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Week end à Toulouse

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Le grand magasin Pendant ce temps, Andrée et Sylvie se broutent le minou allongées sur l’herbe du bord de la Garonne. Pierre vient s’assoir à côté de moi. –Excuses moi pour tout à l’heure, mais cette situation nouvelle m’excite tellement que je ne peux pas me retenir.–Ce n’est pas grave, cela m’arrivait souvent au début.–Tu fais ça depuis combien de temps ?–Une dizaine d’années, depuis que j’ai divorcé de ma seconde femme. Au début je ne voulais plus voir de femmes, je me concentrais sur les hommes. Et puis, les femmes m’ont de nouveau attiré et maintenant je suis bi. J’aime beaucoup les femmes, mais j’adore aussi avoir une bite dans le cul.–Moi je n’en ai jamais eu, tu voudrais bien m’initier ?–Pas possible, dès que je mets une capote, je débande. Et comme il est impensable que je baise sans capote, je dois décliner l’invitation.–Dommage, mais je vais acheter un gode et essayer avec Chantal, je suis sûr qu’elle va aimer. Au fait ou en est-elle ? Chantal est avec Josette sur l’autre banc, elles sucent deux mecs qui leurs tendent leur queues. Elles ont l’air de prendre beaucoup de plaisir. Josette se dégage brusquement et branle son mec pour le faire jouir sur le côté. Chantal continu un peu plus longtemps mais fait la même chose malgré les protestations de l’homme qui aurait bien voulu se vider dans sa bouche.  –Ma bouche est réservée à mes amants. Les deux hommes se retirent et elles s’embrassent goulûment. Je remarque que Pierre s’est remis à bander. –Tu n’arrête pas.–C’est la situation, mais c’est vrai je bande facilement, ce qui étonne beaucoup de monde vu la taille de ma bite.–C’est vrai, en général les mecs montés comme toi ont toutes les peines du monde à bander. Tu es verni. Sylvie remarque la bite de Pierre et vient vers lui. –Je peux ?
–Bien sûr, elle est là pour ça. Je tends un préservatif à Sylvie qui encapuchonne la belle bite. Elle monte sur le banc en enjambant Pierre, face à lui, une jambe de chaque côté de ses hanches. Elle se colle contre lui et s’empale d’un seul coup sur cette magnifique bite. –Oh lala, quelle bite, quel pied, elle me remplit, je la sens au fond de moi. Elle est enfoncée jusqu’au col. Elle monte et descend sur ce pieu, ses seins frottent la poitrine de Pierre qui la saisi par les fesses. On ne voit plus qu’une fille s’empalant sur une bite. Le monde commence à s’attrouper. Je revois la femme de tout à l’heure, elle est seule. Elle s’approche un peu, regarde la bite s’activer dans l’antre de Sylvie. Elle fait passer sa robe par-dessus sa tête, me la jette et porte sa main à son sexe. Elle ne porte plus son string. Elle est nue devant nous, les yeux exorbités à regarder Sylvie s’empaler sur la bite de Pierre, en se masturbant frénétiquement. Cette fois ci, sa jouissance met un certain temps, certainement du fait qu’elle a dû jouir plusieurs fois. Elle s’agenouille devant Pierre pour voir ce sexe disproportionné défoncer la chatte de Sylvie. Elle se branle de plus en plus frénétiquement et fini par se raidir et tomber sur le côté, toujours en se masturbant. Elle jouit comme une folle, repliant et tendant ses jambes comme pour éloigner quelque chose. Elle se tend, la tête en arrière au milieu de l’herbe de l’esplanade. Elle finit par se calmer au moment où Sylvie fait entendre sa joie de jouir. Pierre se raidi en même temps, il l’accompagne dans sa jouissance. Andrée se penche sur l’inconnue, l’aide à se relever. Elle l’entoure de ses bras et la guide vers le banc que j’occupe. J’ai sa robe entre les mains et je lui tends. Elle s’en empare et la pose à côté d’elle. –J’ai passé une soirée incroyable, merci pour ce spectacle.–J’en donne de temps en temps, mais c’est fini pour ce soir, il se fait tard.  Il est en effet plus de deux heures du matin et il faut penser à se coucher si on veut faire autre chose que dormir demain. Je sonne le branle-bas, nous enfilons le peu de fringue que nous avons. Pierre et Chantal nous quittent mais Sylvie veut rester avec nous ce que nous acceptons et nous rejoignons l’appartement. Après une douche réparatrice, les filles vont se coucher. Sylvie ne veut pas de chambre particulière, elle préfère dormir avec moi. Nous nous couchons, elle m’entoure de ses bras, m’embrasse tendrement et pose sa tête sur mon épaule. Elle met deux minutes à s’endormir. Je la suis de très près. Je me réveille vers sept heures du matin, Sylvie et les filles dorment encore. Je fais une toilette rapide et descends chercher du pain et des croissants. Une fois de retour, je prépare le petit déjeuner. Sylvie émerge vers neuf heures suivie des filles une demi-heure plus tard. Le petit déjeuner se passe dans la bonne humeur, à se raconter la soirée d’hier. –Je dois vous dire que des soirées comme hier, c’est rare, je n’en ai pas eu tellement. –Tu t’éclates quand même bien quand tu viens au cinéma.–Oui, mais il m’est arrivé plusieurs fois de ne rencontrer personne, et de me tripoter seul dans mon coin. Il est vrai que c’est de plus en plus rare. Une fois toutes rassasiées, nous décidons d’aller dans les grands magasins pour faire un peu d’exhibition. Surtout les filles. Elles s’habillent en conséquence. Josette met une petite jupe plissée sur un corsage blanc à peine opaque dont seuls deux boutons sont boutonnés. On distingue parfaitement ses seins libres derrière. Evidemment, elle ne porte pas de culotte. Andrée opte pour une robe courte fendue sur le côté avec un décolleté rond devant, très échancrée sous les bras et surtout un immense décolleté dans le dos. Ses cheveux longs lui cachent le dos, mais le moindre mouvement les écarte et laisse une vue plongeante sur le haut de ses fesses. De plus, quand elle se penche, son décolleté rond expose sa magnifique poitrine. Sans compter que les échancrures sous les bras laissent voir ses seins sur le côté. Elle aussi oublie la culotte. Josette prête à Sylvie une jupe blanche droite, assez courte et moulante et un tee-shirt blanc très serré qui fait ressortir ses seins libres. Elle aussi renonce à cacher son sexe et ses fesses. Telle qu’elles sont habillées, le moindre souffle de vent les expose. Pour ma part, je n’enfile qu’un short et une chemisette. Nous sortons dans la rue vers dix heures-trente, il fait déjà plus de trente-cinq degrés et nous nous dirigeons vers les nouvelles galeries. Nous montons tous les étages qui mènent au rayon cuisine. Dans les escalators, elles font toutes les trois semblant de regarder quelque chose sur leurs chaussures. En se penchant un peu, elles dévoilent leur fesses, déjà qu’il n’en faut pas beaucoup. Toutes les personnes, surtout les hommes, ne quittent pas leurs fesses des yeux.  Arrivés au rayon cuisine, Josette se penche en avant pour mieux voir des assiettes posées assez bas. Sa jupe libère ses fesses qui sont exposées à tous les regards. Une femme les remarque et s’arrête pour mieux apprécier. Quand Josette se redresse, la femme lui fait un grand sourire et se dirige vers les toilettes. Josette l’ignore et continu à fouiner dans le rayon. Au bout de quelques minutes dans le rayon cuisine, le tour est fait et elles décident de descendre à l’étage en dessous par les escaliers. Josette et Andrée les dévalent en faisant de petits sauts de cabri qui font voler leurs jupes et dévoilent leurs intimités. Elles se prennent par le bras en éclatant de rire.  L’étage en dessous est très intéressant, ce sont les meubles. Les filles décident d’essayer les lits, salons et fauteuils. Elles se jettent sur un salon en angle en rigolant. Sylvie croise haut ses jambes tandis que Josette et Andrée se contente de s’assoir les jambes écartées. Elles se roulent dessus, se chamaillent en rigolant. Je les observe, et constate que rien n’est caché, elles montrent savamment, sans en avoir l’air, leurs sexes, leurs fesses et leurs seins. Les clients regardent, certains très intéressés, d’autres indifférents. Ce qui m’étonne le plus, c’est que beaucoup de femmes les regardent avec apparemment beaucoup de plaisir, voire d’envie. Le tour de l’étage ne dure qu’un quart d’heure, elles décident d’aller dans le rayon vêtements.  Elles prennent les vêtements les plus sexy qu’elles trouvent et vont les essayer. Il y a plusieurs cabines de chaque côté d’un couloir avec une énorme glace au fond qui recouvre tout le mur. Si le rideau n’est pas tiré jusqu’au fond, on peut voir ce qui se passe dans les trois dernières cabines de chaque côté. Evidemment, elles choisissent ces cabines. Elles laissent le rideau entrouvert et se déshabillent. Je suis à l’entrée des cabines et je peux voir très distinctement Josette et Sylvie nues dans leur cabine et mettre beaucoup plus de temps qu’il n’en faut pour enfiler les vêtements qu’elles veulent essayer. Elle s’ajuste respectivement leurs vêtements en se caressant. Elles sortent de temps en temps pour se regarder dans la grande glace en faisant tourner les jupes qu’elles essayent, elles font le spectacle en rigolant. Andrée, elle, nue en dessous de la ceinture, ajuste un haut avec beaucoup de minutie, elle tourne sur elle-même en se regardant dans une glace. Quand on est dans le couloir, on ne peut pas rater ça. Je remarque une femme, la trentaine, très belle, qui fixe Andrée. Elle va se mettre dans la cabine en face d’elle sans tirer le rideau jusqu’au bout et se déshabille. D’où je suis, je peux quand même distinguer ses mouvements, elle fait face à Andrée, se caresse les seins en la regardant. Andrée enlève le haut qu’elle ajustait et fait face à l’inconnue. Elle se saisie de ses seins et les caresse en la regardant. L’inconnue enfile son corsage qui lui recouvre la moitié des fesses, se saisie du reste de ses affaires et traverse le couloir pour entrer dans la cabine d’Andrée. Il y a pas mal de monde qui viennent essayer des vêtements, mais à priori, personne n’a remarqué le manège de l’inconnue. Un quart d’heure se passe et Josette et Sylvie ont fini leurs essayages, elles sortent de leur cabine et entrent dans celle d’Andrée. Elles ont un mouvement de recul d’une fraction de seconde, mais entrent et tirent le rideau. J’entre dans la cabine à côté, tire le rideau et tends l’oreille. –Tu aurais pu nous prévenir que tu étais avec quelqu’un.–Les filles, je vous présente Elodie, elle m’a vu, je lui ai plu et elle est venue me le dire.–D’après ce que je vois, vous n’avez pas fait que discuter.–Pas exactement, mais nous avons quand même échangé. –Il est plus de onze heures, il serait peut-être temps de rejoindre Jean, je crois qu’il a prévu autre chose.–Au fait, quelqu’un l’a vu dernièrement ?–Ne vous en faites pas les filles, je suis juste à côté, je vous attends dans le couloir.–On arrive.
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