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weekend avec mon beau père et Max

Chapitre 1

Zoophilie
Mon beau-père, Jean, se fâcha contre moi, car j’avais été vilaine. J’avais joui en cachette sans son autorisation, en allant à la piscine. Il l’avait découvert à mon retour, en me caressant ma fente mouillée. Nue dans la cabine de piscine, je m’étais sentie excitée. Je m’étais accroupi, je m’étais caressée jusqu’à jouir. En s’en rendant compte, mon beau-père fut un peu brusque car ma fente mouillée l’excitait. Il m’arracha ma culotte et mis mes seins à l’air en les malaxant violemment. Je le laissais faire, contente et excitée par sa réaction. Il me poussa contre la table de la cuisine. Ma chatte était encore humide et chaude. Il sortit sa grosse bite.
— Penche-toi face à la table !! ordonna-t-il— Oui, maître !! répondis-je
Il me fourra brusquement, en me maintenant contre la table. Je gémis. J’ai la chance d’être autant vaginale que clitoridienne, et mon plaisir est intense à chaque fois qu’il me fourre. Mon beau-père à 20 ans de plus que moi, mais il est vigoureux avec une belle queue plantée au milieu d’une toison grise. Je remontais mes fesses un peu plus haut, pour lui donner un meilleur accès à ma chatte en chaleur. Je resserrais un peu ma chatte autour de sa grosse bite et je jouis en même temps que lui en gémissant fort. Je sentis son sperme couler le long de mes jambes. En me redressant, j’en recueillis sur mes doigts que je léchai. Puis, comme d’habitude, je me mis à genoux et soigneusement je pris son gland dans ma bouche. Je nettoyai avec ma langue chaude chaque goutte de sperme sur sa bite. Mon beau-père m’avait initié au sexe, et il m’avait appris à toujours nettoyer son membre. Il prit son téléphone et me fit asseoir sur la table.
— Écartes les cuisses, je vais prendre ta chatte dégoulinante en photo comme ça des hommes pourront se branler devant.
Puis, il ajouta :
— Tu as été vilaine, je vais devoir te punir.
Je baissais les yeux, honteuse d’avoir désobéit.
— Le weekend prochain tu viens avec moi voir mon père. C’est son anniversaire. Il n’a pas souvent de distraction à 65 ans. Tu seras notre jeune chienne en chaleur et son cadeau. Je continuerai à parfaire ton éducation sexuelle. Tu t’épileras soigneusement la chatte. C’est compris ?
J’acceptais avec plaisir. Il ne me toucha pas pendant une semaine, désirant profiter pleinement de moi pendant les deux jours avec son père. Le samedi matin, je mis une robe d’été légère et un string noir. Mon beau-père me regarda. Il détacha mes cheveux blonds. Il baissa les bretelles de ma robe et m’enleva mon soutien-gorge, libérant mes seins en forme de poire. Puis, il remonta ma robe et enleva mon string.
— Tu n’auras pas besoin de tout ça ce weekend. Ta robe suffit.
Il regarda ma chatte épilée visiblement excité. Je ne l’avais pas écouté. J’avais gardé des poils qui dessinaient une bite pointant vers ma chatte.

— Tu es vraiment une chaudasse !! J’ai prévenu mon père Marcel, que tu es une chienne en chaleur. Tu devras satisfaire tous les mâles ce weekend
Nous prîmes la route. Il faisait chaud. J’étais excitée à l’idée du week-end qui s’annonçait. 30 minutes avant d’arriver Jean releva ma robe, laissant ma fente à l’air. Nous doublâmes des camions qui nous klaxonnèrent à la vue de ma fente.
— Caresse-toi !! m’ordonna mon beau père
Je commençai à me toucher du bout des doigts, juste assez pour être humide. Ce voyeurisme me plaisait. Nous arrivâmes dans la cour d’une ferme. La maison était isolée au milieu des bois. Jean me conduisit vers une grange. Quand mes yeux se furent habitués à la pénombre, je distinguai Marcel. Il nous salua en me reluquant. On voyait mes tétons à travers le tissu de la robe. Après avoir échangé quelques banalités, Jean annonça :
— Papa c’est ton cadeau, je l’initie au cul. Elle n’a pas été gentille, donc je l’ai prévenue que ce weekend, c’est notre cochonne. Elle devra satisfaire nos besoins. Elle doit se comporter comme notre chienne. Nous allons lui apprendre des choses.
Je m’avançais quand Marcel sourit et tendit un bras vers moi. Je lui rendis son sourire et vint me presser contre lui. Il m’embrassa à pleine bouche. Sa langue s’inséra dans ma bouche. Je m’écartais et ouvris sa combinaison d’ouvrier. Il était nu en dessous. Je le déshabillai totalement et il fit tomber ma robe. Lui aussi fut excité par la bite épilée, lorsqu’il la découvrit. Il m’embrassa à nouveau longuement me malaxant les fesses. Puis, il s’allongea sur une botte de paille. Je me positionnai au-dessus de sa tête. J’écartai les lèvres de ma chatte humide et la caressai du bout des doigts. Il me regardait faire. Enfin, mon doigt glissa et s’enfonça dans ma chatte. Jean était nu derrière moi et nous regardait, laissant son père profiter de moi. Marcel m’attira vers sa bouche et commença à me manger la chatte. Je poussais des gémissements sans aucune retenue profitant de l’isolement du bâtiment. La langue glissait sur ma fente, rentrant parfois à l’entrée de mon vagin. Il mordillait mon clitoris, que je lui offrais sans aucune retenue. Jean caressait lentement sa bite en me voyant. Marcel me fit pivoter avec agilité, et je me retrouvais en 69. Sa queue épaisse de paysan était dure et je la fourrai dans ma bouche avec appétit. Je le suçais avec application jouant avec son gland, mordillant sa verge et suçant tout son membre tout à tour. Pendant, ce temps il mangeait ma chatte en chaleur qui ruisselait. La bouche humide il me repoussa et m’allongea sur la botte de paille. Il m’ouvrit les cuisses et sans aucune hésitation, il me pénétra d’un coup. Je poussais des gémissements de plaisir.
— Vas-y, oui, c’est bon, fourre-moi encore !! lui disais je
Parfois, il ralentissait la cadence et me pénétrait avec plus de précision, plus lentement. Il me calait toute sa bite. Je tournais parfois la tête vers mon beau-père en gémissant. Je savais qu’il aurait voulu être à la place de Marcel. Il se branlait un peu plus vite.Marcel s’allongea et je me mis à le chevaucher dos à lui, les jambes écartaient de chaque côté de la botte de paille. Il me pénétrait plus profondément. Accroché à mes hanches, je sentais sa bite remplir ma chatte mouillée et excitée. Je me caressais un peu le clitoris, et me mis à gémir de plus en plus fort. Jean s’approcha. Il me tendit sa queue que je pris en main tout en gardant la bite de Marcel entre mes cuisses. Je le branlais vigoureusement. Marcel m’inonda dans un râle et je jouis en hurlant en même temps. Jean prit son membre en main et se branla vigoureusement en me caressant les seins. Le sperme blanc et épais coula sur mes seins. Je me penchai vers sa bite et la léchai pour la nettoyer. Je léchai mes seins également. Marcel me souleva et je m’assis sur la paille. Marcel me tendit sa bite que j’entrepris aussi de nettoyer.
— Félicitation, me dit Marcel. Tu es une vraie chienne. Tu satisfais parfaitement les envies des mâles en chaleur. Jean avait raison, tu es parfaite à baiser.
Je lui souris. À ce moment, un berger allemand apparu et se mit à nous tourner autour. Jean sortit de son sac un collier noir en cuir. Il me le mit autour du cou.
— Tu avais promis d’être notre chienne en punition, pour ta sottise, visiblement tu as encore un mâle à satisfaire ? dit-il— Non, dis effrayée— Regarde il est gentil, dit Marcel
Le chien, Max, vint poser sa truffe sur ma jambe en gémissant. Je le caressais entre les oreilles et il avança sa tête entre mes cuisses. Je les serrai réticente à les écarter comme quelques minutes auparavant.
— Tu avais promis, me gronda mon beau-père
Il se pencha vers moi et doucement m’entrouvrit les cuisses encore chaudes et humides. Le chien avança sa tête. Du bout de la langue, il me lécha la chatte, partit puis revint à plusieurs reprises. Je dus avouer que ça me plaisait. La langue était chaude et râpeuse. J’ouvris un peu plus les cuisses. Il commençait à bander. Je me penchais et le caressai du bout des doigts. Il me lécha plus vigoureusement et j’aimais ça !! Je pris sa tête et l’orientais vers sa gueule. Je bougeais mon bassin. Je voulais plaquer sa langue contre ma chatte. Jean et Marcel souriaient et me laissaient faire.
— Vas-y chauffe-le, il doit vouloir te monter comme une chienne en chaleur. Excite-le, m’encouragèrent-ils
Je repris la bite longue et rose du chien. Un peu de foutre en sortit. Jean passa sa main sous mon collier et m’attira vers le sol. Je me mis à 4 pattes pour me faire saillir. Le chien me tourna autour excité. Je continuai de caresser son membre et le porta à ma bouche pour le lécher du bout de la langue. Il sentait fort. Marcel appela le chien derrière moi et lui montra mon cul. Sans hésiter le berger allemand me monta. Sa bite chercha fébrilement ma fente. Marcel l’orienta. Le chien me pénétra d’un coup sec et frénétique. Il me baisait à merveille et j’aimais me sentir pleine de sa bite. Bientôt, la base de sa queue grossit et je me retrouvais piégée, obligée de lui donner du plaisir. Je gémissais de plus en plus fort, tellement ça me plaisait d’être prise comme une chienne. Les couilles du chien venaient cogner contre mes fesses, pleines de sperme frais. Je gémis encore sans aucune retenue pendant que le chien me défonçait la chatte. Il haletait. Il avait des coups brusques. Je jouis violemment.
Le chien déversa vite en moi un flot de sperme liquide et blanc. Fatigué, Max vint s’allonger devant moi. Je me penchai et le nettoyai doucement du bout de la langue. Marcel se dirigea vers moi avec une tasse. Il la plaça sous ma fente. Je laissais couler le sperme du chien dedans. Marcel me tendit la tasse et j’en bus le fond. J’étais heureuse de cette nouvelle expérience. Max m’avait procuré de nouvelles sensations que j’aimais. Je venais de passer une étape supplémentaire dans mon éducation sexuelle.
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