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Week end à Toulouse

Chapitre 6

Divers
Enno Nous arrivons à l’appartement, Juliette va sur la terrasse, elle fait valser ses fringues et s’allonge sur un des transats. A ma grande surprise, Solène l’imite, je la vois pour la première fois nue, elle est splendide. Belle poitrine pas trop grosse haute et ronde, ventre plat sur un pubis lisse et bien bombé, fesses d’enfer hautes et fermes. Elle est encore plus belle que ce que je m’imaginais, il faut dire qu’elle n’a que vingt-huit ans. Elle vient s’allonger sur Juliette. –Je ne connais pas encore le goût de ta bouche. Elles soudent leur lèvres dans un baiser passionné. Je vois les mains de Juliette glisser lentement sur le dos et les fesses de Solène, elles s’imprègnent de sa douceur. Solène relève la tête, elle me regarde, je me suis déshabillé comme Andrée qui s’occupe un peu de mon sexe accroupie devant moi. –Jean, j’aimerai faire l’amour avec toi, il y a plus d’un mois que je n’ai pas baisé, je suis en manque.–Je crois que les filles aimeraient bien s’occuper de toi d’abord.–Non, je veux d’abord jouir avec une bite, j’en ai besoin.–Ne t’en fais pas Solène, nous te laissons avec Jean, mais permets nous de te préparer.–Ok les filles, mais plus de Solène, mon vrai prénom est Enno, c’est Djilali dit Victor qui a voulu ces prénom, je n’aime pas beaucoup.–Ok pour Enno. Juliette libère Enno, elle se lève et vient vers moi. Elle me prend la main. –Où est ta chambre ?–Suis moi. Je me dirige vers ma chambre, je vois les filles un peu dépitée, Enno se tourne vers elles. –Et bien, suivez nous si vous voulez me préparer. Elles se précipitent vers nous, Enno s’allonge sur mon grand lit rond, elle ouvre un peu les jambes.
 –A vous les filles, vous avez une minute. Andrée se jette sur son sexe pendant que Juliette lui embrasse les seins. Elles permutent au bout de trente secondes, je vois Enno commencer à se tortiller dans tous les sens. Elles se lèvent pour me laisser la place. Enno me tend les bras. –Viens me faire l’amour Jean, mais doucement, tendrement, j’ai besoin d’amour et de tendresse en ce moment.–Ne t’en fais pas Enno, nous en avons beaucoup pour toi, nous te le prouverons après Jean. Je m’allonge sur elle, mon sexe est droit comme un I, elle m’enlace en me plaquant sur ses seins. Mon sexe se glisse entre ses cuisse, il arrive sur ses lèvres et s’enfonce doucement en elle. Quand je suis complètement en elle, je m’immobilise. –Oh oui, ton sexe dans le mien, quel plaisir de sentir ce morceau de chair dure dans mon sexe, vas-y Jean, fais moi l’amour en douceur. Je commence des va et vient lents et très profonds, je sens son corps vibrer, ses mains se promènent sur mon dos, elle donne des petits coups de rein pour mieux me sentir. Juliette et Andrée se caressent en nous regardant. Je sens Enno vibrer de plus en plus, je suis étonné qu’elle réagisse si vite, elle me serre contre elle de plus en plus. –Oh oui, continue, je vais jouir, oui, vas-y, fais moi jouir Jean, fais moi jouir. Je sens son corps se raidir, elle me serre à m’en étouffer, j’accélère un peu mon rythme, elle explose dans un énorme orgasme.  –Oui, oui, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Son corps se tend, elle m’étouffe mais je continue de la pistonner de plus en plus vite, je finis par jouir en m’immobilisant en elle. Lentement, elle se détend en embrassant mon cou, je me détends moi-même en me laissant peser sur son sublime corps. Quand nous somme de nouveau calmes, je me lève pour aller prendre une douche, Enno me suit. Nous nous retrouvons dans la douche, elle me lave, je la lave, nous rigolons, c’est une situation que je n’aurait pas pu imaginer il y a à peine quelques heures.  –Merci Jean, tu as été merveilleux, je suis bien, mais maintenant, je veux m’amuser avec Josette et Andrée.–Je ne savais pas que tu aimais les femmes.–Moi non plus il y a deux heures, mais j’ai flashé sur Andrée, elle pourrait être ma mère, mais j’ai envie de voir ce que l’amour avec une femme peut donner.–Il y en a deux qui veulent s’occuper de toi.–Ça sera encore meilleur.–Tu es une gourmande toi.–D’autant que je n’ai pas fais l’amour avec Djilali depuis plus de deux mois. –A ce point ?–Oui, c’est fini entre nous, ça a été une belle histoire, mais elle est finie.       Nous retournons dans la chambre, Juliette et Andrée se font l’amour tête-bêche, elles ne nous entendent pas arriver. Enno se penche sur les fesses de Juliette qui est au-dessus et les embrasse, elle semble apprécier en les tortillant. Elles jouissent en même temps, je vois leurs corps vibrer pendant qu’Enno continue ses caresses. Quand elles ont récupéré, Andrée se lève et fait allonger Enno sur le dos. –A nous trois ma jolie.–Oh là les filles, vous semblez oublier que moi aussi je suis là et que je ne compte pas rester sans rien faire.–Mais bien sûr mon petit Jean, mais tu n’as accès qu’à mon corps et celui de Juliette, Enno est notre chasse gardée jusqu’à nouvel ordre.–Très bien. Juliette se penche sur elle et commence à lui lécher les seins. Andrée se glisse entre ses jambes et pose sa bouche sur son sexe. Elle est à quatre pattes sur le lit les fesses hautes m’offrant une vue imprenable sur son sexe luisant et sa rondelle brune. Je prends dans ma table de nuit un pot rempli de graisse anale et la badigeonne entre les fesses. –Oui mon Jean occupe toi de mon cul, j’ai envie de me faire enfiler par là. Une fois sa rondelle bien lubrifiée et avoir entré deux doigts pour la préparer je présente mon sexe entre ses fesses. Je pousse un peu, il entre comme dans du beurre, on sent qu’il a l’habitude de se faire défoncer par du gros, mon sexe glisse sans problème. Je la pistonne de plus en plus vite, je sens qu’elle réagit, ses fesses se contractent, elle veut sentir mon sexe voyager dans son antre. Tout à coup, Enno exprime sa joie de jouir sous les bouches des filles, André se redresse un peu. -Oui Jean, vas-y, je vais jouir avec ta bite, rempli moi le fondement, j’ai envie de te sentir jouir en moi. Oui, viens, je jouis, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je ne résiste pas longtemps et me vide en elle. Nous nous affalons sur le lit, juste à côté d’Enno. Juliette a posé ses lèvres sur les siennes, elles échangent un long baiser. Juliette positionne Enno en la faisant pivoter un peu de manière à pouvoir poser ses lèvres sur son sexe. Elle veut encore la faire jouir, mais moi, je ne peux pas lui faire ce que j’ai fait à Andrée, et j’en ai pour un moment. Je décide d’aller faire quelques courses et de les laisser s’aimer tranquillement. Je me lève, vais prendre une douche et les quitte en train de se faire plaisir à trois. J’achète une énorme côte de bœuf chez Jean-Pierre et Christian, une bouteille de Ruinart blanc de blanc, des biscuits à la cuillère et des tomates. Quand je rentre, elles sont toujours dans ma chambre, j’ouvre la porte juste au moment où Enno exprime bruyamment son plaisir. Je me déshabille, me sers un jus d’orange et vais sur la terrasse, j’ai envie de soleil et je pense que les filles n’ont pas besoin de moi. Je m’allonge sur un transat, les filles sont calmes, j’entends Enno téléphoner, mais je ne comprends pas ce qu’elle dit, ça n’a pas l’air d’être simple, le ton monte un peu mais fini par redescendre, elle raccroche. De nouveau, je les entends s’amuser entre elles.  Je somnole au soleil quand je vois les filles arriver, elles sont resplendissantes de bonheur. Enno se jette sur moi pour m’enlacer, elle pose ses lèvres sur les miennes deux secondes, elle redresse sa tête, je vois ses yeux reflétant un immense bonheur. –Je m’en vais Jean, je pars demain avec les filles, j’ai prévenu Victor, il ne l’a pas très bien pris mais je m’en fous, il avait plus d’un mois pour trouver quelqu’un.–Tu es sûre de ta décision, c’est un peu rapide tout de même.–Oui, j’ai découverts ma vraie nature, j’aime les femmes, j’aime leur douceur, j’aime caresser le corps d’une femme, et, surtout, j’aime qu’une main de femme caresse mon corps et qu’une bouche me fasse exploser de bonheur. Je suis lesbienne mais je ne le savais pas.–Tu n’aimes plus les hommes.–Oui, bien sûr que j’aimerai me faire défoncer la couenne par une belle bite, mais de temps en temps, juste pour le fun.–Et où vas-tu ?–Chez Andrée, nous allons vivre ensemble pour voir si ça peut marcher, évidement Josette fera partie du groupe, il se peut même que nous aménagions chez elle si tout va bien. –C’est ton choix. J’ai préparé à manger, la côte de bœuf a été engloutie en quelques minutes, et nous avons fêté ça avec la bouteille de Ruinart, comme si j’avais eu la prémonition de ce qui allait se passer.  Le lendemain, les filles ont été récupérer les affaires d’Enno, elles m’ont quitté assez vite, impatientes de se retrouver ensemble, sans homme. Depuis, je sais qu’elles ont aménagé chez Josette, elles vivent ensemble et semblent heureuses.
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