et l’encapuchonne. Je monte sur le banc, m’accroupie et me plante sur le gode. Il me défonce sans problème, mon cul a été bien formaté depuis le début de la soirée. Je monte et descends sur ce phallus artificiel de plus en plus vite. Je m’arrête à un renflement du gode à la jointure des couilles. Ce gode est fait un peu comme une bite de chien avec un bulbe à la base des couilles.  Plusieurs personnes s’arrêtent devant moi pour me regarder m’enculer. Une femme plonge sa main dans sa jupe. Je ne vois pas ce que fait sa main et le lui fait comprendre par gestes. Elle me sourit, sort sa main et soulève sa jupe pour baisser son string et se masturber devant moi. Un homme, certainement son compagnon, vient se mettre derrière elle et lui soulève son tee-shirt pour dégager sa poitrine et lui malaxer les seins. Elle ne résiste pas longtemps et jouit bruyamment en ne quittant pas des yeux le gode qui me transperce le fion. Je continu mes va et vient sur le gode, la pression monte. Je sens mes pieds s’électriser, mes jambes deviennent lourdes, mon ventre se noue, mon cœur s’emballe et mon cerveau explose. Je jouis mais mes jambes ne me tiennent plus et je m’empale sur le gode. Il me pénètre jusqu’aux couilles et le renflement m’explose la rondelle. Je ressens une violente douleur en même temps que je jouis. C’est une impression étrange, je ne sais pas si j’aime ou si je déteste, mais la douleur s’estompe et laisse place au plaisir. Je sens cette boule qui me dilate le fion et je ne peux m’empêcher de penser à mon séjour chez Josette et à Flic qui me remplissait le fion avec sa boule.
Diffuse en direct !
Regarder son live