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Weekend avec ma belle-soeur

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Suite :
A la fin du film, nous allons au lit et je me couche à nouveau avec des images érotiques plein la tête. Je caresse les fesses de ma copine qui ne dit d’abord rien puis, alors que ma main glisse vers son sexe, me repousse en me disant que c’est hors de question de la faire avec sa sœur dans la pièce voisine.
On ne l’aurait pas fait de toute façon, comme ces 3 derniers mois !
Dans la nuit, nous sommes réveillés par un cri de Léa. Avant que l’on se demande ce qui se passe, elle entre dans notre chambre en demandant de dormir avec nous car elle a fait un terrible cauchemar.
Bizarrement de bonne humeur à cette heure pourtant tardive, je propose ma place dans le lit mais ma copine dit :
— Mais non reste, il y a de la place pour trois… Léa, vient te mettre de mon côté.
On se recouche et je réalise que ma belle-sœur est dans le même lit que moi. Mais nous sommes séparés par une femme enceinte, donc pas de risque de contact !
Plus tard dans la nuit, sans que je puisse dire si c’était 3 minutes ou 3 heures après, je suis réveillé par une main que je sens me caresser puis, alors que ma queue durcit, me masturber. Je sens aussi des lèvres se poser sur ma joue puis sur ma bouche. Des cheveux à l’odeur de henné me frôlent le nez et le mouvement de va et vient sur ma queue se fait plus précis. Ma copine, cette diablesse, cherche encore à m’exciter alors que sa sœur est à côté…
Mais cette fois, je veux aller au bout et je suis bien déterminé à la baiser ! J’accompagne la main qui me branle pour lui donner le rythme qui me convient puis me tourne légèrement sur le côté pour la caresser. Je réponds aussi à son baiser et roule une grosse pelle à ma copine.
Je caresse les cuisses de ma copine avec ma main droite et, à ma grande surprise, je ne la sens pas me repousser. J’englobe ses cuisses, pousse ma main dans son dos pour lui palper les fesses, bien généreuses. Pour ne pas la brusquer, je quitte ces cuisses vais directement poser ma main sur ses seins. Je lui palpe délicatement la poitrine, joue avec ces tétons qui durcirent. Elle ne réagit pas et continue de me branler. Je prends ça pour un consentement de sa part et glisse alors ma main droite sur son sexe. Elle a les jambes encore un peu serrées et je ne fais que frôler ses lèvres. Puis je décide de caresser doucement son clito et enfonce une phalange dans son vagin qui est trempé. Ma main retourne sur ses seins puis à nouveau sur son sexe pour, cette fois-ci la doigter franchement. Mais alors que je l’embrasse goulûment en la masturbant, je me rends compte qu’un truc cloche ou plutôt que quelque chose manque… Bordel, à aucun moment je n’ai senti ni toucher son gros ventre bien rond !
Putain de merde !!! Depuis le début, il s’agit en fait de Léa … Les salopes, elles ont changés de place pendant mon sommeil et c’est ma belle-sœur qui est en train de me branler. Et que je suis en train de peloter et de doigter ! Je retire immédiatement mes mains en chuchotant une excuse mal formulée :
— Oh pardon, je… je ne savais pas que c’était toi….
Puis je rajoute immédiatement de manière presque agressive, car je ne veux pas être responsable de cette infidélité :

— Mais putain, c’est quoi ce délire ??
A ce moment, la lumière de la table de chevet du coté de ma copine s’allume et je pense alors qu’on vient de se faire griller à cause de ma grande gueule. Je la vois se redresser au-dessus des épaules de sa sœur et me sourire.
— Vas-y, mon cœur, c’est cadeau.— Q… Quoi ? — Ma sœur, c’est cadeau… Ce soir tu vas la baiser !— Sérieux ? Mais t’es malade ??— Pas de tout… Depuis qu’elle est arrivée, elle t’aguiche et de chauffe. Tu aurais pu la baiser, hier après mon départ mais tu ne l’as pas fait. Je ne sais même pas comment tu as pu tenir ! Alors ce soir, tout est permis. Profites-en mon amour.— Je ne comprends pas, dis-je en bafouillant. C’était ça le délire ce weekend ?? Vous me testiez ??
Mais Léa, qui s’était contenté de sourire, sans doute satisfaite de voir ma tronche décontenancée, plonge soudain sous les draps et s’empare de ma queue avec sa bouche. Putain, que cette sensation fût extraordinaire !! Alors que ces lèvres avalaient doucement ma bite, ma copine m’embrassa avec passion. Je lui rendis avec la même passion ce magnifique baiser mais je n’arrivais pas encore à me libérer d’une certaine retenue.
— Tu es sûr de vouloir me voir faire ça ? lui demandais-je encore.— Crois-moi, mon amour, ça n’a pas été simple mais je réfléchis à ça depuis des semaines. Je te frustre totalement et tu ne dis rien, tu acceptes… Tu es l’homme le plus merveilleux du monde et je tenais à faire ça pour toi. — Même avec Léa, ta sœur ? demandais-je alors que, justement, sa tête, entre mes jambes, faisait se lever et baisser la couverture.— En fait, j’ai d’abord pensé à une prostituée qu’on aurait choisi ensemble. J’en ai parlé à Léa qui m’a proposé de le faire elle mais avec moi à coté pour regarder et tout stopper si je ne supportais pas… Je d’abord dit non, que c’était du délire, puis j’ai changé d’avis ! Cette solution te plaît ?— Difficile de dire non dans cette situation, dis-je avec humour alors que je soulais la couverture pour voir Léa en train de me sucer.
Ma belle-sœur me jette alors un regard de « salope soumise » (en tout cas, c’est comme ça que je l’ai interprété) et je glisse alors ma main dans ses cheveux pour, d’une part, bien voir sa bouche remplie par ma queue et, d’autre part, l’accompagner dans son mouvement et l’inciter à m’avaler un peu plus profondément.
Je regarde alors ma copine qui me caresse le torse tout en regardant sa sœur me sucer. Son visage est calme et souriant. Elle semble en paix avec la scène qui se déroule à côté d’elle. Elle croise mon regard et se doute de mon inquiétude à son sujet :
— Tu peux te lâcher mon amour, tu peux faire avec elle ce que tu ferais avec moi, du moment que Léa est d’accord… Je sais que tu es capable de beaucoup de passion au lit, alors ne te retiens pas !— Je… je vais essayer mais je pense que j’aurai peur de te blesser…
A ce moment, Léa stoppe sa fellation et se redresse. Elle hôte d’un geste ample son débardeur, me révélant une bien connue mais toujours aussi magnifique poitrine, et vient se placer sur ma taille. Elle se penche ensuite vers moi et m’embrasse langoureusement. C’est la troisième fois que nos langues se mélangent ainsi et franchement, à ce stade, c’est presque aussi excitant que la pipe qu’elle vient de me faire.
— Je vois qu’il te faut encore un peu de motivation pour me faire ma fête comme il faut, même si ta propre copine te donne carte blanche… Laisse-moi te montrer comment on fait !
Elle soulève alors légèrement les fesses, écarte légèrement son short de pyjama sur le côté pour dégager son entrejambe, se saisit de ma bite avec sa main et la place à l’entrée de son vagin. Je sens immédiatement une humidité et une chaleur que je n’ai plus sentit chez ma copine depuis des mois. Léa se contente ensuite de se rassoir sur moi et laisse mon sexe la pénétrer doucement, sans aucune résistance. Sa chatte n’est pas spécialement large, c’est une jeune fille, mais elle est trempée.
Je baisais ma belle-sœur là, dans le lit conjugal, avec ma copine à me coté qui, loin de faire la grimace, souriait, demandait à sa sœur si c’était bon, m’embrassait et commençait à se caresser. Ce fût ce dernier élément qui me convainc que ce qu’elle voyait lui plaisait vraiment car elle pouvait feindre un sourire mais pas une excitation sexuelle… Pas dans son état de frigidité actuelle. Cela me libera et ce fût le dernier instant où Léa dirigea les choses. Je repris immédiatement le contrôle et je comptais bien faire durer le plaisir !
Après avoir joué énergiquement de mes hanches pour bien la défoncer en m’agrippant à sa croupe, je me redresse avec ma belle-sœur toujours empalée sur moi et choppe ses tétons avec ma bouche. Je les lèche, les suce, les mordille comme un affamé. Puis je la retourne, la place en missionnaire et lui donne quelques coups puissants dans sa chatte qui la fit crier de surprise alors que, jusqu’à présent, elle gémissait timidement. Ma copine dit alors :
— Prépare-toi Léa, il va te faire sa spécialité !!
Elle me connaissait par cœur car en effet, j’allais faire mon truc préféré au lit. Je me retire d’un coup, descend au niveau de sa chatte et commence sans sommation à lui bouffer le clito et à lécher ses lèvres, simplement en écartant un peu son petit short.
Sa chatte est parfaite : lisse, un peu charnue, dépourvue du moindre poil, avec un clito dépassant de sa petite peau juste ce qu’il faut et, surtout, dégoulinante d’une mouille épaisse et sucrée. Quand je dis que je lui ai bouffé la chatte, c’est presque vrai car j’avalais beaucoup de cyprine et j’adorais ça ! Et elle aussi apparemment vu comment elle gémissait. J’ai donné mon maximum pour la faire jouir mais en prenant malgré tout le temps de me faire plaisir.
Je lui titille le clito avec ma langue en la doigtant rapidement, j’enfonce ma langue profondément en elle, je pince son clito entre mes lèvres et l’aspire doucement pour le sucer. Lorsqu’elle gémit plus fort et me demande d’accélérer, je diminue au contraire, me replace à sa hauteur pour qu’elle me suce (ce qu’elle fait sans même que je lui demande) et je me contente alors de la masturber de ma main droite pour la maintenir proche de l’orgasme. Ma copine est alors en face de moi, de l’autre côté de sa sœur et nous nous embrassons passionnément au-dessus de Léa qui joue avec mes couilles. Ma copine se contente pour l’instant de regarder et de se caresser doucement. A priori, pas de volonté de contact lesbien incestueux pour l’instant, ce que je peux comprendre… Elle a tout de même 2 doigts bien profondément enfoncé en elle et ça me plaît de la voir se donner du plaisir ainsi.
Ayant un peu faim, je retourne bouffer la chatte de ma belle-sœur. Je lève bien haut ses cuisses pour lui retirer enfin son short et pour lui enfoncer profondément ma langue dans le vagin mais aussi et surtout pour faciliter l’accès à son anus que je lèche également. Je tente une timide pénétration de son petit cul avec un doigt mais ne l’enfonce pas plus qu’à moitié car je ne veux pas risquer de la bloquer.
Puis je rapproche mes hanches de son sexe, pose ma bite sur son clito et le branle avec mon gland, en le faisant aller de gauche à droite. Régulièrement, je glisse en elle, la pénètre puissamment puis me retire et reprend le cuni avec ma langue. Car là est ma spécialité : alterner cuni, pénétration, doigtage et masturbation pour varier les plaisirs et faire monter doucement un puissant orgasme chez ma partenaire. Je ne prétends pas faire là quelque chose d’exceptionnel mais en tout cas, c’est efficace ! Très efficace, même vu les cris de plaisir qu’émet ma belle-sœur en se léchant les lèvres.
Ma copine est toujours agenouillée à coté de nous et se masturbe en nous regardant. Je me fais un plaisir de l’embrasser pendant que le lime sa sœur et lui caresse les fesses sous la chemise de nuit qu’elle porte encore. Alors que je me replace à hauteur du visage de Léa pour qu’elle me suce, me prend la main de mon amoureuse et la pose sur un sein de sa sœur. Je tente cette initiative sans trop de conviction mais, à ma grande surprise, ma copine ne retire pas sa main. Elle malaxe le nibard de sa frangine et commente :
— Je comprends pourquoi les mecs sont accros à tes seins, sœurettes… Il sont gros et fermes !
Ma belle-sœur ne réagit pas non plus et continue de s’acharner sur ma queue pendant que ma copine la pelote. Ce premier attouchement doit la libérer car je la vois qui lui caresse également le ventre, joue un peu avec ses tétons et approche timidement de ses cuisses. Je la laisse découvrir le corps de sa frangine tranquillement, sans la brusquer puis lui prend la main et l’entraine doucement vers le sexe de Léa. Elle me regarde intensément et je ne sais si elle trouve cela choquant ou excitant. En tout cas, elle ne me repousse pas et m’accompagne dans mon mouvement sur le clito de sa sœur.
Je n’ose rentrer en elle de peur de braquer ma copine et me contente de la masturber. Puis, je retire ma main et constate avec plaisir que ma copine continue seule le mouvement et branle sa sœur. Je me concentre alors sur la tête de Léa et la prend entre mes mains pour lui baiser la bouche. Je n’abuse pas, n’essaie pas de tout lui enfoncer mais j’instaure clairement un rythme et une amplitude supérieure.
Puis, alors que je ne m’y attendais pas, Léa jouit à nouveau, sous les doigts de sa sœur. Ma copine non plus ne s’y attendait pas car elle me regarde, surprise mais contente d’elle. Me sentait également monter, je me retire de la bouche de Léa, encore sous le coup de l’orgasme et revient me placer entre ses jambes. Jambes, je dois le préciser, largement écartées par ma copine qui m’offre ainsi la chatte de sa sœur sur un plateau. Je l’embrasse pour la remercier et enfile sa frangine d’un coup.
S’en suit de longs et savoureux allers-retours dans cette belle chatte, agrémentés de passionnés baisés avec ma belle-sœur et ma copine. Celle-ci continue de se caresser doucement en jouant avec les tétons de sa frangine. En tête à tête à trois, j’embrasse, langue sortie, tour à tour Léa et ma copine. Nos trois langues s’effleurent, se touchent, y compris, et c’est ce que je cherchais, celles des deux frangines. De ma main droite, me pousse la tête de ma copine pour qu’elle se penche un peu plus sur Léa et l’embrasse pour de bon.
J’ai du mal à croire en ce que je suis en train de faire et surtout en ce que ma copine et sa sœur font. Leurs lèvres se touchent puis se séparent. Un simple baiser. Puis j’appuie à nouveau sur la tête de ma copine et leurs lèvres entrent à nouveau en contact. Mais leurs bouchent s’ouvrent alors et je vois leurs langues se mélanger. Le baiser est bref mais il est suivi d’un autre, beaucoup plus long, sans que j’aie à insister.
Les deux frangines se regardent en souriant puis c’est à nouveau à moi de les embrasser à tour de rôle. Je me retire alors de Léa et la fait se retourner pour la mettre à quatre pattes. Ma copine regarde alors avec envie ma queue prête à rentrer dans sa sœur. Je lui demande :
— Tu veux que je te baise aussi, bébé ?— Désolé chéri, mais non… J’ai peur que ça me bloque ou me fasse mal… Pour une fois que je suis excitée et que j’arrive à avoir du plaisir, je ne veux pas prendre le risque de gâcher ce moment… Mais je veux bien y gouter un peu, par contre !
Elle se penche alors en avant, un peu péniblement à cause du ventre, et me suce la queue avec gourmandise. Puis, elle s’en saisit et l’enfonce elle-même dans la chatte de Léa. C’est aussi elle qui agrippe et écarte les fesses de sa sœur alors que je la défonce. Du coup, avec ma main libre, je doigte ma copine qui est littéralement trempée. A nouveau je l’embrasse langoureusement, plus amoureux que jamais de cette fille qui m’a permis de baiser sa sœur pour me faire plaisir. De cette fille suffisamment accro à moi pour me faire cet immense cadeau.
Pour ma part, cette partie de sexe dure maintenant depuis un moment et je suis au comble de l’excitation depuis trop longtemps. Je sens que je pourrais jouir à tout moment et je prends donc les devants.
— Je suis pas loin, Léa… Tu veux que je me retire ?— Non !! Reste…. Viens en moi, je veux te sentir….— Ha…. Moi j’aurais bien voulu te voir la recouvrir de sperme, intervient alors ma copine…— Et bin choisissez, les filles, je peux pas faire les deux !!— Léa ? demande alors ma copine, tu préfères qu’il te remplisse ou qu’il te recouvre ?— En moi, putain, vient en moi !!!! Je vais jouir aussi, continue !!
La décision était prise. J’accélère donc le mouvement dans sa chatte et sens un énorme orgasme monter en moi. Ses gémissements se font également plus bruyants. Ma copine me fait alors un clin d’œil et se lèche un doigt. Puis sans demander à sa sœur, elle enfonce son doigt dans son cul, d’abord timidement puis bien à fond. Je sens alors cette pression sur ma bite, chose que j’adore faire lorsque je baise ma copine mais qui, là, ne vient pas de moi. Cela me donne vraiment l’impression de participer à une double pénétration ! Et cela me fait craquer…
— Putain, ça vient….. Harrrggghhhh
Je jouis alors dans un râle terrible et me cale au fond de la chatte de Léa en la remplissant de jets de foutre puissants. Elle-même est secouée par un puissant orgasme, le troisième de la nuit, en ce qui la concerne. Ma copine également se fait jouir en accélérant brutalement la masturbation sur son clito alors qu’elle a encore un doigt enfoncé dans le cul de sa sœur.
Je reste un moment dans Léa, essoufflé par tant d’effort et de plaisir. Puis je me retire, lui laissant la chatte ouverte et poisseuse. Ma belle-sœur m’interpelle alors :
— Viens voir par-là, toi !
Je m’approche alors d’elle et alors que je commençais à ramollir, elle gobe ma queue et la suce pour la nettoyer. Elle a vraiment l’air de se régaler mais ma copine, elle, semble un peu dégoutée (il est vrai qu’elle n’a jamais voulu goutter mon sperme).
— Ne fait pas cette tête sœurette… J’adore le gout… Et je préfère tester à ce moment-là le gout d’un mec avant de le laisser me jouir dans la bouche. En l’occurrence ton mec a très bon gout, tu devrais essayer !— C’est dégueu ! répond alors ma copine en réajustant sa chemise de nuit.— Pas plus que la sodomie, ce que moi je n’aime guère, contrairement à toi ! Chacun ses gouts. D’ailleurs, pour le doigt dans le cul, tu aurais pu me prévenir. La prochaine fois, je te ferai goutter de son sperme, pour voir !— La prochaine fois ?? Il n’y aura pas de prochaine fois, c’est clair ? nous dit-elle alors fermement en nous pointant du doigt.
Pour ma part, je ne dis pas un mot. Je regarde encore incrédule ma belle-sœur se redresser et récupérer dans sa main, un flot impressionnant de sperme (surtout vis-à-vis du fait que je me suis branlé dans la journée…) qui sort de sa chatte. Mon sperme, en l’occurrence. Puis elle file à la salle de bain pour se nettoyer. Je reste allonger avec ma copine pour l’embrasser et la remercier encore pour ce merveilleux cadeau.
— Je t’aime plus que tout, me répond-elle alors comme unique justification à cela.
Puis, alors que Léa quittait la salle de bain en se dirigeant vers le salon, ma copine l’interpelle :
— Tu veux bien dormir avec nous ? — Avec plaisir sœurette ! Pousses-toi, le beauf !!
Nous nous endormons alors ensemble, épuisés, moi entourés de mes deux maîtresses de la soirée qui ont posés chacune leur tête sur mon torse.
Après une courte nuit de sommeil, j’ouvre les yeux alors que le soleil est à peine levé et vérifie tout de suite la présence de Léa. Elle est là, à côté de moi, entièrement nue. Ce n’était donc pas un rêve ! J’ai immédiatement une érection et je commence à la caresser. Utilisant les techniques que j’ai mis au point avec (ou plutôt sur) elle il y a quelque temps déjà, j’arrive à la peloter et la doigter avant qu’elle ne se réveille. Elle se retourne vers moi, ne dis pas un mot mais me sourit. Elle passe sa jambe gauche par-dessus ma taille et prend ma queue pour l’enfoncer en elle.
Nous nous contentons de mouvements amples et lents pour ne pas réveiller ma copine. Puis elle glisse progressivement sur moi et joue habilement de ses hanches pour faire aller et venir ma queue dans sa chatte sans que le lit de bouge. Nous baisons ainsi longtemps puis alors que je commence à monter, elle me chuchote :
— Ne viens pas en moi, préviens moi.— Hé bin, là justement, ça monte….
D’un coup de hanche, elle se retire puis s’enfonce sous le drap et se met entre mes jambes. Elle me branle et me suce pour me finir et, comme je m’y attendais, gobe ma queue pour avaler mon sperme, certes relativement peu abondant après la nuit dernière. Elle remonte à mon niveau, déglutit et me chuchote :
— Quand on veut être discret, c’est bien plus pratique…
Elle se replace à côté de moi et nous nous rendormons. Il est déjà tard dans la matinée lorsqu’enfin nous émergeons tous. Nous nous rendons à la salle de bain à tour de rôle sans nous balader à poil et sans allusions à la soirée d’hier.
Le petit déjeuné est on ne peut plus classique et on échange des banalités. Puis enfin, ma copine prend la parole à propos d’hier :
— Bon, pour hier, c’était excellent mais ça n’arrivera plus. Et surtout, on ne doit jamais en parler. Papa et maman nous tueraient… Et ils te tueraient ensuite, rajoute-elle en me regardant.
Nous acquiesçons elle et moi mais avec son pied sur mon entre-jambe pour me caresser la queue, j’ai du mal à croire en la sincérité de Léa !
Après le repas de midi, Léa nous dit qu’il faut qu’elle rentre chez elle et nous nous quittons en nous faisant la bise, comme si de rien n’était. Sitôt la porte fermée et la voiture de sa sœur partie, ma copine me dit :
— Bon, je suppose que tu vas essayer de la baiser à la moindre occasion ?— Hein ? Mais non, je…— Te fatigues pas, mon chéri, même si toi n’essaies pas, elle te sautera dessus dès que j’aurais le dos tourné et finira pas obtenir ce qu’elle veut. Je la connais… Alors voilà ce qu’on va faire. Cette nuit, ça m’a plu énormément et je sais que toi aussi. Donc on recommencera aussi souvent qu’on pourra mais, une fois que le bébé sera là, faudra en plus que tu t’occupes de moi… Deux gonzesses à satisfaire à la fois, tu en seras capable ?— Évidemment !!— Autre condition : si j’accepte, c’est aussi pour que vous ne baisiez pas au quatre coin de la maison dès qu’elle est là. Pas comme ce matin, par exemple…— Tu étais réveillée ? Désolé…— C’est pas grave, on était encore dans la cadre du cadeau de la veille… Mais je préfère le faire avec vous et prendre mon pied plutôt que de t’entendre la baiser en essayant d’être discret ! Alors tiens-toi à carreau et tu pourras bouffer ma chatte et celle de ma sœur aussi souvent que tu le voudras, compris ? — Compris… En fait, t’y a vraiment pris gout, hein ?— J’avoue… Et je suis aussi curieuse de voir jusqu’où on peut aller toutes les deux sans que ça devienne trop bizarre… — Je t’aime… Je t’aime plus que tout !— Moi aussi !
Moi aussi j’ai hâte de les voir à nouveau toutes les deux… De les baiser toutes les deux… Vivement le prochain weekend entre frangines !
Fin
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