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Week end à Toulouse

Chapitre 5

Divers
Le restaurant Je sors de la cabine pour les attendre, elles sortent trente secondes après moi, elles sont toutes rhabillées, sauf Elodie qui est en corsage ouvert avec sa jupe à la main. Je peux admirer son joli corps et son pubis glabre et bien rebondi. Andrée vient vers moi. –Je crois qu’elle a envie de ta bite, elle m’a dit être en manque.–Tu sais que je vole toujours au secours de la veuve, surtout quand elle est si belle, je suis son homme. Je vais vers elle, elle entre dans la cabine, les filles viennent faire barrage devant. Elle s’agenouille devant moi, mon short descend à mes pieds en une seconde. Elle pose ses mains sur mes hanches et les remonte en entraînant ma chemisette. Je la déboutonne, elle finit par tomber à terre. Je suis nu, la bite dressée vers le ciel. Une fois redressée, elle me plaque contre une paroi de la cabine, heureusement, c’est un mur du bâtiment. Elle lève une jambe, et se plante sur mon vit raide comme un bout de bois. Je me penche un peu en avant pour soulager mon dos, mais elle tourne la tête, elle devait croire que je voulais l’embrasser. Elle me prend par les épaules, me plaque de nouveau contre le mur, se cabre en arrière et se baise sur ma bite. Je ne peux pas bouger. Toutes les filles ont une main sous leur jupe. Elle devait être très excitée, car elle jouit très vite, ma laissant sur ma faim. Elle se dégage, pose un baiser chaste sur ma joue et enfile sa jupe. Elle sort de la cabine sans un mot. Je suis comme un con, la bite raide à me demander ce qui s’est passé, mais très vite je sens une gaine chaude envelopper mon vit, c’est Sylvie qui a pris la place d’Elodie. Contrairement à elle, elle me fait pivoter et s’appuie sur le mur. –Vas-y, baise-moi, je suis au bord d’exploser. Je commence des va et vient lents et amples, je sens son corps frémir, je me penche sur ses seins pour les embrasser. Elle pose ses mains sur mes fesses et se penche sur mon oreille, elle murmure. –Oui, continu, je viens, je vais jouir, viens avec moi, viens.  Cette voix suave à mon oreille me libère, je me lâche et me vide en elle juste au moment où son corps se raidi, secoué par un violent orgasme. Nous jouissons en silence, ses lèvres viennent se souder aux miennes dans un baiser langoureux. Quand nous revenons à nous, je me rends compte que malgré le barrage des filles, on pouvait nous voir d’un certain endroit du magasin, mais il n’y avait personne, c’est peut-être mieux. L’heure a tourné, il est pratiquement midi, Sylvie doit nous quitter pour aller travailler, nous décidons de manger dans un petit restaurant, spécialiste du couscous, dont les propriétaires sont des amis. Un quart d’heure plus tard, nous entrons dans le restaurant. Il est tenu par un jeune couple de tunisien très sympa, ils se font appeler Solène et Victor, ce n’est pas leurs vrais prénoms, ils s’appellent en réalité Enno et Djilali. Lui, trente deux ans, très volubile, elle, vingt-huit ans, très belle et toujours habillée très sexy. Aujourd’hui, elle porte une robe moulante assez courte fermée par un zip sur le côté s’arrêtant à mi-cuisse avec un décolleté en V qui plonge entre ses seins. Tout le monde peut voir que sa poitrine n’est pas soutenue. En voyant les filles, elle vient vers moi.  –Dis donc, elles sont sexy tes copines.–Oui, mais tu n’as rien à leur envier.–Sauf que moi, je ne me balade pas le cul à l’air.–Et c’est dommage, très dommage. Elle me regarde en souriant, fait demi-tour pour nous amener à notre table. Je vois ses fesses danser assez librement sous sa robe, ses fesses sont libres, mais je distingue tout de même la ficelle d’un string. Les filles s’installent de manière à avoir leurs fesses directement sur la chaise. Seule la table cache leurs sexes offerts. Elles sont excitées, je les sens sur des charbons ardents. –Doucement les filles, nous ne sommes pas dans une boîte, Solène est belle et très sexy, mais elle travaille, et je ne crois pas qu’elle soit exhibitionniste, du moins, pas à ma connaissance.
–Dommage, j’en aurais bien fait mon déjeuner.–Moi aussi.–Nous ne sommes là que pour manger un couscous. Victor arrive, toujours aussi volubile. –Alors Jean, ça fait un moment qu’on ne t’a pas vu.–Je n’étais pas à Toulouse.–Tu as de la chance, le samedi, c’est sans ail.–Je sais, c’est pour ça que je suis venu aujourd’hui.–Dis donc, tu es accompagné de très belles femmes que je ne connais pas.–Je te présente Josette et Andrée, les filles, je vous présente Victor, le roi du couscous.–Trois couscous je présume.–Oui, avec des raisins secs.–Ça va de soit mon cher Jean. Victor s’éloigne vers sa cuisine, Solène revient avec trois kirs qu’elle dépose sur la table. Son zip est un peu plus haut, et quand elle se penche pour poser les verres, sa robe se tend sur ses fesses, mais je ne vois plus la ficelle du string, elle l’a enlevé !! –Offerts par la maisons, pour célébrer ton retour.–Merci. Je vois qu’Andrée a elle aussi remarqué que le zip de la robe de Solène est un peu plus haut, dégageant complètement sa cuisse gauche jusqu’en haut de la hanche. Elles se regardent droit dans les yeux, Solène a un petit sourire, la main d’Andrée se pose sur le bas de sa cuisse. Solène ne bouge pas pendant quelques secondes, la main d’Andrée remonte un peu, jusqu’à mi hauteur, Solène se dégage lentement en souriant et retourne à la cuisine. –Putain, elle en veut, elle a une peau extraordinairement douce, j’ai de plus en plus envie d’elle.–Au vu de ce qui vient de se passer, il me semble que tu as une chance.–Je le pense aussi. Solène revient avec les salades de l’entrée, son zip a retrouvé sa position initiale, fini de jouer. Elle se met à côté de moi et se penche excessivement en avant pour poser les assiettes montrant ses seins dégagées aux deux filles. Je vois que leurs regards ne les quittent pas. Elle se redresse lentement et retourne à la cuisine. –Putain, mais elle nous allume !!–Effectivement les filles, elle vous allume, je ne sais pas ce qui se passe, elle est étrange, je ne l’ai jamais vu se comporter comme ça.–Peut-être, mais son attitude m’excite j’ai trop envie d’elle, pas toi Josette ?–Moi aussi ma chérie, j’aimerais beaucoup lui faire sa fête.–En attendant, bon appétit !! Nous mangeons en parlant de ce qu’elles vont faire à Solène si elle vient avec nous. Je suis un peu étonné de ce comportement, d’habitude, elle est très professionnelle, pas d’écarts avec les clients, même avec moi qui viens ici depuis l’ouverture il y a huit ans. Il y a même un couscous qui porte mon nom, le couscous Jean, car comme toutes personnes ayant vécu au Maroc, j’aime les raisins secs dans le couscous. Il se passe quelque chose avec Victor, leur relation semble très distendue, on ne sent plus cette alchimie qui régnait avant.  A la fin du repas, Solène nous amène l’adition, je payes et récupère le ticket de carte bleu. Je remarque qu’il y a un bout de papier qui l’accompagne. –Lis le une fois dehors. Nous sortons du restaurant, je lis le billet, c’est un mot de Solène. « Attendez moi à quatorze heures trente au bout de la rue, à l’angle des allées Jean Jaurès ».  J’en parle aux filles, elles sautent de joie. –On va pouvoir nous occuper d’elle, j’en mouille d’avance. Il reste une demi-heure avant le rendez-vous, nous allons nous promener le long du Canal du Midi, une fois l’heure arrivée, nous sommes au rendez-vous, Solène arrive tranquillement, elle s’est changée, elle porte un corsage beige pas très sage et une jupe courte plissée. Andrée va vers elle, elles s’enlacent, leurs bouches se soudent dans un long baiser au milieu du trottoir. Une fois calmées, elles viennent vers nous.  –Tu ne dois rien comprendre Jean ?–Rien de rien, que se passe t il ?–Nous divorçons, ce n’est plus possible, il est trop jaloux, nous vivons séparés depuis cinq semaines.–Et vous travaillez toujours ensemble ?–Oui, en attendant qu’il trouve quelqu’un d’autre pour servir, mais nous sommes une entité pour les clients, je ne sais pas comment ça va se terminer. –Je n’ai pourtant pas senti quoi que ce soit avec Victor. –Maintenant qu’on est plus ensemble, je peux faire ce que je veux, il est un peu bizarre, je te le concède.–Ok, mais moi, j’ai envie de voir ce que peux donner ma main sur la « doucissime » peau de Solène.–Ok Juliette, tous à l’appartement. Solène lui sourit, mais Andrée prend un bras de Solène et la colle à elle en commençant à marcher. Seulement, Juliette ne veut pas la laisser exclusivement à Andrée, elle se précipite sur l’autre. Solène se trouve emprisonnée par deux tigresses qui la veulent, cela semble ne pas lui déplaire.
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